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Pour commencer l'idée de base du livre d'une personne envoyée pour en manipuler une autre et la pousser à faire crasher un avion est je trouve excellente. Je ne suis absolument pas phobique de l'avion et pourtant j'ai trouvé la situation vraiment angoissante. Toujours à propos de la situation initiale j'ai aimé qu'elle soit rapidement posée, l'auteur ne se perd pas en digressions et l'action démarre très rapidement et ce quel que soit le point de vue.
L'action en elle-même est bien gérée, particulièrement au niveau des twists que j'ai trouvé assez présents sans que ça ne parte dans le too much. Certains y trouveront sûrement des invraisemblances quand même mais personnellement j'étais tellement dans l'histoire que je me suis totalement laissée porter. D'ailleurs j'ai aimé le fait de deviner certains éléments tout en me laissant totalement prise au dépourvue par d'autres. L'auteur a parfaitement su me manipuler par moment et je me suis laissée avoir comme une bleue dans le bon sens du terme.
Les personnages sans être révolutionnaires sont rendus suffisamment attachants pour donner envie de les suivre pendant ces un peu moins de 400 pages et les quelques moments d'émotions ont aussi très bien fonctionné sur moi. L'histoire de Mats (le psychiatre chargé de la fameuse manipulation) en particulier m'a touché avec ses zones grises et la façon dont l'auteur a parfaitement maîtrisé son destin de A à Z. Pour moi qui suis très peu souvent vraiment satisfaite des fins pour le coup je le suis totalement.
Pour conclure je ne peux que vous conseiller ce thriller si vous aimez les récits efficaces et sans temps morts que vous soyez ou non phobiques de l'avion. Amateurs de huis clos c'est aussi pour vous.

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Le dénouement de l'intrigue est un concentré fort en action et en rebondissements.

Certains passages que je ne comprenais pas prennent tout leur sens et j'ai aimé le fait que même à la fin, j'ai encore été surprise. Je pensais que tout était fini et bim, le clou final vient pour m'émouvoir et m'arracher des larmes. La fin du roman est très belle et même encore maintenant, elle me reste en tête.

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Mats, psychologue de renom, a une phobie : l avion. Mais pour rejoindre sa fille Nele qui va mettre au monde son premier enfant, il va traverser l Atlantique et monter dans l avion pour la première fois de sa vie .
Malheureusement, rien ne se passe facilement malgré tous ses stratagèmes pour que le vol se déroule sereinement . Sa fille est kidnappée en plein accouchement et un maître chanteur lui demande de faire écraser l avion en échange de la vie de Nele et de son bébé...
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Nele s'apprête à accoucher par césarienne, à cause de sa séropositivité. Son père Mats, avec lequel elle est brouillée, prend l'avion de Buenos Aires pour la retrouver, malgré sa phobie des transports aériens. Mais Nele est enlevée, et ne sera libérée que si Mats, qui est psychiatre, accepte de collaborer avec des terroristes et de transformer l'une des hôtesses de l'air, une de ses anciennes patientes, en véritable bombe humaine…

Un vrai thriller truffé de rebondissements et de fausses pistes, dans lequel chaque chapitre s'achève sur un cliff hanger insoutenable. A la longue, c'est un peu fatigant : il y a la situation de Nele, enfermée dans une ancienne salle de traite, séquestrée par un jeune homme qui ne supporte pas la souffrance faite aux vaches auxquelles on enlève leur petit pour récupérer leur lait ; le huis clos dans l'avion, au cours duquel le psy se voit contraint de bafouer le serment d'Hippocrate tout en luttant contre son aviophobie et en craignant pour la vie de sa fille ; le traumatisme subi par la patiente de Mats quelques années plus tôt ; l'enquête que mène sa consoeur et ancienne amante à Berlin pour retrouver Nele ; la séropositivité ; enfin l'objet de la brouille entre père et fille. N'en jetez plus ! A vouloir entretenir le suspens, l'auteur nous livre un roman excessif dont la complexité se résout comme par magie, dans un dénouement façon Hercule Poirot qui défait tous les noeuds de l'intrigue. Un moment de lecture pas désagréable, mais dont on sort un peu gavé.

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Je ne sais pas si je suis déçue ou frustrée. Probablement les deux, parce qu'on ne va pas se mentir, Sebastian Fitzek nous a habitué à mieux. A beaucoup mieux, avec des histoires complexes mais savamment menée et des personnages à la psychologie bien exploitée.

Ici, c'est tout le contraire.

On reconnaîtra tout de même l'atmosphère assez oppressante, il nous emmène dans ce fameux vol, dans une histoire contre la montre, avec l'envie de connaître la suite.

Mais de mon point de vue, ce sera à peu près le sol point positif à ce nouveau roman.

Déjà, le récit en huis clos dans un véhicule rappelle un peu son précédent roman "Passager 23" (qui n'était d'ailleurs pas non plus son meilleur).

Mais surtout, le déroulement en lui-même m'a laissé sceptique. J'ai trouvé l'histoire de fond abracadabrante, voire totalement ridicule tant les personnages sont extrêmes et sans nuance. Les "méchants" n'ont absolument aucune crédibilité et se retrouvent embarqués dans une histoire pour des raisons totalement absurdes . En fait, on est dans la surenchère.

Des retournements de situations prévisibles à des kilomètres à la ronde ne permettent même pas de garder un peu de surprise, et une fin vraiment plate et longuette. A partir du moment où le vol est fini, c'est un peu comme si le livre l'était aussi. D'où tout une petite partie de remplissage qui n'apporte vraiment pas grand chose, si ce n'est de l'ennui.

C'est d'autant plus frustrant que le concept de base (à savoir, comment réagirait-on si on nous laissait le choix entre planter un avion où on se trouve soi-même avec six cents autres passagers, ou laisser mourir sa fille) frappait pourtant fort.
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J'ai découvert Sebastian Fitzek sur le tard puisque c'est en 2012 que j'ai lu Thérapie (publié en 2008 dans sa version française). le coup de coeur fut immédiat, du coup j'ai récupéré tous les titres disponibles de l'auteur sans jamais avoir trouvé le temps de les lire.

Depuis je continue d'acheter ses romans au fur et à mesure de leur sortie avec la ferme intention de les lire, mais finalement nombreux sont ceux qui se retrouvent oubliés dans les méandres de mon Stock à Lire Numérique.

Siège 7A, le dernier roman de Sebastian Fitzek, fait partie des titres sauvés de l'oubli (même si je ne perds pas espoir de lire les titres qui m'ont filé entre les doigts).

Si l'intrigue du présent roman est globalement bien ficelée et très intéressante à suivre, j'avoue avoir eu du mal à être en totale immersion dans le récit. D'une part je n'ai éprouvé aucune empathie envers les personnages. D'autre part l'intrigue pèche parfois par manque de crédibilité (quand il ne s'agit pas d'invraisemblance flagrante).

Je n'ose imaginer le poids qui pèse sur vos épaules si vous devez choisir entre sauver la vie de votre enfant en sacrifiant celle de plus de 600 inconnus, ou, à l'inverse, sauver ces inconnus en sachant que cela condamnera votre enfant… Dans le genre cruel dilemme, difficile de faire pire ! Il n'en reste pas moins que je ne suis jamais parvenu à être en phase avec le personnage de Mats Krüger.

Carnivore revendiqué et totalement assumé (tout en étant un fervent défenseur de la cause animale), je suis insensible à la cause défendue par Franz Uhlandt ; d'autant que dans ses actes le gars passe plus pour un fou dangereux illuminé qu'autre chose.

Sans entrer davantage dans les détails, je referme le bouquin avec un goût d'inachevé sur toute une partie de l'intrigue ; ou plus exactement la conclusion apportée par Sebastian Fitzek ne m'a pas convaincu.

Au final j'ai pris beaucoup de plaisir à lire un thriller plutôt ficelé malgré ces quelques bémols, mais je n'ai pas été emballé outre mesure. Ce qui ne m'empêchera pas de continuer de surveiller de près les prochains romans de Sebastian Fitzek (en espérant une suite à la série consacrée au voleur de regards).
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L'été dernier, j'avais adoré le Colis du même auteur. Lorsque Siège 7a a été annoncé, un doute m'a étreint… c'est que, j'ai peur en avion, une peur irraisonnée, même si elle n'est pas bloquante, alors j'ai hésité, mais les chroniques de Clem (ici) et celle de Chris Pleack (là) m'ont convaincue d'embarquer pour un vol sous haute tension! Une fois n'est pas coutume, comme c'est une parution de mars des Editions l'Archipel, et que le confinement est venu mettre un terme à mes razzias en librairie, je me suis jetée sur la version numérique.

Rien que le résumé nous met déjà mal à l'aise : Il existe une arme que tout le monde peut embarquer sans encombre à bord d'un avion. Un vol de nuit Buenos-Aires – Berlin. Une passagère fragile psychologiquement. Un psychiatre contraint de la manipuler afin de faire s'écraser l'avion, sans quoi sa fille, la seule famille qui lui reste, mourra.

Soyons clair : ce roman se dévore. Les pages ont défilé sous mes doigts à une vitesse folle. La tension est maintenue tout au long du récit qui se déploie autour de deux axes : l'histoire de Mats, psychiatre prenant l'avion pour rentrer à Berlin, et l'histoire de Nele, sa fille, sur le point d'accoucher. Au début, nous ne comprenons pas vraiment ce qui sous-tend l'histoire familiale de cet homme. Il est parti, a quitté sa femme, sa fille le déteste mais lui demande de venir pour l'aider avec le bébé. Tout cela est trouble mais aussi intriguant car nous sentons confusément que quelque chose se joue ici. La culpabilité ronge Mats, la colère gangrène les relations père-fille et l'alliance des deux crée un terreau fertile au conflit, aux vengeances qui aiguise nos sens de Sherlock Holmes en herbe! reste à savoir si l'auteur n'est pas plus rusé que nous…. (spoiler : si!)

le lecteur est littéralement pris en étau entre deux urgences : un accouchement à risques menacé par le spectre de la mort. Forcément, une femme enceinte, au dossier médical sensible, qui doit accoucher sans médecin, en captivité, et mue par l'envie irrépressible de se sauver… ça crispe. le vol n'est pas plus serein : un coup de fil, une odeur familière, du personnel de bord antipathique ou inquiétant selon les cas, des passagers innocents courant – sans doute – à leur perte. Il n'en faut pas plus pour jouer avec nos nerfs. D'autant que ce voyage ressemble à une partie de cache-cache géant : enfermé dans une prison de métal, au milieu des nuages, il devient mission impossible de déjouer et de démasquer les projets du maître chanteur. Pourtant, Mats s'y emploie, avec l'énergie du désespoir, entre enquête par procuration, exploration de vieux documents et… renoncement car, oui, pour sauver la vie de sa fille, il se résout à entrer dans le jeu du maître chanteur et amorce une bombe à retardement au cas où l'impensable deviendrait sa seule option. Alors, bien évidemment, certains passages paraissent peu crédibles dans la vie réelle, certes… mais si on se laisse happer par le récit, ça fonctionne vraiment bien, et nous avons parfois aussi besoin d'une petite dose d'irréel.

Ce thriller est particulièrement bien ficelé. Il répond à une économie d'ensemble originale, rare et savoureuse. Lorsque l'on arrive à la fin de l'oeuvre, certains éléments du début nous reviennent en pleine face, et acquièrent une importance insoupçonnée. Alors, la narration prend tout son sens, alors nous comprenons les passages étranges, incompréhensibles pour ne pas dire farfelus. Pour autant, ces passages étranges étaient tous nécessaires car cela nous a plongés dans le même état de désorientation que Mats, avec un rare brio.

Dans ce roman, peu de personnages sont ce qu'ils semblent être, lorsque nous pensons les avoir cernés, une page vient détruire notre magnifique montage, comme s'il s'agissait d'un château de cartes. Bien entendu, il est étonnant que Feli accepte d'aider Mats, comme ça, sur un coup de tête, surtout au moment où il le lui demande, bien entendu, le manque de sagacité de certains peut être exagéré, mais en même temps, quand on a le nez entre les pages, on ne se pose pas autant de questions. Et, finalement, les petites incohérences chez les personnages deviennent les motifs de nos soupçons, cela nous aiguille et nous perd. Nous sommes donc surpris de bout en bout car chaque pièce du puzzle trouve sa place avant que la plume de l'auteur ne nous mette échec et mat. La chute du récit est parfaite : elle est à la fois tragique et émouvante. Elle renoue les liens et nous émeut profondément.

Ainsi, j'ai adoré Siège 7a de Sébastien Fitzek. Ce thriller est une lecture addictive, à l'écriture dense et resserrée, qui renoue (presque complètement) avec la tragédie classique : un lieu, une temporalité restreinte, et une urgence. le lecteur est tenu en haleine, emporté sur des fausses pistes, battu par des vents contraires avant que la tempête ne s'apaise et que nous n'assistions, sonnés, à un atterrissage spectaculaire et savoureux.
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Le commentaire de Cathy :
Sebastian Fitzek fait partie des auteurs que j'adore, j'attends avec impatience chaque nouvelle parution.
Cette fois-ci, l'auteur nous propose de prendre de la hauteur, en effet l'histoire se déroule dans un avion.
Un psychiatre prend un vol de nuit Buenos Aires - Berlin.
L'homme reçoit un étrange appel, sa fille a été enlevée, pour la sauver, il faut qu'il manipule une des passagères de l'avion afin de provoquer un crash.
Qui est derrière cette machination ?
Est-il encore possible de sauver sa fille ainsi que les passagers ?
Une fois de plus l'histoire que nous propose l'auteur m'a beaucoup plu.
Dès les premières pages, je me suis senti complètement embarquée, comme si j'étais moi-même dans cet avion.
La tension est présente de la première à la dernière page, une ambiance anxiogène se fait vite ressentir, il est évident qu'il ne fait pas bon de prendre l'avion après une telle lecture.
Comme dans chacun de ses romans, l'auteur a très bien travaillé la psychologie de ses personnages.
Le suspense reste présent jusqu'à la dernière page, difficile de reprendre son souffle tant, les événements s'enchaînent à une vitesse folle.
Si vous n'avez encore jamais lu de roman de Sébastian Fitzek, je vous conseille vivement de vous lancer.
Lien : http://lesmilleetunlivreslm...
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Quoi de mieux quand on est aviophobe que de lire un thriller en huis-clos dans un avion?! Bah oui c'est logique histoire de bien enfoncer le clou 🤣. J'ai donc lu le dernier roman de Sebastian Fitzek «  Siège 7A » et je dois dire que ce fut une belle première rencontre avec l'auteur! Je n'ai absolument rien deviné. Tout y est construit pour nous mener par le bout du nez !Tension, oppression, claustrophobie, suspens, rythme effréné, rebondissements, des twists, des personnages travaillés, un compte à rebours, un ultimatum des plus tragique! Bref du bon thriller psychologique quoi ! .

Mais siège 7A, c'est également le récit où tu apprends quel siège il ne faut absolument pas prendre dans un avion! Ça peut toujours servir 🤣. Nous apprenons également sur le fonctionnent du cerveau, ses processus psychologiques et mécaniques. .

Des chapitres courts avec alternance des narrateurs qui dynamisent le tout. Et que dire des dernières pages ?! Elles nous font appréhender notre lecture sous un nouveau jour ! .

Je vais résumer brievement pour ne pas vous gâcher la lecture 😉. Mats Krüger, psychiatre allemand, embarque sur le vol Buenos Aires-Berlin pour rejoindre son unique fille Nele sur le point d'accoucher. Phobique de l'avion, le médecin s'est livré à de nombreuses recherches aéronautiques avant son vol. Un vol long courrier de nuit, ma phobie! 🤣 Mais malheureusement pour lui le trajet ne sera pas de tout repos. En effet, à Berlin, la vie de sa fille est menacée et lui seul détient les clés pour éviter le drame ... .

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Ceci est mon premier Fitzek… j'avais certes vu passer le colis il y a quelques temps, mais n'avais pas osé franchir le pas. C'est désormais chose faite et j'ai adoré !
Le récit se découpe en chapitres plutôt courts, alternant les points de vue de Nele, enceinte et prête à accoucher, Mats, son père aviophobe et sur le point de prendre l'avion et Féli, une consoeur de Mats, qu'il n'a pas revu depuis plusieurs années. Nous avons également quelques chapitres du point de vue d'autres personnages, mais ils sont moins nombreux.
J'ai trouvé que Siège 7A était extrêmement bien construit, et surtout écrit, car l'auteur arrive à nous faire vivre toute la peur, la détresse et l'impuissance de Mats. Une partie de l'action se déroule à huit clos, dans l'avion, où Mats est coupé du monde, dépendant du bon vouloir de son maître chanteur et des avancées de Féli sur le terrain. Il ne maîtrise rien et tente de réagir au mieux avec les cartes qu'il a en main. Il va tout faire pour sauver sa fille sans devoir atteindre les extrémités qu'on lui demande, et en essayant de lutter contre sa conscience professionnelle. le déchirement qui s'opère en lui est progressif, marquant et se manifeste par des remarques qu'il se fait à lui-même (sous forme de phrases en italique). Nous sommes tout entier plongés dans cette ambiance confinée, en proie à l'angoisse, avec l'envie de faire accélérer les choses et de pouvoir retrouver Nele.
A travers l'introspection des différents personnages, nous en apprenons d'avantage sur le passé, le traumatisme subit par Kaja, cette ancienne patiente de Mats, et les circonstances qui ont conduit à la fuite de ce dernier. Chacun renferme ses propres fêlures, qui vont se trouver ravivées par l'épreuve qu'ils traversent.
Je ne sais pas si tout est vraiment vraisemblable ou pas, mais j'ai décidé d'y croire. Je me suis laissée mener par le bout du nez par Sebastian Fitzek, prise dans la spirale des coups de fil, révélations, et points de vue différents qui ne dévoilent pas tout et peuvent, parfois, prêter à confusion. le dénouement m'a donc vraiment surprise, que ce soit l'identité du maître chanteur ou celle d'un autre personnage croisé par Féli. de même, la façon dont prologue et fin du roman se rejoignent, laisse repenser tout le déroulement du vol auquel nous venons de prendre part d'une autre manière. Certains détails, comme le mystérieux homme du siège 47F ou l'odeur de parfum trouverons un sens.
La psychologie des personnages est vraiment bien construite, entre manipulateurs en tout genre et relecture du passé ; le plan qui se dévoile sous nos yeux, machiavélique et la chute vertigineuse.
Certaines scènes sont choquantes et Nele ne pourra que nous convaincre par son courage. Femmes enceintes, s'abstenir (ou en tout cas attendez d'avoir accouché).
Ceci ne sera donc probablement pas mon dernier Fitzek ! Merci aux éditions de l'Archipel de me l'avoir fait découvrir !
PS: je n'ai pas parlé de lait, mais je pourrais presque avoir peur de continuer à en boire ^^
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