Citations sur Le siècle, tome 1 : La chute des géants (203)
- Ce doit être tellement passionnant d’être au cœur du pouvoir !
- C’est passionnant en effet mais, curieusement, on n’a pas l’impression de se trouver au centre du pouvoir. En démocratie, le président se soumet à la volonté des électeurs
- Oh j’ai du mal à croire qu’il fasse exactement ce que veut l’opinion publique.
- Pas au sens littéral du terme, naturellement. Le président Wilson estime qu’un chef d’Etat doit tenir compte de l’opinion publique de la même façon qu’un marin tient compte du vent : en l’utilisant pour pousser son bateau dans une direction ou une autre, sans jamais chercher à s’y opposer de front.
Cette auteur a le dont de nous embarquer dans un livres de 1000 pages avec une écriture remarquable. Les pages se dévore , une fois le livre en mains, malgré quelques longueurs . Les multiples personnages sont attachants comme détestable et prend plaisir à les suivre les voir avancer, évoluer durant cette période de l'histoire difficile. Des femmes à la recherche de la liberté très attachante
C'était vrai, Lev avait toujours été égoïste. "On n'aime pas ses proches parce qu'ils sont bons et aimables. On les aime parce qu'ils sont de notre famille.
The Bolsheviks were completely undemocratic. The dictatorship of the proletariat was a real dictatorship, but the rulers were middle-class intellectuals such as Lenin and Trotsky, assisted by only such proletarians who agreed with their views.
She was crying for the lost years, and the millions of boys lying dead, and the pointless, stupid waste of it.
L'armistice fut un moment de profond désarroi. Il avait toujours pensé que la guerre était une grave erreur, mais n'éprouvait aucune satisfaction à avoir eu raison Son pays avait été vaincu et humilié et ses compatriotes mourraient de faim.
Le prince s'adressa aux villageois : "Cette prairie appartient à la princesse Bea. Personne ne peut y faire paître du bétail sans son autorisation. Agir ainsi, c'est voler l'herbe de la princesse."
Un murmure de ressentiment s'éleva de la foule. Les villageois n'acceptaient pas ce principe de propriété, en dépit de ce qu'on leur racontait tous les dimanches à l'église. Ils adhéraient à une moralité paysanne plus ancienne selon laquelle la terre était à ceux qui la travaillaient.
"La classe ouvrière est beaucoup plus nombreuse que la classe dirigeante, et plus forte. Ces gens-là dépendent entièrement de nous. C'est nous qui produisons leur nourriture, qui construisons leurs maisons, qui fabriquons leurs vêtements. Sans nous, ils sont morts. Ils ne peuvent pas se permettre n'importe quoi, sauf si nous les laissons faire. N'oublie jamais ça."
- Je suis moins confiant que vous sur ce point."
Gus n'avait pas envie de s'engager dans un débat avec le père de Rosa, mais la Société des nations était un sujet qui lui tenait à cœur. "Je ne dis pas que nous réussirons à éviter toutes les guerres convient-il d'un ton conciliant. Mais je pense qu'elles seraient moins nombreuses et plus courtes, et que les agresseurs n'auraient pas grand-chose à y gagner.
- Je serai assez tenté de vous suivre. Cependant, de nombreux électeurs ne raisonnent pas comme vous : "Qu'importent les autres pays, disent-ils, tout ce qui nous intéresse, c'est l'Amérique. Ne risquons-nous pas de devenir le gendarme du monde ?" C'est une question raisonnable".
Je ne vois pas ce que l’obéissance vient faire dans le
mariage. Deux adultes qui s’aiment doivent pouvoir
prendre des décisions ensemble, sans que l’un
soumette sa volonté à celle de l’autre.