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3,26

sur 729 notes
J'avais vu le Nom de la rose mais le Cimetière de Prague est mon premier Umberto Eco. Ce sera mon dernier.

La thématique choisie par l'auteur est pourtant intéressante car, à mon sens, toujours d'actualité. Il s'agit de la manipulation des informations et la création de fausses affirmations dans le but de décrédibiliser un groupe. Il y a un côté complotiste, certes positionné dans la France de la fin du XIXème siècle, mais qui pourrait avoir sa place dans le monde actuel dont la source de toute vie est le réseau d'informations.

Par ailleurs, Umberto Eco centre son récit sur un personnage antisémite. L'originalité ne tient pas dans le choix d'un tel personnage mais dans sa capacité à nous immerger dans l'antisémitisme. A tel point que je me suis demandé si Eco ne l'était pas mais également quelle pourrait être l'effet de ce roman sur des lecteurs déjà très perturbées. Finalement, cela m'a dérangé.

A cela, l'intrigue est beaucoup trop longue. On tourne en rond. Au fil des chapitres, le schéma se reproduit à l'identique. Cela ne m'a pas permis d'accrocher au roman et j'ai versé dans une lecture si ennuyeuse que ce sera mon dernier Eco.
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J'ai commencé cette lecture avec plutôt beaucoup d'attentes, au fil de pages je suis parvenue sur une partie dont le contenu ne m'intéresse pas vraiment, de ce fait mon intérêt pour cette lecture est complétement tombé à zéro. Je ne suis pas sure que cette lecture m'aide à me construire une belle idée du passé, c'est pour cette raison que j'ai décidé de lire la fin pour voir un peu le résultat. Je n'ai pas finalement compris les propos de l'auteur. Il s'agit d'un auteur que j'aime beaucoup, mais avec ce livre il m'a plutôt perdu en tant que lectrice.
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J'ai beaucoup aimé les livres d'Umberto Ecco. Je me suis plongé dans celui çi, mais honnêtement, je me suis perdu !!!! Entre toutes ces histoires, vrais ou inventées? On ne sait plus très bien ou on va. J'aime bien le style, mais c'est trop complexe.
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D'habitude je suis fan d'Umberto Eco. Mais celui-là, je l'ai abandonné, à peu près au milieu. Je n'ai rien à redire sur l'écriture en elle même. Simonini est effectivement abject, et j'ai trouvé dur de rentrer dans ses pensées racistes, même sachant qu'il s'agit d'un roman, ça soulève le coeur, en tout cas le mien ! Ce qui fait que je n'ai pas accroché ce sont tous ces détails politiques et ces récits de campagne pour unifier l'Italie. C'est écrit comme si on connaissait ces événements, avec détails. L'intrigue a peu de place à côté, et j'ai attendu désespérément les aspects mystérieux ou ésotériques décrits dans la 4eme de couverture... Je m'attendais à du suspense façon Nom de la rose, auquel il est comparé. Mais que nenni... Parfois il faut savoir renoncer...
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bon pour faire simple, je suis complètement passé à côté et je n'ai absolument rien compris.
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Deux journaux intimes celui de Simon Simoni et de l'abbé Dalla Picolla se répondent. il y est question de juifs et de francs maçons plus que de Prague dont le cimetière est cependant bien décrit. le livre est complexe. A lire donc sans trop s'interrompre pour ne pas perdre le fil des intrigues.
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Daumier, mon ami Simoni traduit par jean Noël Schiffano c'est le 4 eme livre d'Eco que je lis. d'indéfinissables boites pyrogravées, quelques daguerréotypes de tétralogies antiquailleuses. Des laissez - passer. le franchissement d'une deuxième porte. Il aurait pénétré
dans un vaste salon bien reliés en maroquin avec un narghilé turc, avec des fresques mythologiques représentant les muses de l'histoire. le narrateur ne sait pas qui est le héros de l'histoire. Moi les juifs, j'en ai rêvé chaque nuit pendant des années et du docteur autrichien ou allemand. La bromidrose est typique de l'allemand. Ils se remplissent la bouche de GEIST, esprit de la cervoise. Peut on épouser une moinesse? Aucun allemand ne sait jamais ce qu'il veut dire. Mon grand - pere m'a obligé à l'apprendre. Ils s'enfilent dans la gargamelle avec les doigts
des spaghettis. Les jésuites sont des francs-maçons en jupon.
Des astroquets ou on va boirel l'hypnotisms fonction utérine comme Charcot. Tu avais une extravasation.
segrege pour ne pas être poignarde le vieux de la montagne. Les mouvements carbonari. Babette d'Interlaken. Les bicerins de Dumas devenu. jeune cagot. On jouait à la mourre. Ashurbanipal Joseph Balsmo ex Caliaustro avait un naturel bon et .généreux. Oublions le mont tonnerre comme le
disait Dalla Piccola. Vivre dans la via Barbaroux. Parmesan, risotto. Ce pisacane. Turin
la bourbe transparente de la tortue. Que pense un végétarien abstinent? marmottent des ecclésiastiques peccamineux. Jaunet maçonnique des hommes de sacs et de cordes. la nitrocellulose irait mieux. Tous des produits instables. le kahal, je l'estramaconne. Capiston! Un Baphomet aile en couverture et une tête coupée pour rappeler les rites sataniques des templiers. Ton deprecatoire, il avait touille une chaudronnerie terrifiante. Adonnai
et Dagyde. L'okharana avait un ton .
niquedouille. Les diaspores de Magny. Comme un Vishnou aux cent mains nous contrôlerons tout.
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Comme l'a écrit un autre lecteur, avec ce roman, ou l'on aime, ou l'on aime, pas, et je suis dans la seconde catégogie.
J'avais aimé énormément "Le nom de la rose", -que je m'étais empressé de terminer car le film venait tout jsute de sortir-et vingt ans plus tard, j'ai appelé ma compagnie de théâtre "Lonom de Laprose".
Cela a dû me porter chance, puisque nous serons sur le festival OFF d'Avignon cet été. Mais là n'est pas le sujet.
J'avais également apprécié "De superman au surhomme", de ce même auteur, mais étais resté totalement hermétique à son"Beaudolino".
Dans ce "Cimetière de Prague", je dois reconnaître avoir accroché aux 50 premières pages, tant l'humour étati présent, omni présent, et tout le monde en prend pour son grade: hommes, femmes, juifs, franc-maçons, l'église, les écrivains, les rois et les dictateurs, les nationalités....
Et puis je me suis un peu égaré avec Garbaldi dont je sais plus si les chemises étaient rouges ou noires (...) et le rôle de Simonetti, quelque peu confus à mes yeux.
Quant à la suite (les 300 dernières pages), je les ai lues pour me dire que je ne voulais pas passer à côté de quelque chose, et ma foi, j'ai l'impression de n'avoir rien loupé.
Le style d'ECO est riche, et je trouve que certaines de ses allusions historiques, comparaisons et autres, nécessitent des connaissances dans certains domaines, eh bien, que je n'ai pas.
Voilà. Alors j'ai range ce livre dans ma ibliothèque, à côté de " la rose", parce qu'il mérite quand même d'y être.
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Umberto eco est un auteur que j'admire pour son érudition. Il nous laisse un certain nombre de livre pour essayer d'arriver à son niveau. J'ai alors attaqué le livre. D'entrée de jeu, on sent que ça va être du lourd. Il va falloir suivre et se concentrer. Faire attention aux dates, aux personnages rencontrés, aux lieux. On apprend alors que le héros, Simon Simonini est compliqué et au passé troubles. C'est alors un voyage dans l'Europe de la fin du XIXème qui nous emporte.

L'art d'Umberto Eco est de sauter dans le temps et de lier tout les événements d'une époque. le livre en ressort crédible, et aux péripéties haletantes mais l'oeuvre en devient compacte et lourde à la lecture. Certains passages gâchent la fluidité de l'intrigue. Les retour en arrière complexifient encore plus le fil de la lecture.

Pour une grande épopée, on est servit. On découvre l'Italie et la France dans une époque intimement décrite avec ses grands noms, ses lieux et ses lignes de fronts entre pays mais aux prix d'une intrigue complexe qui en vaut la peine même si parfois c'est dur.
Comme d'habitude, ce n'est jamais si simple avec Umberto Eco.
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C'est l'histoire d'un personnage fictif, Simonini, que nous suivons sur une période de près de 70 ans au coeur du 19e siècle entre France et Italie.
Ce personnage fictif partage tout au long du récit un journal intime dialogué avec un autre personnage, Dalla Piccola. le tout relié au besoin par un narrateur.

Les méfaits, les complots et autres manigances, sont d'autant plus troublants qu'ils sont pour la plupart réels. Il en est de même pour les autres personnages et leurs agissements.

Umberto Eco nous livre un récit très documenté et pointu. Les personnages sont tels des pions sur le grand échiquier des enjeux politiques, idéologiques ou militaires.
Il titille notre esprit critique et nous soumet les racines peu glorieuses de l'antisémitisme de cette époque.
Davantage qu'un roman, c'est une clé pour comprendre L Histoire et le monde, si l'on dépasse l'aspect formel un peu complexe.


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