AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
4,08

sur 856 notes
Livre pour lectrices qui ne lient pas de classiques. Un du cheap Downtown Abbey. le seul intérêt et l'analyse de la montée des droits de travailleurs en grande bretagne et la rigueur historique du récit. Je me serais bien passé de ce livre bien trop long
Commenter  J’apprécie          40
Commenter  J’apprécie          40
Une vraie réussite pour ce dernier opus de la série Kingsbridge.
Nous découvrons cette fois les début de l'ère industrielle en Angleterre a beau milieu des guerres Napoléonienne.
Des personnages bien travaillé, toujours manichéens, mais c'est aussi pour ça qu'on aime Ken Follett.
Commenter  J’apprécie          40
Quel conteur ce auteur
Quelque soit le sujet il sait nous embarquer.
Lire un pavé de 800 pages écrit par lui, ça ne fait facilement.
On est vite happé.

Dans cette page d'histoire, il sait dépeindre avec beaucoup de justesse, l'époque, les gens avec une justesse.
Son livre ressemble à une succession de tableaux animés

Cette part d'histoire fini sur Waterloo, une épreuve tres douloureuse pour la France

Je ne peux que conseiller ce nouveau chef d'oeuvre.

Moi qui ne suis pas une fan d'histoire, je sais qu'à chaque fois je suis transportée
Commenter  J’apprécie          40
les armes de la lumiere est le cinquieme volume de cette s erie qui raconte le desrtin des habitants de la petite ville de kingsbridge en anlgeterre. Apres le temps des cathedrales , l auteur nous plonge à la fin du 18E siecle .Le royaume est dirig" par un gouvernement conservateur qui réprime toute tentative de révolte. Tandis que de l autre coté de la Manche , napoleon bonaparte accroit son pouvoir. MAis la revoluton industrille pointe son nez et bouleverses les ordres établis. Une generation d ouvriers et de paysans aspire à d'avantage de liberté. C est cette époque charniere , entre l ancien et le nouveau monde , que nous fait decouvrir le maitre du roman historique avec toujour la meme recette qui a fait son succes : un recit romanesque tres grand public et un souccis scrupuleux de rendre compte d uenn époque en véritable historien
Commenter  J’apprécie          40
En quelques mots :
Ce livre reste une très bonne lecture dans le style que l'on connait de Ken Follet qui ne réinvente rien mais qui donne parfaitement l'ambiance à une époque précise mêlant fiction et réalité.

En beaucoup plus de mots :
J'affectionne particulièrement le titre de ce roman : "Les armes de la Lumière". Nous voici un siècle après le début du courant de pensée européenne philosophique, littéraire et intellectuel ait émergé. Mais ce courant connu désormais de tous n'a pas eu seulement les conséquences d'une révolution de pensée mais dans la vie concrète, a eu pour répercussion le développement de la mécanisation dans beaucoup de domaines.

Ken Follet prend l'exemple de la manufacture textile et la révolution industrielle est en marche et elle devient une arme face à une population laissée pour compte contre un gouvernement tyrannique. Cette révolution, cette arme va couter la vie à certains.

Comme souvent, lorsque l'on commence un tome de la saga KINGSBRIDGE ou "Piliers de la terre", on embarque dans un roman riche en personnages. J'ai trouvé qu'ici, ils étaient moins manichéens qu'ils pouvaient l'être dans les précédents tomes que j'ai déjà lus : le remord pour certains, les valeurs pour d'autres sont plus mis en valeur. Il en reste cependant que j'aime particulièrement chez Ken Follet, ces personnages exécrables qui ne vivent que pour écraser les plus faibles.

Et c'est d'ailleurs un schéma reproductif dans chaque tome mais comment pleinement le reprocher à son auteur puisque cela décrit au final l'âme humaine et l'Homme en tant qu'individu perfide ou plus exactement loyal à ses principes et cela depuis la nuit des temps.

Un gros pavé au rythme inégal avec quelques facilités scénaristiques en particulier lorsque l'auteur arrive à envoyer en Belgique l'ensemble de ses personnages principaux, fictifs ou réels au même endroit. J'ai trouvé ça un peu dommage. Il en est de même pour les histoires d'amour qui se répètent d'un personnage à l'autre pour, à chaque fois, la même conclusion ; au lieu d'être rassurée par ces fins heureuses, je me suis sentie frustrée que ça soit si évident et cyclique.

Cependant, j'ai appris beaucoup de choses et en particulier sur la mise en place de la Combination Act c'est-à-dire l'interdiction par le gouvernement britannique des syndicats ouvriers et les revendications collectives des travailleurs.

Quant à la fin, j'ai le regret une fois de plus de la facilité choisie avec un "ils vécurent heureux jusqu'à la fin des temps". Trop rapide à mon goût ou mal amené, je m'attendais à autre chose.
Lien : https://exulire.blogspot.com..
Commenter  J’apprécie          40
Suite et fin de la saga de Kingsbridge sans surprises et trop manichéenne, les méchants sont vraiment très méchants et très riches, les gentils, pauvres ou de la classe moyenne font front et subissent les coups du sort et la méchanceté des méchants. Mais heureusement, tout finit par rentrer dans l'ordre, les méchants expient leurs péchés dans la mort, et la plupart des gentils "vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants" (plus ou moins légitimes).

Mais pourquoi Ken Follett a-t-il cru indispensable d'introduire une bonne dose d'homosexualité, masculine et féminine, n'allant toutefois pas jusqu'à décrire explicitement des scènes de sexe entre femmes ou entre hommes, ces derniers se contentant de "s'embrasser" et de "partager leur lit" ? Les scènes de sexe entre un homme et une femme étant bien plus explicites, particulièrement celle de la fellation qui m'a bien amusé. N'étant pas spécialiste de l'Angleterre de la fin du XVIIIe siècle je m'interroge, peut-être l'homosexualité était-elle à la mode à cette époque, ou plus probablement, l'auteur a voulu introduire une dose d'inclusivité dans ses propos pour plaire au plus grand nombre et à la bienpensance actuelle.

Une énorme erreur historique est présente tout au long du roman, je ne sais pas si elle vient de l'auteur ou de la traduction française : les distances sont exprimées en kilomètres, ce qui à cette époque en Angleterre est totalement impossible.

Sinon, le livre est addictif et bien documenté sur la condition des ouvriers anglais à cette période, d'où ma notation de 4 étoiles.
Commenter  J’apprécie          40
Se plonger dans l'histoire et vivre les aventures de héros et anti-héros, quoi de mieux pour laisser son esprit s'évader quelque peu.
Ce roman porte la patte indéniable de Ken Follett, cette façon de conter l'histoire comme seul lui sait le faire. La révolution industrielle, la répression des aristocrates qui ne veulent pas voir leur autorité sappée, la création d'écoles, la formation des syndicats, la guerre en Europe avec pour point culminant la bataille de Waterloo... comme décor.
Je me suis comme à chaque fois attachée aux personnages. J'ai eu l'impression de vivre leurs vies. Et je suis admirative de voir comment les personnages ont su se mobiliser face aux nantis et comment ils ont pu trouver leur place et asseoir leur respectabilité. Passer de tisseur de laine à ingénieur de machines à tisser n'était à l'époque pas gagné.

Je me rappelle aussi que c'est mon grand-père qui m'avait fait découvrir les Piliers de la terre il y a près de 20 ans. Et je suis certaine qu'il aurait adoré cet opus, lui qui était dans le négoce de tissu.

Petit note au niveau de la traduction. Au fil de ma lecture, j'ai été surprise de remarquer quelques modifications stylistiques dans la rédaction (ou devrais-je dire de la traduction). En cherchant le nom du traducteur, je me suis alors rendue compte que pas moins de 4 traducteurs étaient associés à cet exercice. Peut-être est-ce mon oeil averti qui a su relever les petites nuances... en tous les cas, loin de gâcher ma lecture, je reste toutefois interpellée par le choix de faire collaborer autant de monde sur cet exercice de style.
Commenter  J’apprécie          40
Comme toujours avec Ken Follet le contexte historique est formidablement documenté et tel est l'intérêt de ce livre. Comme toujours, il y a des personnages que l'on suit avec intérêt et qui rendent la lecture facile et captivante. Cependant, je n'ai pas retrouvé le plaisir et l'intérêt que j'avais ressentis en lisant la trilogie des Géants du Siècle. Peut-être est-ce dû à l'époque qui m'est moins proche ? J'ai trouvé le passage sur la description des champs de bataille très long et ennuyeux et franchement le happy end est un peu plaqué.
Commenter  J’apprécie          30
Bon, Ken (tu permets que je t'appelle Ken ?), il faudrait que tu changes un peu la trame de tes histoires à Kingsbridge. Parce que j'ai eu l'impression de relire encore une fois Les Piliers de la Terre, mais en nettement moins intéressant. Les méchants puissants (sauf un ou deux) contre les bons pauvres (sauf un ou deux), on tourne en rond. Tout cela se lit sans effort car justement, on a l'impression que Ken, tu n'as pas fait d'effort.
Bon et puis c'est quoi cette manie de céder à la mode du moment : mettre des couples homosexuels dans l'histoire ! Si au moins ça servait l'histoire, mais même pas. le couple de lesbiennes, ce sont juste deux prénoms. Quand au couple homo masculin, on n'en sait pas beaucoup plus sur leur vie de couple.
C'est très bien de parler des minorités dans les romans (comme dans les films et les séries), elles ont été tellement oubliées. Mais encore faut-il le faire avec du sens, pas juste du plaqué.
Commenter  J’apprécie          30





Lecteurs (2477) Voir plus



Quiz Voir plus

Le pays de la liberté

Dand l'église du village qui prend position contre Sir George Jamisson?

Jimmy Lee
Mack Mc Ash
Harry Ratchett
Dermot Riley

9 questions
42 lecteurs ont répondu
Thème : Le Pays de la liberté de Ken FollettCréer un quiz sur ce livre

{* *}