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3,63

sur 3283 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Il me semble que le mot qui définit le mieux ce roman c'est clivant : l'opinion des lecteurs tout d'abord est très partagée, mais aussi les thèmes abordés : pauvre ou riche , blanc ou noir, laideur ou beauté, bien et mal. être ou ne pas être ...
Cette lecture a été pour moi douloureuse, je ne m'apesentirai pas sur ce qui saute aux yeux de tous les lecteurs : la violence des propos, des actes ainsi que les longues descriptions de produits de luxe, des échanges sans fonds entre pairs... mais en ces temps de retour à l'essentiel, je crois que ce qui a été le plus douloureux c'est l'indifférence envers les autres ! Puisse ce livre n'être qu'une très sombre caricature d'un monstre imaginaire et non le futur de quelques populations déconnectées de tous !
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C'est très rare que j'abandonne un livre mais après m'être cramponné sur près de 200 pages, j'ai décidé d'arrêter d'espérer que peut-être éventuellement par un miracle quelconque qui ne semblait pas poindre à l'horizon je trouverais un intérêt minimal à ce livre. Dès le départ les descriptions interminables des vêtements que le narrateur portent et de ceux qu'ils rencontrent m'ont dérangé. Et quand j'ai vu que cette manie se répétait ad nauseam j'étais un peu découragé. Puis la vie du « héros » est tellement vide, vaine, superficielle ». Tout n'est qu'esquissé mais à répétition. Et le sadisme, détaillé à outrance, de Bateman vis-à-vis un clochard et son chien ont fini par me convaincre qu'il y a mieux à faire dans la vie que de perdre mon temps avec cet ouvrage.
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Premier livre de Bret Easton Ellis que j'ouvre et bien ce sera le dernier.
J'ai détesté.
Déjà c'est horriblement mal écrit, totalement insupportable et mauvais à un degré rarement vu.
Ensuite les interminables et continuelles listes de restaurants où il faut diner pour être dans le coup, listes des plats que personnes n'apprécient, listes des vêtements et marques qu'on se doit de porter pour marquer son appartenance à la caste, et au milieu listes des atrocités que Bateman commet.
Pourquoi ? aucune réponse.
Il fantasme, il commet réellement ces meurtres ? aucune réponse.
Ca devient tellement surréaliste au fil des pages qu'on décroche complétement.
Chacun se fera son avis en le lisant, en tout cas son titre de roman culte est totalement usurpé.
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Quelle horreur, ce bouquin.

Je l'ai refermé au deuxième doigt cloué ou bras tronçonné (je ne sais plus), et je me demande encore comment j'ai pu tenir jusqu'à là : des pages et des pages littéralement non écrites (il parait que c'est volontaire...) de descrptions vestimentaires, de propos insipides autour de cocktails branchés, le tout entrecoupé de scènes gore.

On comprend bien que ce roman a fait l'effet d'une bombe à sa sortie pour avoir révélé le vide glacial du cerveau d'un trader new-yorkais, psychopathe par essence.

Mais était-ce bien la peine de délayer la démonstration sur tant de pages? une nouvelle aurait suffit!
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Un catalogue insipide de la frime dans une misère intellectuelle profonde habillée de mépris pour l'humanité.
Mais où est l'histoire ?
Je n'ai pas réussi à entrer dans ce livre.
Dans un premier temps j'ai eu le sentiment de lire un catalogue de toutes les marques nécessaires pour s'afficher dans le monde de la frime et du superficiel.
L'étalage de la richesse snob y inclut tous les derniers produits technologiques. Manque de chance, les fiches techniques n'y figurent pas, cela aurait au moins donné quelque chose d'intéressant à lire.
Ensuite, j'ai cru que c'était un guide de tous les bars, lieux dits branchés où le seul but est d'en sortir ivre.
Cela dure quand même une centaine de pages.
J'ai alors décidé de survoler les pages. Manque de chance ? Toujours est-il que cela a continué dans l'énumération de marques, les beuveries en boîte, la frime, le superficiel.
De ce que j'ai pu lire comme critiques, il doit se trouver quelque part quelques meurtres avec une sorte de docteur Jekill et mister Hyde... Manque de chance une fois de plus, je n'ai trouvé aucune ligne évoquant le moindre crime.
Ce livre m'a donc été insupportable, nullement de par les scènes morbides annoncées car j'y était préparé et que surtout je ne les ai pas rencontrées, mais de par ce monde où l'on ne trouve que prétention, arrogance, volonté d'épater par l'argent.
Les dialogues sont totalement insipides, ils ont bien souvent ni queue ni tête et les moments où ils sont cohérents, ils sont sans intérêt.
C'est encore un auteur américain qui me déçoit profondément ou alors c'est l'univers décrit par ces auteurs que je ne supporte pas mais je n'ai vu qu'un étalement écoeurant de cette pauvreté intellectuelle où la seule raison de vivre de ces personnes c'est d'avoir de l'argent pour pouvoir montrer qu'ils en ont.
J'aurais aimé pouvoir donner mon avis sur la partie noire du personnage mais les cent premières pages ont épuisé ma bonne volonté et dans mon survol sur la suite, je n'ai rien croisé s'y rapportant.
Aucun intérêt.
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American psycho, c'est le genre de roman qui ne laisse personne indifférent : on aime ou on déteste, et moi je n'ai pas du tout accroché.

Au-delà de la violence et du malaise, la narration m'a lassée beaucoup trop rapidement avec ces descriptions de tenues qui ponctuent chaque « événement » et ces longueurs à n'en plus finir.

Cette plongée dans les années 80 a pourtant des qualités mais l'absence de péripéties et la poignée de têtes à claques qui occupent la scène ont eu raison de ma motivation.
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Patrick Bateman est un jeun Yuppie des années Trump : riche, sans scrupule, défoncé à la coke, aux amphét et antidépresseurs, performant. Mais quand il n'est pas occupé, il tue, torture, viole de la façon la plus abjecte qu'il soit. Et il ne ressent rien.

Le début peut faire penser à du Beigbeder, c'est trash, c'est cynique, c'est sans langue de bois et sans concession. Mais on finit par déchanter, moi du moins.
Ça devient rapidement difficile à lire.
Ce livre est une abomination manuscrite, un croisement entre Journal d'un obsédé sexuel, Journal d'un psychopathe et Catalogue de luxe d'un minet pété de thunes de Wall Street.
Sans réelle histoire de fond, la succession de dîners et déjeuners prestigieux, succède aux étonnantes parties de sexe torride à plusieurs entrecoupé (c'est le cas de le dire !) de têtes coupées, seins brûlés et mains arrachées – et parfois même, avalées.
Au milieu de tout cette agglomération de joyeusetés, on suit difficilement le personnage principal cannibale dans ses activités quotidiennes. Mais rien d'autre. Pas de grandes réflexions psychologiques ou sociologiques, pas de prise de conscience ou de basculement total dans la folie, pas de séance de psy où il dirait « hum, ça vient certainement de la petite enfance », pas même une minuscule enquête de police et encore moins un face à face prenant avec un inspecteur bien décidé à trouver l'assassin. Presque rien.
Alors oui, effectivement, on comprend assez vite que la société de consommation, de l'image est derrière tout ça, notamment par les petites interventions de Patrick Bateman qui passent complètement inaperçues.
A mon sens, ce n'est pas suffisant pour une prise de conscience. C'est juste de l'horreur en barre. Et beaucoup s'arrêteront avant même d'avoir compris le pourquoi du comment, si tant est qu'il y en est un.
Je me demande comment un tel livre a pu être adapté par l'industrie du cinéma hollywoodien… ou alors le film est très édulcoré (ce qui ne m'étonnerait pas) ou alors il a du largement choquer l'américaine vierge et puritaine.
"Pour souligner l'essence satirique du propos, Mary et moi avons concentré l'histoire originale, en avons sélectionné les moments cruciaux, en mettant l'accent sur l'humour du comportement des personnages et en choisissant les éléments clés des dialogues brillants et très drôles d'Ellis. "*

Personnellement, je n'ai rien trouvé de drôle dans ce livre. Bien au contraire. Tout y est écoeurant. Pas seulement les crimes atroces, mais aussi la facilité avec laquelle cela se fait, l'argent, l'impassibilité des autres personnages devant les révélations de Bateman, le mépris général pour les femmes. On dirait que tout ce ramassis de beau monde est déconnecté de la réalité. Et ce qui dérange est détruit. Là où les autres ferment les yeux et détournent le regard, Bateman regarde droit devant et tue, parce que les clodos dérangent dans son paysage. Vision extrême de notre société effectivement.
Le roman se passe dans les années Reagan alors qu'imaginer si Bateman se retrouvait dans notre société du 21ème siècle. Ce serait un véritable holocauste. (sic)
Seules les 70 dernières pages du bouquin (qui en compte 527) peuvent valoir le coup. Entre deux ou trois crimes horriblement détaillés, ce cher Pat Bateman manque de se faire prendre par la police, angoisse, perd pied et réfléchit. Mais c'est tellement insuffisant pour justifier toutes les atrocités commises au gré des envies du « héros ». Ça finit même…bien !
Bref, je ne conseillerais pas ce livre. L'auteur peut être intéressant mais ce bouquin est plutôt à éviter, surtout après manger…

p.s : je vous ai évité les pires extraits, notamment les sympathiques meurtres de filles qui sont des miracles d'ingéniosité et de cauchemars… Pour vous donner une idée, voici quelques mots, je vous laisse deviner, ce qu'il a pu en faire : acide, câble électrique, tronçonneuse, rat, fromage, vagin…
Si il existait une interdiction comme pour la télé ou le ciné, le livre porterait la mention, « interdit au moins de 18 ans »
Lien : http://revoir1printemps.cana..
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Abandon page 258/527

Dès le début j'ai senti que l'écriture n'allait pas me plaire mais ce livre est plus que connu donc je voulais me faire mon propre avis...j'ai même lu d'autres livres en même temps pour ne pas que celui-ci me rebute trop mais peine perdue.

Les énumérations imbuvables de vêtements hors de prix, d'objets, de meubles ont eu raison de moi.
Ajoutez à cela une liste de plat quotidien commandé (mais je pense à peine dégustés) dans des restos huppés de New-York par cette horde de trader de Wall Street qui font étalage de leur argent mais qui s'ennuient à mourir à moins de consommer de la drogue.

Pensant pouvoir faire abstraction de cela, on plonge ensuite dans l'horreur, la violence et la torture gratuite et des scènes de sexe.
Bref à quasiment la moitié je jette l'éponge, bien d'autres livres à découvrir. Il ne se passe rien d'intéressant, la vie de Patrick Bateman est bien triste.
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Un navet à éviter!!
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Un de mes pires souvenirs de lecture. Un bouquin que je n'ai jamais pu achever eu égard au dégoût croissant qu'il m'a inspiré au fil des pages, jusqu'à la nausée. Et dire que ce truc infâme a été porté à l'écran...
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