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4,45

sur 12143 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Je dirai plus tard ce que j'en pense, mais contrairemnt aux avis habituels sur ce livre, ce ne sera pas bon.



Voilà, j'ai enfin lu ce livre dont tant de louanges ont été écrites et tant d'exemplaires vendus (90 000 000 paraît-il ! on en a le tournis)
Bien, abusons de témérité et lançons-nous dans la critique non consensuelle. Voyez, je prends le pluriel de politesse pour éviter les coups de verges qui risquent en retour de me blesser l'échine.


C'est une immense entreprise d'esbroufe. J'ai eu l'impression de me trouver sur les trottoirs où abondent les contrefaçons. le style est indigent, redondant, pauvre, dilué, tristounet… une suite de copiés/collés du texte lui-même, à travers un récit pesant où la construction des cathédrale est utilisé à tout bout de champ, sans le moindre intérêt, ce qui est le plus triste.
Les personnages, brossés à la façon des rédactions de l'école primaire, abondent dans le détail qui n'avance jamais et ne donne aucune idée réelle de leur façon d'être (si ce n'est de leur comportement factuel). Il n'est pire péché pour un auteur que le manque d'imagination. Surtout quand la malice en simule l'abondance. La même histoire est récitée à l'endroit, à l'envers, dans les miroirs et les psychés qui pivotent sur eux-mêmes, sans compter les bégaiements et le retour sempiternel des événements dramatiques.
La forêt est utilisée comme on s'habillerait de guenilles : oui, elle est parcourue de chemins pierreux, de sentiers terreux, de fourrés touffus, de clairières à ciel ouvert… et elle contient des arbres en dehors de cette avalanche de truismes ! À la bonne heure, merci de l'information.
Oui, les cathédrales sont hautes, longues à construire. Il faut des pierres, du mortier, de l'huile de coude, du courage… et alors !
Oui, la soupe, et la soupe et encore de la soupe… si tu la manges mon petit, tu deviendras grand.
Oui, les rois, les prélats et les princes sont des humains aussi vils que les autres, parfois même davantage.
Oui, la guerre est violente, cruelle, injuste, épouvantable. On y perd des yeux, des doigts et même tout un membre si ce n'est finalement la vie, car la mort est au bout de sa logique impitoyable… la belle affaire !


Le pire est à venir. L'écriture utilise à outrance le rebond préparé d'avance. Je m'explique : si je décide d'aller à cheval de Paris à Deauville, je peux l'écrire en une ligne, en deux phrase, en deux paragraphes, en deux pages ou bien en mille. Comment ? ce n'est pas bien difficile : il suffit d'annoncer à l'avance tout ce qui ne se passera jamais comme il vient de l'être dit et de conclure au moment choisi. Certains (je ne remets pas en cause leur sincérité pour autant) parleront de rebondissements. À ce stade, ce sont de véritables envolées dans un monde en apesanteur. On en pleurerait si on n'arrivait pas à convoquer le rire.


Si nous osions une parodie à propos de ce voyage Paris-Deauville (revenons-y, puisque nous sommes à bonne école des redites autorisées, quant elles ne sont pas bénies de louanges), nous pourrions développer un enchaînement de conséquences à l'infini : en arrivant à l'écurie pour aller donner à la monture sa ration d'avoine, la porte est fermée ; le cavalier trébuche en allant chercher la clef ; sa cheville s'est tordue dans la chute ; il n'y a plus de Synthol dans sa pharmacie de fortune ; il se rabat sur de l'alcool officinal ; le flacon se casse en lui glissant des mains pendant que le cheval meurt de faim… et l'auteur peut continuer ainsi pendant des heures d'écriture, sans avoir encore entamé les déboires du cheminement, la séries des accidents probables et les surprise du bord de mer. Cette méthode dans le style est navrante quand elle n'a pas le charme de « Tout va très bien madame la marquise », ni l'élégance de Robert Lamoureux dans « le canard était toujours vivant ».
Quant à la culture prétendue qui laisse pantois le lecteur mystifié par les dorures… restons sérieux une minute ! Un badigeon ne remplacera jamais une belle patine.


Voilà donc l'impression que me laisse les redondances épouvantables de ce livre, qui est une belle fresque de l'indigence d'un esprit malin, si ce n'est un désert littéraire (tant est grande la surface gribouillée à l'encre de Chine). Mais le bluff est souvent plus efficace que le talent ; porté à ce niveau d'excellence, il devient éblouissant.


Il faut du courage, de l'inconscience ou un bon poids de bêtise pour signer une telle critique où la jalousie du succès peut griser une part de l'analyse. Aussi, je donne quand même 2 étoiles à ce roman-fleuve, car il brille dans le firmament et me suis sûrement trompé de cible parmi les étoiles.
Je demande donc pardon à l'auteur qui ne méritait pas une telle sécrétion de bile… mais tout de même, qu'il prenne en compte avec empathie l'ampleur de mon indigestion.



Merci à louisemiches et Rafman qui ont osé une seule étoile, mais également à Mamoutricottine, Ceinwin et C-Liner de nous accompagner dans un avis dissonant. Elles m'évitent de grands moments de solitude.
Quat à johaylex, il semble être le seul autre homme du groupe à ne pas être séduit, je lui offre ma sympathie.

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Les piliers de la terre... Ou le bouquin trouvé pour trois sous six ronds un jour et qui a rejoint ma pile.... Parce que j'aime les romans historiques, le moyen-âge, et qu'on m'en avait dit du bien... j'aurais pas dû je viens de perdre mon temps à lire ce livre.... et mes ronds, même si ce n'est que trois sous six ronds...

Pitch :
♫ c'est nous les damnés de la terre, c'est nous les piliers de la faim…. Angleterre au XII eme siècle, pas loin du comté de Shiring, c'est la merdasse Tom le maçon n'a plus boulot, le gars qui lui avait commandé une baraque à construire pour après ses noces annule le chantier parce que au final y aura pas de noces, y s'est fait jeter comme une chaussette sale, ça lui fout les glandes... à Tom aussi ça fout les glandes, il a une famille à nourrir, en plus y a le troisième en route, comment qu'y va faire ?... mais d'un autre côté, lui construire des baraques ça le passionne moyennement, lui y veut construire des cathédrales... enfin au moins une.

Oh comment je m'attendais pas à ça.... comment j'ai été surprise... je pensais lire du chef d'oeuvre, je me retrouve avec du best-seller de base... comment ça fait bizarre... le côté « ah tiens donc ».
Je croyais me retrouver avec un livre un peu ardu, avec un style soutenu, avec du chant lexical moyenâgeux, avec du fond, avec de la réflexion, avec de la construction narrative de folie, avec une vision historique tant dans les personnages que dans le contexte.... nope, nope nope, rien de tout ça, à part peut-être pour l'histoire de contexte...

Ouais ça demande pas beaucoup de cerveau, ni même de connaissances de base du XII eme siècle...
J'en suis toute esbaudie..
Ken Follet c'est pas le gars qui casse le cliché de base, non... c'est le gars qui s'engouffre dedans...
C'est pas le gars qui te crée des personnages complexes non plus.. plus manichéen cliché que ça, heu y a pas... le méchant est très très méchant (avec tous les poncifs du très très méchants, fourbe, retors, trahison que tu vois venir à quinze bornes, sadisme, égoïsme, bêtise, violence, orgueil et tout et tout).. les gentils très très gentils que c'est du bon gentil élevé aux grains... ( avec tous les poncifs du très très gentil, ouvert d'esprit, intelligent, amoureux, tendre, joyeux, bon, et bienveillant, en fait le contraire du méchant pas bo dans les mêmes clichés.)

J'ai eu l'impression de lire un soap opéra, un truc de fou... narrativement la même... et je suis pas cliente des soap opéra, du tout, c'est pas ma tasse de thé... même j'aurais tendance à fuir ce genre de truc.. c'est pas amour gloire et beauté.... quoi que si, mais au XII eme siècle avec bâtisseurs en toile de fond.... et je soupire.

- Ouah comme t'es dure !
- Nan juste réaliste...
- T'as vraiment pas aimé ? du tout du tout ?
- Nan, vraiment pas...
- Mais t'as lu cette pavasse jusqu'au bout.
- Bin ouais.. j'espérais du mieux, et puis ça demande pas une grosse attention, ça se lit facile.. d'où je pense le phénomène best-seller... les best-seller c'est des trucs fastoches, qui fatiguent pas le lecteur, la lecture de plage quoi... et pourtant ce livre m'a fatigué.. même mis en colère... c'est ultra malsain, ce gars l'auteur c'est pas un mec net...
- Ah ouais ? À propos de quoi ?
- du sexe... le sexe il a du mal...


Ouais, le sexe et Ken Follet.... les scènes de viol avec sadisme violence et en réunion sont écrites avec complaisance et jubilation, oh comme l'auteur se fait plaisir... elles sont pléthore (quand j'arrivais à ce personnage, et à ce genre de truc je mettais à lire en diagonale pour arriver où ça se finissait..)... Et le problème à mon sens, n'est pas le fait qu'il y ai des scènes de viol, non.. ce qui m'a posé problème, c'est qu'il faut attendre la 680 eme pages (en gros plus de la moitié du livre), pour avoir une scène de sexe aussi longue et aussi décrite entre gens qui s'aiment... avant y avait comme un voile pudique avec manteau, le côté on s'en fout, même si les protagonistes font l'amour tous les soirs (et que c'est dit)... hein ?... Heu pourquoi, attendre pour faire une belle scène de fesse alors ?... Et je me suis demandée... et j'ai trouvé, et c'est moche... c'est même pire que tout... les seuls qui ont droit au scène de fesses (consenti ou non) bin c'est les jeunes, les beaux... les autres, les gens au final normaux, les adultes... passer votre chemin y a rien à voir... heu je peux... Bleurg ! .. Oups désolée j'ai pas eu le temps de demander...

Parce que dans ma petite tête, j'ai un truc, le pendant la balance.... sorte d'équilibre, tu fais de la violence, tu fais de la tendresse, tu ponds du viol avec violence et sadisme, bin tu fais aussi le pendant en même quantité, tu équilibres la chose quoi.. Aussi bien pour la réalité, que pour ton lecteur.. tous les lecteurs ne sont pas de gros pervers voyeurs qui kiffent ce genre de scène même s'ils savent qu'elle existent, ont existé et sans doute hélas existeront encore, mais tout comme le pendant aussi (amour/tendresse/plaisir/ toussah)
Surtout que là l'auteur à quoi de faire, les couples qui s'aiment y en a un bon tas et en plus avec des point de vu interne, faisant parti intégrante du récit ...et pas du tout du tout du tout... re bleurgh....
Nan c'est clair que ça l'éclate bien d'écrire des scènes de violence, de perversité, de viol... c'est d'ailleurs le seul personnage ( le cliché du psychopathe violeur sadique et pédophile aussi... bon sur le pédophile on pourrait me rétorquer mais c'est le contexte qui veux ça... certes ok, mais l'auteur s'appesantit tellement là-dessus avec un côté assez jubilatoire (pour lui, hein, pour lui) que au secours !) Donc le seul personnage qui amène une émotion (négative off course pour moi).. le seul personnage.. les autres mais y sont lisses, mais lisses, aucune aspérité nulle part.. rien queud.... s'en est même désespérant.... Bleurgh !

Ken Follet c'est celui aussi qui te fait … du pompage avec les histoires moyenâgeuses.. oh tiens je nous fait un coup de Robin des bois, un coup de Braveheart ( pour les conneries en plus historiquement, les clichés ont la peau dure !)... ce genre de trucs auraient rendu un pote historien médiéviste fou de rage et de colère, c'est lui d'ailleurs qui m'a appris des trucs, moi des fois je gobais comme une imbécile, prenais les choses pour argent comptant... nope nope nope... Alors pour un roman historique c'est un peu moche, je m'attends maintenant à entendre des trucs, « mais Ken Follet il l'a écrit, c'est que ça doit être vrai... » nope... bon c'est un roman... et je sais que le roman (même historique) bin c'est du fantasme, de l'imagination et tout et tout... je sais...
Mais y a tellement de cliché pour tout.. que je crois bien que j'ai fait overdose... et j'espérais au moins pour le côté historique que non... Raté !
Personnages clichés
Narration cliché
Écriture cliché ( au fait vous attendez pas à un langage vraiment moyenâgeux.. nan....)
Histoire cliché ?.. en plus... ah j'aurais du me douter...

En fait à part pour ces foutus bâtisseurs, et les grands événements historiques qui parcourent le livre, le reste c'est bien la foire au jambon, les portes ouvertes à toutes les fenêtres.. nawak !

Cliché et manichéen on vous a dit ! Et pi c'est tout !
Pas de tension.. aucune... nada queud... construction narrative à deux balles.. problème : les méchants pas bo qui veulent empêcher la construction de la cathédrale des gentils choupi (unique ressort narratif).. résolution du pb à la page suivante.... et gloria alléluia té deum des gentils choupi ! Ah ah on les a eu !... jusqu'à la prochaine fois... et je plisse le regard en soupirant... (눈_눈) ....

Et en fait malgré ma tartine, je pourrais encore en rajouter, et sur bien des aspects, les femmes (au secours !) les personnages secondaires ( y existent pas en fait, sorte de figurant à qui on donne un nom pour combler le vide des lieux), la religion ( c'est assez pervers au final, le côté venez à moi les petits enfants avec la gueule saloir...).... finalement sur tout je pourrais pondre une tartine négative... alors je vais arrêter là... sinon overdose...

En bref j'ai pas aimé Les piliers de la terre de Ken Follet.
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Un roman historique facon Dallas L'époque et la construction d'une cathédrale n'arrive pas à compenser une histoire faible, des caractères superficiels et monolithiques. J'ai lu ce livre sans déplaisir, comme un roman de plage. Ma sévérité a été un peu exacerbée par les nombreuses critiques très (trop?) élogieuses lues avant lecture. La déception a été réelle.
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Intéressant mais que c'est répétitif et prévisible. du bon divertissement mais rien d'inoubliable ou d'indispensable.
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Je suis très gêné pour parler de ce livre, car je ne l'ai pas du tout aimé et pourtant je l'ai dévoré, allez comprendre !
Malgré ses défauts qui auraient dû être rédhibitoires, il me tardait chaque fois d'en reprendre la lecture.
Un peu comme on se laisse prendre par une émission de télé-réalité que l'on trouve totalement abêtissante (enfin je suppose que c'est comme ça que ça se passe ;-)))
Bref, côté défauts : psychologie des personnages quasi inexistante, manichéisme débridé, dialogues (notamment amoureux) d'une rare bêtise, et des rebondissements sans fin qui en deviennent lassants à force d'être répétés. Et aussi un style littéraire banal.
Côté attrait : une description minutieuse et intéressante des usages de l'époque, une description précise des pouvoirs, des alliances et arrangements de l'église, une introduction à l'architecture pour qui n'y connaît rien.
N'empêche que la balance penchant largement côté défauts, je ne m'explique pas l'attrait que ce livre a exercé malgré moi. J'ai peur… ;-)
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Je ne fais malheureusement pas partie des lecteurs qui ont trouvé les Piliers de la Terre formidable.
Il m'a fallu m'y reprendre à 3 fois. Avec des interruptions de plusieurs semaines entre chaque reprise, et un bon mois pour arriver au bout des 150 premières pages.
Ce roman m'a plus fait penser à une saga familiale pleine de jalousie, de rancoeur et de mésaventures sans fin, qu'à un grand roman historique sur la société anglaise au cours d'une certaine période du moyen-âge, la construction des cathédrales, etc. offrant une intrigue intéressante, comme la promo en est faite.
Ça m'a un peu fait l'effet des best sellers de Dan Brown, en mieux écrit tout de même. Si on y est disposé, qu'on est dans le bon état d'esprit, on tourne les pages en se laissant absorber par l'excès de détails, d'actions se succédant rapidement, des tonnes de personnages sur-décrits, jusqu'à ne plus avoir à trop réfléchir.
J'étais très déçue de pas avoir retrouvé le plaisir du thriller médiéval d'Umberto Eco, le Nom de la Rose, autrement plus travaillé et moins tape-à-l'oeil.
Tant pis.
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Ce pavé, présenté comme un grand roman historique sur la construction des cathédrales et la société anglaise au moyen-âge m'a plus fait penser à un roman-fleuve plein d'interminables vicissitudes, de haine et de jalousie. Un déferlement de mésaventures mêlant sièges de forteresses, crainte du jugement dernier et de l'enfer, en passant par combats et complots divers, trahisons et tueries en tout genre. Tout ça, avec en point d'orgue l'édification d'une cathédrale. Si la naissance et la maîtrise de l'art gothique et les guerres intestines anglaises du XIIème siècle sont bien retracées, les personnages sont monolithiques et caricaturaux, le plus souvent agaçants, même si on passe aisément de l'un à l'autre. L'époque et l'élévation d'un édifice religieux ne réussissent pas à contrebalancer une histoire somme toute assez faible, des caractères superficiels aux comportements frustes et brutaux trop prévisibles. C'est long, très long. Même si je ne peux que saluer l'énorme travail de recherche de l'auteur, je pense que cette histoire gagnerait en clarté et en fluidité si elle n'était pas si chronophage, encombrée de détails superflus qui en freinent à mon sens, un peu, la compréhension et la chronologie. Dommage.
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Ce pavé très bien noté de Ken Follett ne m'a malheureusement pas du tout convaincu.
Il y a des descriptions précises à outrance (je ne veux plus entendre parler de cathédrales !), les personnages sont manichéens, l'histoire parfois peu crédible et répétitive (surtout quand on a le point de vue de plusieurs personnages qui retracent les mêmes évènements). J'ai eu du mal à finir le livre et je pense sincèrement qu'il aurait gagné en qualité en étant plus court.
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J'ai été déçu par la lecture de ce livre. L'émergence de l'art gothique et la guerre civile anglaise du XIIème siècle sont très bien décrits et relatés mais les personnages sont fades et caricaturaux (à l'exception de Philippe et de Tom), notamment William, qui cumule tous les vices et Aliena, érigée en sainte. L'intrigue est plutôt bien menée au départ mais elle s'essouffle rapidement et perd en crédibilité (notamment ).

Bref, une déception, un très bon sujet de départ mais les personnages sont et l'intrigue ne sont pas à la hauteur.
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Personnellement "les piliers de la terre" m'a ennuyé.
J'ai lu ce roman il y a quelques années et je me souviens assez nettement de ma difficulté à en venir à bout.
Peut-être devrais-je le relire mais... non !
Ma première lecture a été bien trop poussive pour que je m'y replonge !

Les personnages sont attachants mais quand même un peu mièvres et niais par moment.
Les intrigues un peu faciles et courues d'avance

Alors certes il y a quelques scènes crues, brutes qui donnent un caractère plus "authentique" au récit mais chez moi, ça n'a pas suffit.

Je me souviens d'une dame qui m'a accosté dans le métro un jour en me voyant lire ce roman. Je n'ai jamais osé lui dire que je m'y ennuyais tant elle mettait de coeur à m'expliquer qu'elle avait adoré !
Peut-être ne suis-je pas faite pour ces histoires... pourtant le moyen age, les cathédrales... c'est mon truc.
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