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Citations sur La Femme qui se cognait dans les portes (49)

L'élégance chez un homme est une chose très rare, chez un Irlandais en tout cas, et surtout à Dublin.
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C'était un peu indécent de rire de la manière dont votre mari s'était fait tuer.
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“There were days when I didn't exist; he saw through me and walked around me. I was invisible. There were days when I liked not existing. I closed down, stopped thinking, stopped looking...There were days when I couldn't even feel pain. They were the best ones. I could see it happening. There was no ground under me, nothing to fall to. I was able to not care. I could float. I didn't exist”
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“I swooned the first time I saw Charlo. I actually did. I didn't faint or fall on the floor but my legs went rubbery on me and I giggled. I suddenly knew that I had lungs because they were empty and collapsing.”
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“I remember I wanted to get away; I wanted to run. I couldn't stand any more. But I didn't want to run. I wanted everything to be perfect; everything was going to be great - I just had to be careful. I was responsible for it all. The clouds coming, I was dragging them towards us; my thoughts were doing it. I was ruining everything. It was up to me. I could control the whole day. All I had to do was make sure that I made no stupid mistakes. Don't walk on the cracks. Don't look at the clouds. It's up to you.”
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J’aimais bien les infirmières ; j’aimais les regarder travailler. C’étaient elles qui faisaient tourner la boutique, vraiment. Elles restaient calmes et vaquaient à leurs occupations sans précipitation, patientes avec tout le monde. Elles étaient la vie de l’hôpital.
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On ne s’y habitue jamais. Prévoir ne sert à rien. Je ne peux rien faire ; c’est lui qui mène le jeu. C’est toujours nouveau, toujours abominable.
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Il me tenait ; je ne pouvais rien dire. Je ne pouvais pas me défendre. Quand il ne me battait pas, il me rappelait qu’il pouvait le faire. Il me le rappelait et m’y préparait. Comme le chat qui joue avec l’oiseau, qui lui laisse un sursis avant de le tuer.
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La beauté et l’âge n’avaient rien à voir avec ça. Les hommes violaient les femmes.
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Quand on travaille chez un particulier, il y a des endroits où il vous tarde d’arriver, à cause de la manière dont le soleil entre par la fenêtre, ou parce que c’est la cuisine, avec sa bouilloire, ou encore parce que c’est une chambre d’enfant. On a l’impression de voyager dans un petit pays ; chaque coin est différent. C’est comme d’être espion ou de lire un livre.
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