Petit pays

J'avoue que si mon fils n'avait pas dû le lire pour le collège je n'aurais pas lu « Petit pays ». Mais comme il aime bien que moi ou son père lisions les livres demandés en classe pour pouvoir répondre à ses questions, et bien je m'y suis collée. Je n'en avais aucune envie, je pressentais que je n'aimerais pas le roman de Gael Faye et je ne m'étais pas trompée, il n'y a pas eu de bonne surprise à l'arrivée. Au vu de la moyenne qu'il récolte sur babelio et de la moisson de prix qu'il a récolté, je suis clairement à contre-courant de la grande majorité des lecteurs de ce livre. En fait, je comprends assez que le bouquin ait plu, notamment aux adolescents, mais c'est typiquement le genre de livres qui ne fonctionne pas sur moi.

Une des choses qui me laissaient penser que je n'aimerais pas « Petit pays » est la façon dont l'auteur laisse planer une sorte de doute, est-ce un roman ou une autobiographie ? Je ne suis pas du tout contre le fait qu'un auteur utilise ses souvenirs personnels pour écrire un roman mais il faut que ce soit fait de façon subtile. Je trouve que ce n'est pas le cas dans « Petit pays ». Tout au long de ma lecture, j'ai ressenti comme un manque, il y avait un petit quelque chose qui clochait. Au bout d'un moment, j'ai compris, il manquait un personnage, ce qui est embêtant dans un roman. A cause de cela, j'ai trouvé « Petit pays » désincarné, je n'ai jamais vraiment réussi à m'intéresser à ce qui arrivait au narrateur car celui-ci n'avait pas pour moi une réalité de personnage, il n'était que celui qui raconte son histoire.
Le flou entre roman et autobiographie induit autre chose qui me dérange profondément, l'impression que l'auteur veut m'imposer une émotion mais pas par des moyens littéraires. J'aime être émue, bouleversée par un roman mais je n'aime pas avoir le sentiment qu'on m'impose cette émotion par la simple véracité des faits racontés, ça me donne l'impression d'être prise pour une idiote. Je veux que l'émotion naisse d'une belle tournure de phrase ou d'un beau personnage pas qu'elle ressemble à celle que je ressens devant les actualités.

Si je comprends que le roman ait plu aux lecteurs, j'avoue que j'ai plus de mal à comprendre la pelletée de prix littéraires qu'il a reçu. Je n'ai pas du tout été séduite par l'écriture que j'ai trouvée artificielle et maniérée. J'ai eu l'impression de lire un texte écrit par un collégien qui joue à l'écrivain. Ca prétend faire des jolies tournures de phrases, des comparaisons poétiques, ça se donne des grands airs mais c'est quand même bien pauvret au niveau du style. Je le répète, on dirait que c'est écrit par un ado.

Oui, je suis dure dans mes propos. Mais bon, c'est mon avis et il en vaut un autre. Tant mieux si la plupart des lecteurs y ont trouvé leur compte. Ce n'est pas mon cas, j'ai trouvé ce roman faible, facile et assez creux.

Je suis un peu surprise d'un si grand succès pour ce petit livre, et soupçonne une effet boule de neige... C'est une lecture facile,certes agréable, mais rien ne me semble justifier un engouement pareil. On dirait le plus génial romancier de tous les temps.
Mon fils de 14 ans (grand lecteur) l'a lu et c'est face à sa réaction désabusée que j'ai décidé de le lire aussi. Je précise qu'il l'avait lu tout de suite après celui de Ruta Sepetys, "Ce qu'ils n'ont pas pu nous prendre", qui est bouleversant et très bien écrit. Celui-ci l'a déçu par comparaison, et je comprends.
Par ailleurs un prix littéraire n'est pas un gage absolu de valeur littéraire. Ni d'ailleurs le fait que tout le monde s'engouffre pour encenser un livre ou un auteur. Il y a des thèmes qui prennent, d'autres pas du tout. La souffrance des pays anciennement communistes est dans cette perspective moyennement considérée. On ne se rend pas compte, mais il y a souvent - et c'est plutôt étrange dans le cas des livres traitant d'événements historiques - un effet de mode. Il me semble qu'il n'y ait pas de clarté morale en ce qui concerne le communisme, comme l'est pour le fascisme par exemple. Cela est dû en partie au pouvoir de la pensée de gauche qui, par peur d'être assimilée aux crimes du communisme, préfère mettre la poussière sous le tapis.
En conclusion, à mes yeux, "Petit pays" n'est pas un chef-d'oeuvre, mais c'est un bon livre qu'on lit avec plaisir. On verra, par la suite, si l'auteur a quelque chose (d'autre) à dire, ou si l'aventure s'arrête là.

Contrairement à la grande majorité des lecteurs babeliotes, je ne suis pas du tout rentré dans ce roman. Au bout d'une cinquantaine de pages, j'ai arrêté. L'Histoire vue par cet enfant ne m'a accroché. Pourtant c'est bien écrit, l'histoire dans L Histoire aurait aussi pu m'intéresser. Mais non !
Peut-être une prochaine fois...

Alors petit pays raconte l'histoire de Gabriel surnommer Gaby africain qui vit tranquillement avec sa famille en Afrique.



Une jour la guerre éclate entre les hutus et les titsus nommer les gros nez.
Gaby et sa bande d'amis sont tristes de voir leurs familles titsus mourir meme le président de la république vient d'être tués par les hutus alors les amis de Gaby décident de changer les choses il sortent alors qu'ils ne doivent pas et il dissimule des grenades dans un réfrigérateur et volent des mangues.
La guerre entre les hutus et titsus durent depuis 3 mois.
Gaby et sa bandes sont bien décider de changer les choses...



Je n'ai pas aimer cette lecture.
C'est bien pour cela que je ne met qu'une étoile car je n'ai vraiment pas aimé je le déconseille même si ÉNORMÉMENT de personne on aimé ce livre.

Je vous dis à très bientôt et je vous souhaites de merveilleuses lectures. ;)

Petit Pays. Gaël Faye. le livre de poche.

Petit pays est une oeuvre qui a reçu de nombreux prix et de nombreux éloges, on s'attend donc à un ouvrage exceptionnel.

Personnellement, j'ai absolument pas accroché, je n'ai même pas réussi à finir le livre, qui est à mi-chemin entre un documentaire et un livre de poésie.

On y trouve donc un amas de description sans intérêt et des "aventures" inintéressantes comme la quête pour retrouver le vélo volé.

Pas d'histoire ici, du moins pas dans les 70 premières pages, le maximum que j'ai pu endurer.

Idéal pour les littéraires férus de poésie et de grandes idées.

Excellent plagiat d'un dimanche à la piscine à Kigali écrit quelques années plus tôt

Je n'ai pas réussi à entrer dans ce roman qui m'est tombé des mains. J'en suis bien désolée vu le succès qu'il connait mais moi, je n'ai pas adhéré. J'ai donc arrêté sa lecture avant la fin.

SNIF, je n'ai pas aimé, pire je l'ai abandonné.... a ma décharge, c'est de l'audiolib, donc peut-être que ca a joué dans mon ressenti.
écouter en allant au travail et en rentrant au volant, en tentant de rentrer dans l'histoire, mais ca ne l'a pas fait..... des longueurs dans le texte, pleins de personnages, de descriptions, de lieux,... vous m'auriez vu en voiture, sourcils froncés à essayer de comprendre, de suivre.
après un tiers de passé, l'issue fatale, j'ai appuyer sur eject.
ce n'est pas mon style de livre à la base, trouver à la médiathèque, j'aurais tenter.

Pour ma part, je me suis littéralement ennuyée !
Et côté histoire (je m'attendais à quelque chose de bien plus profond) et côté écriture qui m'a laissée très perplexe.

Je suis peut-être passée à côté (ou pas), mais ce premier roman m'a laissée complètement de marbre.
L'auteur n'a pas su toucher la lectrice que je suis.

Je ne comprends donc pas l'engouement qu'il a suscité…
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