Astérix, tome 36 : Le Papyrus de César

C'était une lecture agréable.
C'est mon premier Astérix après la relève de Jean-Yves Ferri et Didier Conrad, et j'étais curieuse de voir la différence. Eh bien, je n'ai pas été déçue. Les auteurs ont su garder l'âme de la série. On retrouve une intrigue simple qui ouvre sur une aventure pleine de gags et de jeux de mots en tous genre. J'ai ri plusieurs fois et j'ai passé un bon moment.

OK Tier.

César écrit son fameux livre sur la Guerre des Gaules mais le passage sur le village des irréductibles gaulois est une grosse épine dans le pied de l'Imperator. Alors pourquoi ne pas effacer cette partie pour redorer son blason ? Sauf que les irréductibles gaulois souhaitent laisser leur empreinte dans l'histoire, alors pas question que César efface le village d'Astérix et Obélix de ses écrits, et c'est justement les 2 héros qui vont s'en assurer…
Un album très sympathique avec toujours ses nombreux clins d'oeil et ses jeux de mots très drôles (rien que les noms des personnages sont toujours un plaisir à découvrir).
L'histoire n'est pas dans les meilleurs de la série, loin de là, mais il y a tout de même pas mal d'humour.

Le papyrus de César est le tome 36 des aventures d'Asterix. Il est paru en 2015.
César décide un jour d'écrire un livre sur ses faits de guerre. Son conseiller lui propose de taire ses nombreuses défaites face aux irréductibles Gaulois. Malheureusement, un scribe pris de scrupule détourne le manuscrit avant correction qui se retrouve ainsi en possession d'un journaliste gaulois. le conseiller de César se lance à la poursuite de ce dernier afin de préserver l'honneur de son empereur...
Personnellement, j'ai bien apprécié cet opus. Il y a de nombreux traits d'humour et le scénario est plutôt bien élaboré.
Concernant les dessins et la mise en couleur, il n'y a rien à redire : les graphismes sont comme toujours, agréables et fidèles aux précédents volumes.

en temps qu'historienne, j'ai aimé ce volume qui interroge sur l'écriture de l'Histoire !

Nouvel opus de la reprise d'Asterix par Ferri et Conrad. Je n'ai pas lu encore ASTERIX CHEZ LES PICTES, donc je ne savais pas ce que valait cette nouvelle équipe. Et bien, c'est pas mal du tout. le trait de Didier Conrad est assez fidèle à celui d'Uderzo, tout en parvenant à faire vivre son style propre. Mais le plus important bien sur, c'est l'écriture, et il faut avouer que Ferri s'en sort avec les honneurs. S'attachant à l'esprit de Goscinny, Ferri livre une histoire actuelle, qui se moque du monde de l'édition et des médias. Il a parfois tendance à charger la barque au niveau des jeux de mots, mais on ne va quand même pas lui reprocher sa générosité. Entout cas, c'est de la belle ouvrage. Tellement mieux que ce qu'Uderzo avait pu proposer seul, qu'on ne peut que le féliciter de son départ.

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Les derniers Astérix m'avaient assez déçue et j'étais très hésitante à replonger dans une nouvelle aventure. Mais il faut laisser le temps au temps comme on dit. Et là, ce Papyrus de César m'a fait rire, sourire, m'a fait tourner les pages pour découvrir la suite de cette histoire. Bravo. J'ai passé un vrai bon moment de détente, avec un Obélix toujours aussi charmant et bon enfant.

dernier opus des aventures d'Astérix qui cette fois se confronte au monde de l'information. César veut "gommer" de ses commentaires les revers qu'il a subi de la part du village gaulois mais son manuscrit disparaît avant de réapparaître chez les gaulois...jeux de mots, humour sont au rendez-vous...Un exercice plutôt réussit !

Un bon asterix plus par ses dialogues que par l'histoire.

cela faisait longtemps que je n'avais pas lu d'Astérix ! Je l'ai bien aimé. Celui-là a plein de références aux médias : les personnages Bigdatha et Résowifix , les pigeons messagers ("on garde le pigeon" = piratage de l'information), les canalis (tuyaux-scoops), les colporteurs ancêtres des journalistes-reporteurs, la censure, la communication "il appelle avec un roseau ?" "oui, bien sûr, c'est connu : pas de roseau, pas d'appel !"). Les gags sont présents, mais l'histoire n'est pas des plus intéressantes.
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Pour de meilleures ventes et un passage à la postérité plus reluisant, le conseiller en communication de Jules César, Promoplus, lui recommande d'effacer un passage de la Guerre des Gaules concernant une défaite face à nos irréductibles Gaulois. le papyrus est enlevé du reste du récit mais un scribe défenseur de la vérité historique va le dérober et le transmettre au colporteur, Doublepolémix qui promet de dévoiler un immense scandale...

Vous vous en doutez, cet album va donc porter sur la diffusion de l'information et les médias. Un thème on ne peut plus d'actualité et moderne, que j'ai aimé trouver dans ce nouvel album d'Astérix et que traitent Jean-Yves Ferri et Didier Conrad avec humour via beaucoup de clins d'oeil aux nouvelles technologies, comme Twitter, au monde des médias (Doublepolémix a été inspiré par Julien Assange, fondateur de WikiLeaks) ou encore aux horoscopes. J'ai aussi trouvé les illustrations impressionnantes de fidélité aux dessins d'origine ! Mais il m'a manqué quelquechose dans cet album, que j'ai trouvé assez plat une fois fini, malgré une idée de départ prometteuse et des détails amusants. Comme s'il ne s'y passait finalement pas grand chose...

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