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4,08

sur 814 notes
les armes de la lumiere est le cinquieme volume de cette s erie qui raconte le desrtin des habitants de la petite ville de kingsbridge en anlgeterre. Apres le temps des cathedrales , l auteur nous plonge à la fin du 18E siecle .Le royaume est dirig" par un gouvernement conservateur qui réprime toute tentative de révolte. Tandis que de l autre coté de la Manche , napoleon bonaparte accroit son pouvoir. MAis la revoluton industrille pointe son nez et bouleverses les ordres établis. Une generation d ouvriers et de paysans aspire à d'avantage de liberté. C est cette époque charniere , entre l ancien et le nouveau monde , que nous fait decouvrir le maitre du roman historique avec toujour la meme recette qui a fait son succes : un recit romanesque tres grand public et un souccis scrupuleux de rendre compte d uenn époque en véritable historien
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En quelques mots :
Ce livre reste une très bonne lecture dans le style que l'on connait de Ken Follet qui ne réinvente rien mais qui donne parfaitement l'ambiance à une époque précise mêlant fiction et réalité.

En beaucoup plus de mots :
J'affectionne particulièrement le titre de ce roman : "Les armes de la Lumière". Nous voici un siècle après le début du courant de pensée européenne philosophique, littéraire et intellectuel ait émergé. Mais ce courant connu désormais de tous n'a pas eu seulement les conséquences d'une révolution de pensée mais dans la vie concrète, a eu pour répercussion le développement de la mécanisation dans beaucoup de domaines.

Ken Follet prend l'exemple de la manufacture textile et la révolution industrielle est en marche et elle devient une arme face à une population laissée pour compte contre un gouvernement tyrannique. Cette révolution, cette arme va couter la vie à certains.

Comme souvent, lorsque l'on commence un tome de la saga KINGSBRIDGE ou "Piliers de la terre", on embarque dans un roman riche en personnages. J'ai trouvé qu'ici, ils étaient moins manichéens qu'ils pouvaient l'être dans les précédents tomes que j'ai déjà lus : le remord pour certains, les valeurs pour d'autres sont plus mis en valeur. Il en reste cependant que j'aime particulièrement chez Ken Follet, ces personnages exécrables qui ne vivent que pour écraser les plus faibles.

Et c'est d'ailleurs un schéma reproductif dans chaque tome mais comment pleinement le reprocher à son auteur puisque cela décrit au final l'âme humaine et l'Homme en tant qu'individu perfide ou plus exactement loyal à ses principes et cela depuis la nuit des temps.

Un gros pavé au rythme inégal avec quelques facilités scénaristiques en particulier lorsque l'auteur arrive à envoyer en Belgique l'ensemble de ses personnages principaux, fictifs ou réels au même endroit. J'ai trouvé ça un peu dommage. Il en est de même pour les histoires d'amour qui se répètent d'un personnage à l'autre pour, à chaque fois, la même conclusion ; au lieu d'être rassurée par ces fins heureuses, je me suis sentie frustrée que ça soit si évident et cyclique.

Cependant, j'ai appris beaucoup de choses et en particulier sur la mise en place de la Combination Act c'est-à-dire l'interdiction par le gouvernement britannique des syndicats ouvriers et les revendications collectives des travailleurs.

Quant à la fin, j'ai le regret une fois de plus de la facilité choisie avec un "ils vécurent heureux jusqu'à la fin des temps". Trop rapide à mon goût ou mal amené, je m'attendais à autre chose.
Lien : https://exulire.blogspot.com..
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Suite et fin de la saga de Kingsbridge sans surprises et trop manichéenne, les méchants sont vraiment très méchants et très riches, les gentils, pauvres ou de la classe moyenne font front et subissent les coups du sort et la méchanceté des méchants. Mais heureusement, tout finit par rentrer dans l'ordre, les méchants expient leurs péchés dans la mort, et la plupart des gentils "vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants" (plus ou moins légitimes).

Mais pourquoi Ken Follett a-t-il cru indispensable d'introduire une bonne dose d'homosexualité, masculine et féminine, n'allant toutefois pas jusqu'à décrire explicitement des scènes de sexe entre femmes ou entre hommes, ces derniers se contentant de "s'embrasser" et de "partager leur lit" ? Les scènes de sexe entre un homme et une femme étant bien plus explicites, particulièrement celle de la fellation qui m'a bien amusé. N'étant pas spécialiste de l'Angleterre de la fin du XVIIIe siècle je m'interroge, peut-être l'homosexualité était-elle à la mode à cette époque, ou plus probablement, l'auteur a voulu introduire une dose d'inclusivité dans ses propos pour plaire au plus grand nombre et à la bienpensance actuelle.

Une énorme erreur historique est présente tout au long du roman, je ne sais pas si elle vient de l'auteur ou de la traduction française : les distances sont exprimées en kilomètres, ce qui à cette époque en Angleterre est totalement impossible.

Sinon, le livre est addictif et bien documenté sur la condition des ouvriers anglais à cette période, d'où ma notation de 4 étoiles.
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Se plonger dans l'histoire et vivre les aventures de héros et anti-héros, quoi de mieux pour laisser son esprit s'évader quelque peu.
Ce roman porte la patte indéniable de Ken Follett, cette façon de conter l'histoire comme seul lui sait le faire. La révolution industrielle, la répression des aristocrates qui ne veulent pas voir leur autorité sappée, la création d'écoles, la formation des syndicats, la guerre en Europe avec pour point culminant la bataille de Waterloo... comme décor.
Je me suis comme à chaque fois attachée aux personnages. J'ai eu l'impression de vivre leurs vies. Et je suis admirative de voir comment les personnages ont su se mobiliser face aux nantis et comment ils ont pu trouver leur place et asseoir leur respectabilité. Passer de tisseur de laine à ingénieur de machines à tisser n'était à l'époque pas gagné.

Je me rappelle aussi que c'est mon grand-père qui m'avait fait découvrir les Piliers de la terre il y a près de 20 ans. Et je suis certaine qu'il aurait adoré cet opus, lui qui était dans le négoce de tissu.

Petit note au niveau de la traduction. Au fil de ma lecture, j'ai été surprise de remarquer quelques modifications stylistiques dans la rédaction (ou devrais-je dire de la traduction). En cherchant le nom du traducteur, je me suis alors rendue compte que pas moins de 4 traducteurs étaient associés à cet exercice. Peut-être est-ce mon oeil averti qui a su relever les petites nuances... en tous les cas, loin de gâcher ma lecture, je reste toutefois interpellée par le choix de faire collaborer autant de monde sur cet exercice de style.
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Comme toujours avec Ken Follet le contexte historique est formidablement documenté et tel est l'intérêt de ce livre. Comme toujours, il y a des personnages que l'on suit avec intérêt et qui rendent la lecture facile et captivante. Cependant, je n'ai pas retrouvé le plaisir et l'intérêt que j'avais ressentis en lisant la trilogie des Géants du Siècle. Peut-être est-ce dû à l'époque qui m'est moins proche ? J'ai trouvé le passage sur la description des champs de bataille très long et ennuyeux et franchement le happy end est un peu plaqué.
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On retrouve une nouvelle fois Kingsbridge et ses habitants. J'ai dévoré tous les romans précédents avec avidité et je me suis lancée dans celui-ci pleine d'enthousiasme. Et j'ai été un tout petit peu déçue par cet opus. Je trouve que les choses avancent trop vite; il y a beaucoup d'ellipses qui nous font sauté des moments que j'aurais aimé suivre, pour assister à l'évolution du ou des personnage(s). On retrouve quand même les ingrédients qui font le succès de Ken Follett : des intrigues, des méchants brutaux et sans aucune morale, des gentils qui se font floués et subissent des injustices mais qui continuent de se battre. Bref, on suit l'histoire avec plaisir, mais on est un peu frustré quand même. Peut-être que le filon de Kingsbridge touche à sa fin et j'espère que M. Follett nous publiera un prochain roman digne des Piliers de la terre.
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"Les piliers de la Terre" de Ken Follett reste l'un des 3 meilleurs romans que j'ai eu la chance de lire dans ma vie. On y découvre la construction d'une cathédrale à Kingsbridge, une ville fictive en Angleterre. Ensuite il y a la suite de ce livre, "un monde meilleur" qui est tout aussi addictif et qui relate, entre autres, une grande épidémie de peste noire, qui décime la population de la même ville. Vint ensuite "une colonne de feu" qui de déroule au XVI, puis le fameux prequel de toute la saga "le crépuscule et l'aube" qui raconte comment la ville de Kingsbridge a été créée.

Et bien ces deux derniers romans ainsi que le présentement critiqué, "les armes de lumière" qui lui situe Kingsbridge au fin XVIIIe-début du XIXe, pendant la guerre entre l'Angleterre et la France bonapartiste, sont dans la même veine : prenants à lire mais toujours avec un scénario construit de la même manière. Des méchants vraiment méchants, des gentils vraiment gentils, avec très peu de nuances. Des pauvres qui partent de rien mais font des choses incroyables avec leur grand coeur puis les riches qui les exploitent. C'est un peu dommage, je ne retrouve pas la surprise et le plaisir que j'ai ressenti lors de la lecture des deux premiers tomes.

Cependant, ce livre, tout comme l'entièreté de la saga, est richement détaillé et renseigné au niveau de l'Histoire. L'auteur fait énormément de recherches pour que le tout soit cohérent et instructif. Cela permet de découvrir des pans de certains siècle qu'on connaît moins tout en évitant une lourdeur dans la lecture. On a aussi l'opportunité de découvrir des métiers d'artisans d'antan. Par exemple dans les piliers de la Terre, les maçons sont mis à l'honneur, dans "un monde meilleur" ce sont les religieuses infirmières et ici, ce sont les drapiers ! C'est vraiment instructif.

Aussi, si vous n'avez jamais entendu parler de la stratégie de guerre de Wellington face à Napoléon, vous y découvrirez un bon résumé en lisant le roman.

Pour tous ceux et celles qui sont assidus de fictions sur fond Historique, foncez donc !
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Comme d'habitude, Follett mène ses personnages d'une situation de marde à l'autre.
Le premier mot que me vient à l'esprit, en lisant : manichéen.
Les gentils sont gentils, les méchants sont des trous-d-culs, généralement de père en fils...
Rarement plus nuancés...
On passe notre lecture a être fâché.

La recette Follett :
Des femmes fortes et intelligentes qui se bûtent à des brutes bornés.
Des p'tits génies qui se bûtent aux mêmes brutes bornées...
Une histoire d'amour impossible.
Un peu de sexe (gros cochon !...)

Peu de réflexions profondes ou d'introspections.
Beaucoup de dialogues.
C'est bien écrit comme Follett sait le faire et ça se lit vite.

La seule chose originale, c'est que les couples gais soient simplement décrient comme étant simplement... des couples. Sans persécussion.

D'après moi, ça ne passera pas à l'histoire comme Les Piliers.
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Dès le départ, entraînée dans l'histoire ! Une belle suite de cette incroyable saga, fresque historique et familiale. Ken Follett a un don incroyable pour happer le lecteur dans ses histoires de complots et de drames ! J'en redemande !
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Suite de la saga LES PILIERS DE LA TERRE. Ken Follett nous guide vers la modernisation de l'industrie anglaise ainsi qu'aux portes de la révolution française.
Fidèle à lui-même, il utilise les codes ayant déjà fait leurs preuves. Entre batailles, amours, manipulations et argent, la redondance avec les 4 premiers livres est flagrante.
Indépendamment on passe un excellent moment de lecture, mais si on se souvient des autres bouquins, on retrouve le même schéma d'écriture.

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