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3,49

sur 460 notes
Bilan mitigé en refermant ce livre. Pourtant avant de l'ouvrir j'etais certaine que j'allais avoir un gros coup de coeur car j'adore l'histoire et la politique m'intéresse.

Mais commençons plutôt par les points forts du livre : il est très bien écrit, style fluide il se lit très facilement. Il est très riche en documentation de diverses sources et puis le cahier central nous montre des photos (mettre un visage sur un nom c'est toujours bien).

Côté point faible, je dirais que le concept est un peu répétitif, je me suis un peu lassée à la longue de toutes ses femmes. Et puis comme je le disais les livres est très documentée est fait référence à d'autres sources et il faut sans cesse aller voir a la fin du livre pour voir la note.

Malgré ça je trouve le concept intéressant et cela nous permet de voir une autre part de l'Histoire.
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La démarche est alléchante, pertinente, prometteuse ; l'auteur, jusqu'alors inconnue du grand public, présente patte blanche : historienne, chercheuse, son sérieux ne fait pas l'ombre d'un doute. Elle propose de refaire le tour des dictateurs les plus connus du XXème siècle à travers les femmes qui les ont marqués.

Par trop narratif, le livre de Diane DUCRET en devient parfois ennuyeux car, pour la plupart de ces dictateurs, nous les connaissons, nous connaissons les grandes lignes de leur vie et il n'y a aucun suspens quant à leur fin. Même, le choix narratif fait par Ducret en devient dangereux puisqu'elle est forcée à de nombreuses reprises, à passer sous silence ou à bâcler certains faits historiques : la marche sur Rome ou l'annexion de l'Ethiopie par Mussolini, sont à peine esquissées, les belles demoiselles n'ayant pas joué le moindre rôle dans ces événements.

Néanmoins, la galerie de personnages proposée par l'auteur n'en est pas moins intéressante ! D'un Mussolini-gigolo à un Salazar-couguar, en passant par un Staline incestueux et un Hitler-poète, les portraits offrent un regard parfois inattendu sur ces monstres sacrés qui ont fait trembler l'Europe et ont été adulés par des peuples entiers. Mais la démarche s'essouffle bien vite et se réduit, durant le troisième portrait à une succession de galeries de femmes, se bornant aux événements historiques et aux éléments biographiques les plus basiques. Plus encore, en n'y prenant pas garde, on en viendrait presque à souffrir d'une certaine empathie pour un vieux Salazar esseulé ou un Staline dévoré par le chagrin à la mort de sa belle Nadia… perplexe, je suis parfois restée étonnée devant ces tableaux de beaux poètes qui cachaient des mares de sang.

Il y avait, pourtant, matière à rester analytique car les dictateurs en question présentent de bien nombreux points communs : des hommes souvent élevés dans un univers féminin, une égérie de jeunesse qui marque à jamais la suite de leurs relations avec les femmes, une boulimie sexuelle, une attirance parfois honteuse pour les jeunes filles, des relations empreintes de violence…

Plusieurs passages ont su, pourtant, me toucher assez profondément : le couple Ceausescu est édifiant (je pense que le fait d'avoir vécu presqu'en direct la fin de ces deux dictateurs m'a marquée à jamais) et l'auteur a su mettre en valeur la personnalité dérangée et insoupçonnée de Madame ; par ailleurs, lorsqu'on découvre qu'Hitler a été par deux fois au bord du suicide pour une histoire d'amour... il y a des anecdotes, tout de même, qui laissent songeur, voire rêveur.

Enfin, à observer, de loin, confortablement installée dans la paix de mon pays, des ascensions toutes plus improbables les unes que les autres, je me range à la voix de l'Europe entière qui, aujourd'hui encore, en est à se demander comment cela a pu être possible.

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« Je ne savais pas que dans le bouquet de roses qu'est la vie, on aurait laissé tant d'épines. »
Ces mots d'Henri Bataille dits à Salazar par l'une de ses nombreuses maîtresses, expriment parfaitement ce qu'a été la vie des femmes de dictateurs. Une vie faite de désir, d'attente, de jalousie, de déception et pour finir de mort tragique.
Pour la plupart d'entre elles pourtant, ce sont elles seules qui ont transformé leur vie, non pas en un bouquet de roses mais en bouquet d'épines, en s'éprenant des hommes les plus tyranniques et égoïstes qu'ait compté le vingtième siècle.
Ils s'appelaient Mussolini, Lénine, Staline, Salazar, Bokassa, Mao, Ceausescu et Hitler. Ils ont jeté sur leurs pays et sur le monde l'ombre noire de la dictature, du racisme, de la haine et de la violence. Ils ont été des monstres et la mémoire collective s'en souviendra ainsi.
Dans l'intimité pourtant, ils ont été avant tout des hommes. Des hommes épris, amoureux, ardents, poétiques, attentionnés…des hommes avec des sentiments, des désirs, des amours. Certes, leur coeur pétri d'égoïsme a bien souvent rendu leurs compagnes malheureuses et les espoirs du début ont inlassablement fait place à l'amertume et la désillusion. Mais leur pouvoir de séduction était tel, qu'ils ont su faire chavirer des femmes de tous rangs, de la bourgeoise à la ménagère, de l'intellectuelle à la campagnarde, de la starlette à la journaliste.
Clara, Nadia, Elena, Eva, Catherine et biens d'autres encore ont pénétré la sphère privée de ces dictateurs. Certaines y ont été contraintes et forcées comme Catherine, kidnappée par Bokassa, ou Nadia, violée puis épousée par Staline. D'autres ont succombé à la puissance d'un regard magnétique, à la voix orgasmique d'un orateur, au charisme d'un politicien…
« Chaque jour je suis obligée de penser à vous, chaque heure, chaque minute. Quoi qu'il advienne, ma vie vous appartient ». Ce genre de lettres d'admiratrices éperdues, les dictateurs en ont reçu des centaines de milliers tout au long de leur ascension au sommet de l'état.
Très tôt, ces grands séducteurs avides de conquêtes féminines comme de victoires politiques, ont su que leur accession au pouvoir ne pourrait se faire sans la femme. Elles ont donc joué un rôle capital dans leur existence et le développement de leur personnalité, sachant les conseiller, les amadouer, les guider, les inspirer, les adoucir aussi…parfois.
Certaines se sont révélées aussi impitoyables, opiniâtres et tyranniques que les tyrans eux-mêmes ! Jiang Qing, la dernière femme de Mao s'illustra dans des exactions abominables, tandis qu'en Roumanie, Elena Ceausescu s'afficha comme l'égale politique de son mari, gouvernant avec lui pendant près de 22 ans.

Avec « Femmes de dictateur », la journaliste, philosophe et historienne Diane Ducret nous raconte les destinées de ces oubliées de l'histoire, compagnes, épouses, maîtresses de ces despotes du vingtième siècle.
Elle y recense les rencontres, analyse les rapports amoureux et brosse les portraits fascinants de femmes aux statuts et conditions complètement différents mais qui ont ce point commun d'avoir vécu leurs liaisons amoureuses avec une intensité, une passion et une détermination sans faille.
« L'amour est aveugle » dit-on… au gré des amours malheureuses d'héroïnes dignes des tragédies grecques, Diane Ducret démontre cet adage dans un document très intéressant qui se lit avec le plaisir d'un roman.
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On parle beaucoup des dictateurs, mais il est vrai qu'on parle peu de leur entourage proche. Une fois de plus, on pourrait se dire que les femmes qui partagent leur quotidien passent à la trappe, alors même qu'elles sont au première loge.
En cela, à la lecture de la quatrième de couverture, je m'attendais à lire une analyse qui aurait permis de confirmer ou infirmer que ces "personnages publics" étaient aussi dominateur et tyrannique dans leur vie privée.

Mais alors, la découverte du contenu m'a fait déchanter... Que des moments anecdotiques, des lettres d'admiratrices dont on se moque éperdument, du factuel sans analyse. Une chronique de journaliste ni plus ni moins.

Bref je ne m'attarderai pas davantage sur cet ouvrage qui mérite si peu qu'on en parle. Les magazines type Gala, Voici font déjà très bien ce travail, en faire un livre n'avait pas grand intérêt.
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Comme son nom l'indique, Femmes de dictateur de Diane Ducret, raconte l'histoire de ces femmes, toutes particulières, qui ont marqué la vie de ces dictateurs, et aussi le rapport de ces derniers à la femme.

Les vies amoureuses de Mussolini, Lénine, Staline, Salazar, Bokassa, Mao, Ceausescu et Hitler sont passées au peigne fin. Ces dictateurs ont en commun leur cruauté, les femmes de leur vie ont en commun la passion et une certaine violence dans leurs sentiments. Toutes sont de grandes passionnées et toutes vont d'une manière qui leur est propre, au sens propre comme au figuré, sacrifier leur vie à ces hommes.

Je ne sais pas s'il faut blâmer ces femmes ou alors compatir , mais en lisant leur histoire, on ne peut plus affirmer que l'amour rend aveugle mais plutôt qu'il abrutit. Car elles ont toutes en commun d'avoir eu pleinement conscience de ce qu'étaient leurs idoles, jusqu'à pour certaines d'entre elles jouer un rôle très actif dans la construction et le maintient de ces régimes. Dans tous les cas, je ne vois en aucune d'elles une victime de ces dictateurs à proprement parler, mais plutôt de leur amour, de leur attirance pour le pouvoir et l'argent, de leur aveuglement pour l'idéologie à laquelle elles adhéraient.

Mais pas de panique, il s'agit tout de même d'un livre agréable car entrer dans l'intimité de ces grands personnages conduit souvent à certaines anecdotes croustillantes et forts amusantes. On en apprend aussi davantage sur les rapports et les événements qui ont fait de ces hommes ce qu'ils sont devenu, et c'est très important. Et puis il est plaisant d'aborder l'histoire de ce point de vue original, féminin et qui finalement, humanise.
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Je remercie Les éditions Perrin et Babelio pour ce partenariat.

« En espérant que vous preniez plaisir à la lecture de cet ouvrage » m'indiquait le petit mot du service de presse de la maison d'édition. Ravie de cette attention, voici enfin ma réponse : un grand oui ! J'ai passé un très bon moment de lecture. D'autant que, ayant fait des études d'histoire, il me plaît de renouer de temps en temps avec ma passion et de troquer un roman contre la lecture d'un essai historique.

Le sujet de celui-ci est original : se concentrer sur le destin des épouses, compagnes, concubines ou simples conquêtes des dictateurs du 20ème siècle. Et elles furent nombreuses !

L'introduction m'a semblé une simple juxtaposition d'extraits de lettres à Hitler et Mussolini, sans plus d'intérêt que de planter le décor, passant d'un sentiment à un autre (admiration sans borne, fanatisme total, demande en mariage ou doléances). On y apprend toutefois qu'Hitler a reçu plus de lettres de « groupies » que les Beatles et Mick Jagger réunis !! Etonnant non ?

Les chapitres sont ensuite découpés par dictateurs : Mussolini, Hitler, Mao, Lénine, Salazar, Staline, Bokassa et Ceausescu. Evidemment, nous sommes surpris de constater qu'autant de femmes puissent avoir été charmées par ces tyrans. N'oublions pas que nous, nous savons la politique qu'ils menaient, alors que leurs épouses ou conquêtes, n'en avaient pas forcément conscience. On ne peut que s'émouvoir du destin de certaines, souvent tragiques. Comment par exemple, en temps que femme, peut-on ne pas être touchée malgré tout par celui d'Eva Braun, recluse dans la forêt (éloignée de la politique) qui n'a pas hésitée à rejoindre Hitler alors que tous savaient que la fin était proche. Epouse de la dernière heure au courage admirable. A l'inverse, comment ne pas être offusquée de constater que certaines étaient plus tyranniques que le tyran lui-même (et en particulier envers d'autres femmes dont elles étaient jalouses !).

Le chapitre consacré aux Ceausescu surprend. En effet, alors que les autres sont centrés sur les dictateurs et leurs « femmes », celui-ci tourne exclusivement sur madame Ceausescu. Au point de se demander qui était réellement le dictateur entre le mari et la femme. Ce chapitre m'a particulièrement intéressé. J'étais petite lorsque les évènements de 1989 se sont déroulés, mais je reste encore marquée par les images du procès de ce couple et de leur exécution.

Ce livre apporte une dimension nouvelle aux biographies des dictateurs que nous avons étudiés au lycée. En rentrant dans leur intimité, nous prenons conscience d'un pan différent de leur personnalité et d'un semblant d'« humanité » (relative tout de même). Certains se révèlent des amants romantiques (Mussolini est dépeint comme un Don Juan, attentif à ses admiratrices), des époux tyranniques (Mao, Staline, Bokassa), voire personnage dénué de sentiments apparent (Hitler).

Une lecture pleine de découvertes, qui se lit aussi facilement qu'un roman, dont je ne regrette qu'une chose : il manque une conclusion de l'auteur (qui a fréquenté la même faculté que moi :) ) qui nous permettre de faire le lien sur ces destins uniques et de prendre un peu de recul.


Lu dans le cadre de l'opération Masse critique Babelio
Lien : http://mediatexte.blogspot.c..
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Ahurissant le nombre de femelles enamourées à la dévotion de ces tyrans !
Folles, toutes folles de lui.
Lui, Mussolini, le matamore, exhibant son torse avantageux sur les plages !
Lui, Lénine, drainant à ses basques l'indéfectible amour de Nadejda, Inessa et Alexandra qui l'ont aidée à atteindre son but, alors qu'il investissait avant tout son énergie dans la tâche révolutionnaire qu'il s'était fixée.
Lui Staline, le braqueur de banques vérolé, Staline aux yeux ardents et poète à ses heures... mais aussi tendre et délicat en amour (doux euphémisme) qu'il le fut en politique !

Ne cherchez pas ici la moindre allusion concernant le parcours politique de ces estimables personnages.
Ce n'est pas le but de cet ouvrage et il ne s'agit ici que d'investir leur vie privée où les femmes, amantes, épouses ou admiratrices ont joué un rôle, sinon primordial, du moins non négligeable dans la mesure où, au moins, leur admiration pour leur grand homme confortait celui-ci dans sa certitude d'être le meilleur, le plus grand, le plus fort, bref le phénix des hôtes de ces bois ! qu'il s'agisse de Mao, Bokassa ou Ceaucescu .....
Mais la palme revient sans conteste à l'effroyable Führer, qui a reçu dès le début des années trente des tonnes de courriers d'admiratrices folles de lui. Que l'abominable Hitler ait pu susciter parmi les Hausfrauen allemandes, par lui dédiées au "Küche, Kirche, Kinder" (cuisine, église, enfants) une telle adoration laisse pantois !
En ce qui me concerne, j'en suis restée ahurie.
Et grâce à la plume très en verve de l'auteur, on prend beaucoup d'intérêt à la découverte de ces secrets d'alcôve et de ces misérables marques d'admiration pour ces sinistres personnages qui ont jalonné le vingtième siècle de leurs méfaits.
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Derrière chaque homme il y a une femme entend-on souvent.
Femmes de dictateur de Diane Ducret nous permet d'entrevoir l'histoire de ces femmes, toutes très différentes, qui ont accompagné la vie de Mussolini, Lénine, Staline, Salazar, Bokassa, Mao, Ceausescu et Hitler , tous dictateurs, tous manipulateurs de foules comme de leurs compagnes. Un style fluide, L Histoire revisitée sous un angle assez nouveau. Quelques longueurs parfois, mais un bon livre.
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Ouvrage bien étoffé sans tomber dans la lourdeur d'une biographie historique truffée de notes de bas de page.
Le destin de ces femmes, Diane Ducret le résume en une phrase : "Épouses, compagnes, égéries, admiratrices, elle ont en commun d'être à la fois triomphantes, trompées et sacrifiées". L'examen des relations amoureuses des dictateurs permet à Ducret d'aborder des facettes peu connues de la personnalité de ces hommes que les différentes études biographies ou historiques n'abordent pas étant donné leur légèreté. le lecteur se plaira à lire quelques anecdotes qui ne tombent jamais ou que très rarement dans le sensationnalisme.
On découvre un côté plus tendre à ces hommes déshumanisés qui aiment très mal et qui ont un ego plus grand que nature. C'est ce que l'on ressent en lisant ce livre. le narcissisme extrême de chacun de ces dictateurs les pousse à vouer à leur personne même un culte de grandeur. Culte que cultivent les femmes qui les entoure. Culte qu'ils imposeront à leur peuple sous la violence et la contrainte.

Ce livre aura été pour moi une lecture intellectuelle d'été presque parfaite. C'est la décision éditoriale d'aborder Hitler dans le dernier chapitre qui m'a fait un peu sourciller. Peut-être voulait-on terminer l'ouvrage en marquant un gros coup, mais j'aurais plutôt préféré que l'on suive une ligne chronologique que de passer de la mort des Ceausescu en 1989 aux 16 ans d'Hitler en 1905.
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Le document(aire?) est certes fort intéressant, mais l'exercice risqué. Rédigé de manière claire, concise, sans prétention, le livre demeure par trop narratif, descriptif et cloisonné plutôt que didactique et analytique. Si l'on souhaite mieux appréhender, qualifier les rapports de ces dictateurs avec ces femmes, l'on risque de rester quelque peu sur sa faim; surtout si l'intérêt recherché est de lire une analyse décortiquant ces âmes, avec le plus d'acuité possible, expliquant les mécanismes d'influence de ces femmes, sur les décisions de ces dictateurs, lesquelles décisions ont façonné leur époque que nous avons hérité.. . Ainsi pour Hitler, comme pour Lénine ou Staline, Mussolini, nous avons l'impression de lire de longs articles forts enrichissants sur le plan de la culture générale alors que peut-être aurions-nous apprécié que l'écrivain se mouille davantage. le démarrage du livre est lent. L'auteure présente une (trop) longue série de courriers de femmes séduites par Hitler, qui alourdit l'essentiel du message. "Femmes de dictateurs" a le mérite de générer un foisonnement de questions: pourquoi cette fascination des femmes pour le pouvoir? cette quête éternelle du père protecteur? qu'est ce qui subjugue, aveugle à ce point ces femmes, souvent au prix de leurs propres intérêt? et comment ces femmes-miroirs du pouvoir de ces hommes arrivent-elles à déterminer des décisions majeures? Les hommes au pouvoir sont-ils tous des "détraqués"? le deviennent-ils avec le pouvoir? Quels sont les différents profils psychologiques des ces femmes, de ces hommes? Quelles sont les conséquences sociétales du couple pouvoir/sexe? Comment fabrique-t-on des convictions? Comment arrive-t-on à manipuler ces foules? Enfin, peut-être le lecteur que je suis a cristallisé en ce livre des attentes différentes. Je le lis tout de même avec beaucoup de plaisir.
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