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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
La fée, la pie et le printemps était l'une des sorties littéraires de la rentrée que j'attendais avec la plus grande impatience. Quand j'ai vu que l'on y parlait de fée, de magie tout cela dans une Angleterre victorienne, j'étais bien sûr très curieuse.

La couverture est vraiment magnifique ! Je ne suis pas la seule à avoir craqué sur ce visuel très automnal (les couleurs ne font pas raccord avec le printemps du titre, mais ce n'est qu'un léger détail). Après Boudicca, qui était un objet livre réussi, les éditions ActuSF nous offre une fois de plus une très belle publication.

Je découvre Elisabeth Ebory avec ce roman, qui n'est pourtant pas son galop d'essai. Conquise dès les premières lignes par ce style très enjoué, très rafraîchissant, je vais certainement jeter un oeil à ses précédentes parutions. Elle sort des sentiers battus de la Fantasy que je qualifierais de « classique ». Déjà parce qu'elle a choisi une époque finalement assez peu représentée dans le genre, le XIXème, mais aussi parce que ses héros, sont plutôt atypiques. Pas de guerrier bourré de testostérone, pas de mage érudit, pas d'elfe, ou de troll, juste un groupe éclectique de voyageurs en partance pour Londres.
Philomène la bien nommée pie voleuse va entreprendre un bout de chemin avec eux. Tandis qu'au même moment, la fée Ravage, tente de renverser la monarchie et de mettre les fées au pouvoir.
Ce roman se lit bien, voire trop vite. C'est bien là son défaut. L'intrigue n'est pas très originale ni bien profonde, et il n'y a pas de surprise majeure, mais c'était divertissant, donc je lui donne la note maximale sans hésiter.

En revanche, je n'y ai pas vu le côté sombre dont parle la présentation éditeur, pour moi c'était tout le contraire : une lecture « lumineuse », et entrainante.
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J'adore découvrir de nouvelles plumes francophones, et ce roman me faisait de l'oeil depuis un petit temps déjà. J'ai donc sauté dessus quand les éditions ActuSF l'ont proposé au format poche, merci à eux ! La couverture est très belle, je regrette juste que le bijou ne ressemble pas à celui présenté dans le récit. C'est un premier roman pour l'autrice, que j'ai pour ma part beaucoup apprécié, et je pense avoir aperçu quelque part (mais je ne retrouve plus où xD) qu'un nouveau livre de sa plume sera bientôt disponible. Je suis curieuse de découvrir quelle nouveau monde elle y développera !

Au début de ce roman, on alterne entre deux perspectives : celle de Rêvage, fée ravagée pleine de colère et de haine qui complote pour ramener les fées à leur juste place sur terre alors qu'elles sont actuellement dans une autre dimension prison, et celle de Philomène, jeune fée voleuse solitaire qui se retrouve à accompagner une troupe de gentils brigands amateurs sur la route vers Londres. Leurs chemins ne vont pas arrêter de se croiser, pour le malheur des personnages et le plus grand plaisir du lecteur !

On est bien loin des petites fées douces et mignonnes dont on a l'habitude : ici, (du moins dans mon imagination), Rêvage ressemblait plutôt à un elfe de maison crasseux. Philomène a quant à elle une apparence plus respectable, mais son essence féerique n'est pas détectable par les humains/fées qui l'entourent. On découvre au final peu le monde des fées, mais on emprunte par contre beaucoup de raccourcis qui nous emmènent dans certains recoins enfouis, qui cachent bien des secrets.

J'ai beaucoup aimé les personnages de la troupe de brigands : un assassin qui n'a tué personne, une jeune orpheline avec un grand destin, un sombre cuistot qui ne sait pas cuisiner et qui disparaît tout le temps, et un garçon perdu avec une lettre comme prénom. Je n'oublie pas la superbe monture de Philomène, muette, mais qui montre clairement ce qu'elle pense ! Un groupe aux caractères très différents qui donnent une véritable richesse à l'histoire.

Bien que détestable, j'ai trouvé le personnage de Rêvage magnifique. Cette créature tente depuis des années de rendre aux fées (et donc à elle-même, ne le cachons pas :p) la place qui leur est due. Son plan est ingénieux, elle fait beaucoup de sacrifices pour le mettre en oeuvre, mais n'a pas assez préparé son arrivée dans un monde qu'elle ne connait plus. Au moindre grain de sable, elle se laisse dicter sa conduite par sa colère et son désir de revanche. Un personnage très touchant dans sa détermination et sa rage dévastatrice.

J'ai beaucoup aimé la plume de l'autrice : je la trouve mélodieuse, avec un brin de nostalgie, un peu désuète, mais dans le bon sens du terme. C'est dur à expliquer, mais les chapitres de Philomène sonnaient dans ma tête d'une façon particulière, qui leur donnaient une aura fleurie et rafraîchissante, comme un matin de printemps. Bien que Philomène soit une solitaire qui n'a besoin de personne, elle se laisse entraîner dans cette aventure à chaque fois qu'elle croise les beaux yeux de Clem, et comme elle, on se laisse porter par l'écriture de l'autrice, parfois poétique, parfois drôle, parfois sombre.

J'ai juste trouvé un peu dommage que les indices concernant la plupart des grandes révélations du roman étaient plutôt évidents dans la narration. Cela gâchait un peu la surprise, mais c'est une « erreur » qui se retrouve souvent dans les premiers romans et qui s'affine avec l'expérience.

Un récit entre deux mondes et entre deux narrations : des personnages forts, touchants, qui se dévoilent au fil des pages, une magie ancienne y crépite et nous transporte au travers des raccourcis de péripéties en courses poursuite, d'un bois à une taverne en passant par le palais royal. le tout porté par la plume surprenante et rafraîchissante d'Elisabeth Ebory, une très belle lecture !
Lien : https://livraisonslitteraire..
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Autrice de nouvelles et de novella, Elisabeth Ebory signe là son premier roman.

Dans La Fée, la pie et le printemps, on retrouve l'esthétisme du merveilleux propre aux vieilles légendes et aux contes d'antan.

Sa plume nous entraîne à la suite d'une collection de personnages hauts en couleurs.

Nous voici, tantôt attachés aux pas de Philomène, une fée qui ne peut s'empêcher de dérober tout ce qui brille, telle une pie. Âme solitaire, la voilà qui croise la route d'un drôle d'équipage, composé d'un bellâtre à qui elle ne résiste pas, d'une jeune fille sans doute trop gâtée, d'un garçon fantasque et d'un vieux ronchon. Ceux-là sont assurément des voleurs, mais cela ne dissuade pas Philomène de les accompagner sur un bout de chemin puisqu'ils vont dans la même direction. Facétieuse, Elisabeth Ebory nous met également sur les traces d'une autre fée qui a un bien vilain projet, qu'elle a élaboré presque dix-huit ans plus tôt lorsqu'elle a placé un bébé-fée, tel un coucou, dans le berceau royal. En infiltrant le pouvoir, elle espère réinstaurer les lois des fées lorsqu'elle les aura libérées de leur prison afin qu'elles règnent à nouveau sur le monde. Mission diabolique qui va vite se corser quand elle devra remettre la main sur son coucou envolé car démasqué par la Régente. Chemin faisant, ce petit monde a de grandes chances de se retrouver à la croisée des chemins, en provoquant un certain grabuge dans Londres et même Kensington.

Pour La Fée, la pie et le printemps, Elisabeth Ebory fait entendre l'originalité d'un texte ambitieux tout en s'inscrivant dans une filiation de réécriture du conte. Ici, elle joue avec les motifs traditionnels du genre qu'elle a insérés avec talent dans son récit. Elle reprend, par exemple, la figure du chasseur et de Blanche-Neige qui s'incarnent à travers les personnages de Vik et Clem. Belle réappropriation d'un imaginaire collectif mis en valeur par une écriture rayonnante.

La Fée, la pie et le printemps est un récit plein de fougue et de magie. Avec sa plume solaire, elle nous émerveille avec son "bazar féerique" comme elle le désigne... Pour en savoir plus... cliquez sur Fantasy à la carte.
Lien : https://fantasyalacarte.blog..
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Un voyage entre rêve et réalité

En effet, dans ce roman Elisabeth Ebory nous propose de voyager entre le monde humains et celui... Des fées ! Loin d'être des petits êtres scintillants et tout mignons, ces dernières peuvent se montrer agressives, violentes, menteuses et rancunières !

(Ah tiens ! ça fait penser aux petites pestes décrites par Mathieu Rivero, dit comme ça !)

Charmant tableau me direz-vous ! Il faut dire que c'est un peu normal d'en avoir gros sur la patate quand on est enfermé depuis des lustres !

Dans La Fée, le Pie et le Printemps, nous suivons les voix de deux protagonistes différents : celle de Philomène, une fée voleuse qui a quitté le monde féérique, un endroit glauque transformé en prison de brouillard, pour suivre les traces d'une autre fée dans une Angleterre Victorienne. Et une seconde, omnisciente, qui retrace le parcours de cette seconde fée, Rêvage, qui complote pour libérer ses camarades et pour faire aboutir son plan, a glissé un changeling dans le berceau royal. le but ultime de Rêvage étant de restaurer l'Empire des Fées et leurs pouvoirs, rien que ça !

(On peut découvrir aussi une sombre histoire de changeling dans le manga Fairy Cube de Kaori Yuki.)

Malheureusement, tout ne se passe pas comme prévu. Ni pour Rêvage et ses rêves de liberté, ni pour Philomène et ses penchants (chapardages, escroqueries)... Euh... friponneries incessantes !

(Suite sur mon site !)

Lien : http://lecomptoirdelecureuil..
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J'ai découvert la plume d'Elisabeth Ebory lors de ses premières publications dans les anthologies des éditions de L'Oxymore et dès lors, je suis tombée sous le charme de son style ! Je me suis jetée sur son recueil et sa novella parus chez Griffe d'Encre, que j'ai adorés. Puis, il y a eu une longue période de silence, une période de 6 ans sans parution. Alors, quand les éditions ActuSF ont annoncé un roman d'Elisabeth Ebory dans le cadre de la rentrée littéraire des Indés de l'imaginaire, vous vous doutez bien que j'étais totalement ravie ! 🙂

Dans La Fée, le Pie et le Printemps, nous suivons deux voix : celle de Philomène, une fée voleuse qui a quitté le monde des fées (une prison magique où celles-ci ont jadis été enfermées et où règne un épais brouillard) pour suivre les traces d'une autre fée en Angleterre. L'autre voix est omnisciente et trace le parcours de cette autre fée, Rêvage, qui complote pour libérer ses comparses et, pour ce faire, a glissé un changelin dans le berceau royal… Ajoutez une bande de bandits à la petite semaine, dont les membres sont aussi différents qu'ils sont unis (l'étrange Od, l'impérieuse Vik, le charmant Clem et l'intriguant S) et vous obtenez une belle brochette de personnages dont les trajectoires télescopées vont finir par s'emmêler.

Vous l'aurez compris, La Fée, la Pie et le Printemps est un roman féerique ! On pourrait même le qualifier de fantasy urbaine puisque son intrigue se déroule dans et autour de Londres – le Londres du XIXe siècle – à l'exception, bien sûr, des passages qui se déroulent dans la prison des fées. de fait, le roman est infusé d'une vraie magie, aussi ensorcelante que celle dont usent les fées pour convaincre les humains de leur dévoiler leurs secrets. J'ai retrouvé avec bonheur un univers féerique où les fées, loin des clichés plein d'ailes battantes et de paillettes, sont des créatures qui ont leur propres lois et, surtout, leur amoralité. Malgré tout, Philomène la voleuse nous est vite très attachante, tout comme les personnages avec qui elle va tisser des liens (de mauvais gré d'abord).

Encre magique, cheval de cauchemar, dame au chaudron, Elisabeth Ebory égrène les éléments de son propre monde féerique en laissant, ici et là, quelques airs de déjà-vu, comme si elle avait puisé son inspiration dans les contes et légendes pour élaborer l'univers de son roman mais que l'on n'arrive plus à retracer le chemin vers ces racines. Air de déjà-vu qui trouve aussi peut-être sa source dans le fait que j'avais déjà pu voir des encres magiques à l'oeuvre dans son recueil, À l'orée sombre. Entre originalité et familiarité, tourner les pages de ce roman a donc été un vrai régal pour moi, qui adore les histoires féeriques et en particulier quand elles reprennent le caractère si autre de ces créatures magiques !

Il faut dire que le style de l'auteur reste aussi enchanteur que dans ses précédents récits. Je l'ai trouvé plus accessible, cela dit, moins emperlé de rêve et d'enchantements, mais cela n'a en rien diminué mon plaisir à parcourir ce roman, au contraire je pense que cela sied mieux au format long.

Bref, vous l'aurez compris, je reste subjuguée par cette histoire de fée voleuse et de fée comploteuse et j'espère que, la prochaine fois, Elisabeth Ebory n'attendra pas autant d'années avant de nous ensorceler avec un nouveau sort d'encre, une nouvelle histoire de fée. Une histoire à la lumière claire-obscure, à l'image de ses fées. [Lire la critique sur le blog]
Lien : https://lullastories.wordpre..
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Belle petite surprise. Merci à Babelio pour l'envoi de ce livre.

Dès le départ nous sommes dans l'histoire. On s'attache vite à cette bande d'arnaqueurs. On devine assez rapidement les enjeux et les liens entre les différents protagonistes mais ce n'est pas grave. La Fée, la Pie et le Printemps est un bon divertissement.

Petit bémol concernant la fin de cette aventure, c'est un peu vite expédié. On peut se demander si c'est le début d'une série ? Avec ce 1er roman Elisabeth Ebory commence doucement à mettre en place un arc de narration. On verra par la suite ?

Quoi qu'il en soit je vais surveiller cette auteure et surtout surveiller cette collection « Bad Wolf ». Certains titres m'ont l'air prometteurs. Etant fan du Doctor Who, je ne peux ignorer ce signe « Bad Wolf ».
Lien : http://le-club-des-incorrigi..
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J'ai presque envie de dire que vu que c'est actusf éditions, pas la peine de regarder le résumé, j'ai une confiance quasi aveugle en leurs choix. En plus, cette couverture est magnifique.

Et je ne suis absolument pas deçue.

On se retrouve immergé immédiatement dans l'action, et au début on est presque perdu. Mais c'est un vrai plaisir d'être perdu dans ce monde enchanté, agressif, et en même temps si plausible.

On alterne la narration entre Philomène qui parle et la troisième personne avec Révage. Les deux ne manquent pas d'humour, un peu grinçant parfois, et mais pêchent un peu côté conscience. Elles n'en sont que plus intéressantes.

Les aventures de Philomène sont un peu loufoques, tout s'enchaîne très vite. Je trouve que ses compagnons sont parfois un peu injustes avec elle, mais leur dynamique est bonne et chacun d'entre eux a lui aussi son côté décalé. Les grandes révélations qui les concernent sont un peu transparentes pour le lecteur dès le début, je ne peux pas dire qu'on meure sous le suspens et la surprise. Mais ça ne m'a étrangement pas gênée, j'ai trouvé que cela rajoutais dans l'humour.

Révage de son côté déçoit un peu. Son plan a l'air bien monté mais la réalisation est hasardeuse et je trouve qu'elle fait quelque fois de grosse bévues et elle manque de subtilité. Rien de grave, ça fait aussi partie de l'esprit un peu délirant du bouquin.

Le style colle à l'ambiance, c'est poétique et correspond bien à ce à quoi on pourrait s'attendre face à une histoire de fées. La mythologie développée est finalement peu expliquée mais tout coule de source finalement et j'ai adoré cette découverte.
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J'ai lu ce livre très rapidement. Il est très agréable et très frais à lire en cette rentrée littéraire.

Une des critiques mettait en avant l'originalité de l'histoire par rapport à la fantasy pure et dure (pas de mage, de barbare, etc...) et c'est exactement ce que j'ai ressenti à cette lecture. On sort du carcan habituel du récit de fantasy, on a quelque chose d'original et c'est particulièrement agréable à lire.
J'ajouterai au catalogue que figurent également aux abonnés absents les loups garous et vampires priapiques, ce qui n'est pas pour me déplaire :-).
Je sortais de la lecture d'un gros cycle de science fiction (la culture de Iain Banks) et je voulais un roman court et surtout un peu original et je n'ai pas été déçu.

L'intrigue est intéressante, l'alliance de circonstance qui se forment entre les personnages est bien menée et on se prend à arriver un peu trop vite à la fin de cet ouvrage. On se prend également rapidement d'affection pour ces personnages disparates. D'autre part, chose appréciable, l'autodérision est au rendez-vous ; ce qui manque parfois cruellement dans le genre... Pas de héros hiératique, pas de soliloque sur la sempiternelle défense de la liberté. Ebory n'a pas héroisé à l'excès ses personnages, on est devant des caractères très prosaïquement humain (bon oui ce sont des fées pour la majorité d'entre eux mais quand même...).
L'univers proposé par Elisabeth Ebory est riche et intrigant et on a envie d'en savoir plus! Nous verrons si cette oeuvre se décline plus tard, mais en attendant, je recommande vivement la lecture de ce roman qui nous détendra tous pour cette rentrée!
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Dans l'Angleterre victorienne, Philomène mène une vie de voleuse compulsive.
Elle a déjà accumulé quelques trésors, dont une monture de cauchemar, un chaudron d'or, des encres magiques... Philomène ne vole que les fées, car les fées se volent entre elles, c'est une tradition. Philomène a déjà été maudite en long en large et en travers, ça aussi c'est une tradition. Mais jusqu'ici, elle s'en moque.
En fait, sa route vient de croiser celle d'un assassin (repenti), d'un cuisinier (lamentable) et d'une demoiselle (très, très chiante). Une fée se cache manifestement parmi eux et surtout, ils semblent détenteurs du secret le plus précieux du royaume... Philomène se lèche les babines, sans se douter que les malédictions qui lui ont été jetées pourraient un jour la rattraper...
La fée, la pie et le printemps est un petit bijou, c'est normal, ça va très bien avec les pies. C'est aussi un roman de paradoxes : d'une légèreté désespérée, merveilleux et sombre à la fois, féerique et pourtant très humain, une très belle histoire, haletante, qui trouve pourtant le temps de cheminer dans la campagne victorienne... C'est lu en une soirée, parce que c'est très bien écrit, d'une plume recherchée et pourtant déliée.
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Comment résister à la couverture de ce livre. Sans avoir lu le résumé, c'est le genre de livre qu'on achète sans réfléchir. D'ailleurs, au vu de la couverture je m'attendais à un livre poétique qui nous transporte dans un monde féerique, un peu comme Apostasie de Vincent Tassy mais plus joyeux et moins sombre bien sûr. Mais je dois avouer que même si je l'ai lu rapidement et que j'ai apprécié ce livre, je n'ai pas été convaincue voir un poil déçue....
Lien : http://pugoscope.fr/559-la-f..
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