C'est lors d'un bain turque que Holmes permet à son biographe de nous dévoiler l'affaire... Et oui, c'est la deuxième fois que l'on entend parlé de l'habitude des bains turques du Dr Watson et visiblement Holmes semble avoir suivi son ami et en avoir lui même fait une habitude... Une histoire qui commence comme souvent de façon étrange, un illustre client envoie un intermédiaire pour proposer l'affaire, camouflant ainsi son identité... Et comme on aimerait voir, une fois de plus ce début dans la Série Sherlock, c''est dans le style de la série... Mais le show britannique par certains détails y fait quand même référence par le hobby du criminel.. et quelques éléments de l'intrigue nous renvoi à l'image de Bénédict Cumberbatch dans une situation bien précise que je vous laisse découvrir... Devant un premier refus de Holmes à cause de l'identité caché du demandeur de l'enquête, l'intermédiaire insiste pour dire de quoi il s'agit : une femme est tombé sous l'influence d'un criminel allemand acquitté du meurtre de sa femme, mais personne n'est cependant dupe : il a bien assassiné son épouse, même Holmes en est convaincu... Devant l'obstination de la jeune fille à prendre ce criminel pour un martyr malgré les avertissements de tout le monde, le père est devenu gâteau... ce n'est donc pas lui le bon samaritain prêt à payer grassement le détective pour tirer la jeune femme des griffes de ce criminel... Et devant la description de l'affaire, le fin limier se réveille... Il accepte contre toute attente, l'affaire... une intrigue vraiment bien menée...
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Holmes, chevalier au grand coeur, prêt à tout pour sauver une jeune fille des griffes d'un criminel assassin. cette histoire se double d'une vengeance d'une femme bafouée. Attention, ce sont les plus terribles.
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Encore un mystère résolu par Holmes malgré des difficultés assez particulières dans cette aventure
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A l'étage supérieur de l'établissement de Northumberland
Avenue, il y a un coin isolé avec deux canapés jumeaux ; nous les occupions
le 3 septembre 1902, jour où commence mon récit.
Je lui avais demandé si quelque chose de passionnant était en train ;
pour toute réponse, il avait sorti des draps qui l'enveloppaient son long
bras mince et nerveux, et il avait extrait du manteau suspendu à côté de
lui une certaine enveloppe.
– Voilà qui émane peut-être d'un faiseur d'embarras, me dit-il en me
tendant le billet qui y était inclus. Mais il peut aussi bien s'agir d'une
question de vie ou de mort. Je ne sais rien de plus que ce que contient ce
message.
L'en-tête était celle du Carlton Club, la date celle de la veille au soir. Le
texte était le suivant :
« Sir James Damery présente ses compliments à M. Sherlock Holmes,
et se rendra chez lui demain à quatre heures et demie. Sir James se permet
de préciser que l'affaire à propos de laquelle il désire consulter
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M. Holmes est très délicate, et aussi très importante. Il espère donc que
M. Holmes s'efforcera de se rendre libre, et qu'il lui confirmera son accord
par téléphone au Carlton Club. »
– Bien entendu j'ai confirmé, me dit Holmes quand je lui rendis le
message.
- Mais pourquoi chercher à vous intimider ?
- Pour l'affaire de Harrow Weald. Du coup, je vais m'en occuper ; puisque quelqu'un s'y intéresse tellement, elle ne doit pas être très banale.
- Mais pourquoi chercher à vous intimider ?
- Pour l'affaire de Harrow Weald. Du coup, je vais m'en occuper ; puisque quelqu'un s'y intéresse tellement, elle ne doit pas être très banale.
Holmes, comme moi avait une faiblesse pour le bain turc. C'était dans la vapeur d'une chambre chaude que je le trouvais le moins réticent et les plus humain.
Le coeur et l'esprit d'une femme sont des énigmes insolubles pour un mâle. Un meurtre peut-être pardonné, une offense bien moindre peut ulcérer.
de Vincent Mallié d'après Arthur Conan Doyle
https://www.ecoledesloisirs.fr/livre/premiere-aventure-sherlock-holmes-etude-rouge