Céleste, ma planète

attention spoiler!

Ce livre a été un de mes préférés livres de Timothée de Fombelle! Comment l'écrivain réussit à nous montrer que la planète souffre vraiment beaucoup, à cause de nous! Les gens doivent vivre au 600eme étage pour avoir encore un peu d'air propre. En bas, la pollution règne. de la fumée, des déchets, des constructions et un adolescent riche avec un ami goinfre, il est tout seul...
Et puis il rencontre une jeune fille dans un ascenseur. Il tombe sous le charme! Désespéré il veut la revoir, il s'occupe tous les jours avec le piano et des cartes du monde. Mais un jour il n'en peut plus, il va à sa recherche, quand il la trouve, elle est malade et dans un endroit hyper sécurisé! En examinant ses plaies ils découvre une grande brûlure en forme de l'Afrique, oui, oui, en forme de l'Afrique. Il découvre avec affolement que cette jeune fille de qui il est tombé amoureux est la planète elle-même! Toute la pollution, tout le mal reviennent vers elle. Je m'arrête là, je ne veux pas vous spoiler la fin du livre.

Bonne lecture! Et pensez à la planète!

Lu en 2020. Un court récit, sur fond de dystopie.
Catastrophe écologique, pollution atmosphérique, inconscience collective, solitude, égoïsme et matérialisme à outrance, voilà ce qui est dénoncé dans cette histoire d'anticipation... Une approche narrative originale (à noter, au passage, les illustrations de Julie Ricossé), qui vise à sensibiliser nos ados à la protection de l'environnement, et à la préservation de la planète.

Céleste, ma planète de Timothée de Fombelle est un roman écologique étudié en classe de 5eme.

Dans ce livre court et poétique, l'auteur nous alerte sur notre société de consommation polluante qui va droit dans le mur. Il utilise Céleste, une jeune fille qui tombe malade, comme allégorie de l'état de notre planète.

Nous suivons un jeune garçon de 14 ans, délaissé par sa mère qui ne fait que remplir le frigo pour compenser son absence, qui met tout en oeuvre pour retrouver et sauver Céleste dans un monde enfumé et consommateur à outrance.

Ce livre se lit facilement et vite. Il est écrit très simplement. Il est à la 1ere personne, ce qui permet de bien s'identifier au narrateur.

C'est une belle histoire pour faire passer un message de sensibilisation aux jeunes et aux adultes sur les impacts de leur comportement sur l'environnement.
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Vendredi dernier, la prof de français a distribué à sa classe "Céleste, ma planète" de Timothée de Fombelle. C'est ravi que le fiston était quand je lui ai dit que c'était le même monsieur qui avait écrit les Tobie Lolness (il n'avait pas fait le rapprochement, il est vrai que ça fait un petit moment qu'on les a lus). Ce qui est un peu moins cool, c'est qu'il lui faut l'avoir terminé pour mercredi. Il est court, c'est déjà ça : 96 pages que se partagent 6 chapitres. On a donc mis de côté notre lecture commune du moment pour s'y atteler au plus vite, nous l'aurons finalement terminé avec une journée d'avance.

Céleste, c'est une jeune fille de 14 ans atteinte d'une étrange maladie. Sur son corps, apparaissent d'étranges taches dont la forme n'est pas inconnu au narrateur (jeune garçon du même âge dont nous ne connaissons pas le prénom). Hospitalisée, les médecins ont tôt fait de comprendre qu'elle a la maladie de la planète, les taches représentant les différents endroits du globe en passe de disparaître ou en grand danger. Si Céleste va mal, c'est parce que notre planète ne se porte guère mieux.

Il faut dire que les gens vivent sans se préoccuper de son état. Ils vivent dans des tours de plusieurs centaines d'étages. La circulation en plein air est réservée aux véhicules, qui pullulent. Les piétons empruntent ascenceurs à tout va. La publicité est partout, autant que la malbouffe et les sacs plastiques. La pollution est le quotidien de tout le monde, qui ne s'en préoccupe guère, du reste.

Alors comprenez que la maladie de Céleste ne doit pas se savoir. Céleste dérange les autorités, mieux vaudrait s'en débarrasser... Mais notre narrateur, amoureux qui plus est, n'est pas disposé à les laisser faire...

Timothée de Fombelle est un auteur de littérature jeunesse que j'aime beaucoup. Dans Tobie Lolness, roman de fantasy, il parlait déjà de l'environnement. Ici, roman d'anticipation, il en est le coeur même de l'histoire. On a beau être dans un futur hypothétique, on ne peut que faire le lien avec l'état actuel de notre planète.

Comme on le rencontre souvent dans les romans jeunesse (contemporains), tout se déroule très vite, parce que l'action prime sur le reste, et notamment sur les descriptions. On a juste ce qu'il faut comme éléments pour pouvoir se représenter à peu près les personnages. Idem pour les lieux, encore que je les ai trouvés assez pauvres et sans les quelques illustrations, nous aurions eu plus de mal à en imaginer quelques-uns je pense (comme la gare centrale). L'auteur se concentre davantage sur le sujet de l'histoire, à savoir les catastrophes écologiques et l'agonie de la planète. Là, on n'a aucun mal à l'imaginer.

L'avenir de la planète, c'est un sujet qui me tient à coeur. Pourtant, systématiquement, je ressors de ces lectures la peur au ventre. Et là, ça n'a pas loupé. C'est un très bon roman jeunesse, une véritable prise de conscience, une sonnette d'alarme comme il en faut pour mieux sensibiliser les jeunes [encore qu'à mon humble avis, les jeunes en sont bien plus conscients qu'on ne le pense, ce n'est pas eux qu'il faudrait réveiller en priorité...]. Pourtant, j'ai ce sentiment de mal-être au sortir de cette lecture, je ne peux m'empêcher de penser à mes fils, à mes éventuels futurs petits-enfants, à leur avenir incertain...

Mais revenons-en au livre, qui se lit plutôt vite, très fluide, simple et quelque peu poétique. Si on ne connaît pas grand-chose des personnages, on s'attache quand même à eux. On aime à suivre les écrits du narrateur, qui nous raconte les événements de sa rencontre avec Céleste jusqu'à... (ça je ne peux pas le dire, ce serait tout gâcher). Les événements s'enchaînent, et on ne s'ennuie pas.

Et n'allez pas croire que tout est défaitiste non plus. Il y est certes essentiellement question de l'avenir incertain et chaotique de notre planète, mais il y a quand même une belle histoire d'amour, ou plutôt d'amitié amoureuse. Il y a aussi de l'entraide et de la solidarité. Et la fin, bien qu'utopique, met du baume au coeur.

Un récit alliant amour et écologie !
Céleste est bien malade tout comme notre planète mais grâce à l'aide du narrateur, une guérison est possible.

Le récit est court et illustré, ce qui permet de se plonger dans la lecture sans trop de difficultés. le narrateur use d'humour et d'ironie, on s'attache donc facilement à lui.

Une excellente idée pour des 5eme avec l'entrée "l'être humain est-il maître de la nature ?" :)

Un pur petit bijou, bien écrit
d'une inventivité sans limite
sauf peut-être celle du 330e étage
Une réelle pépite
j'ai adoré ces mots, ces tournures que l'on a envie de dévorer encore et encore
et me suis glissée avec amour dans la peau du jeune garçon épris de celle de Céleste
Un beau voyage !

Ce livre est un livre si passionan ! C'est un très bon livre pour la noouvelle génération pour quelle protège notre très chere et belle planète . Je le recommande fortement . Personnellement je l'ai acheté sur Amazone a moins de 5 euro vers 4,50 euro je crois

C'est l'histoire d'une planète, peuplée d'humain, pillée au plus profond d'elle même qu'elle se meure. L'air n'est plus respirable, alors les humains vivent dans des villes en verre mais aucune leçons n'est retenue, les grands groupes continuent encore et encore. Mais un enfant découvre qu'une autre enfant est la représentation de la planète et là tout change, si on ne considère pas la planète, allons nous considérer la vie d'un humain?
Ce livre m'a dérouté, j'ai eu du mal à me mettre dans l'histoire, à comprendre la situation des personnages, de cette planète avec des villes en verre. Mais j'ai beaucoup aimé la conclusion tel un conte.

C'est triste, poétique, beau et finalement plein d'espoir.

Céleste est cette enfant qui, un jour, prend l'ascenseur avec le jeune héros du roman, puis s'assoit à côté de lui en classe. A l'heure du déjeuner, elle disparait. Il finit par la retrouver, malade. Sa mère, femme puissante et influente, l'aide à la faire hospitaliser et c'est le début des problèmes.

Une belle allégorie de la planète, ici Céleste, qui se meurt dans l'ignorance générale. le jeune lecteur peut s'identifier au héros et, accompagné d'un adulte, réfléchir au choix qu'il ferait, prendre des risques pour Céleste ou rester dans l'ignorance bienheureuse. Il y est aussi question du pouvoir de la viralité d'internet et de son bon usage. de courage, de solidarité, de responsabilité individuelle et collective…

Merci à l'autrice pour cette belle fable indispensable !

A partir de 10 ans annoncé par l'éditeur. 9 ans bon lecteur ça passe large. le vocabulaire est accessible et les quelques passages “violents” ou angoissants sont très soft.

Un court roman jeunesse, proche de la nouvelle, qui enchantera les plus jeunes comme les plus grands.
Si l'histoire se veut être portée par l'histoire d'amour de notre jeune héros de 14 ans, l'intrigue sera quand à elle plus concentrée sur l'enjeu climatique et écologique dans ce monde futuriste où notre planète est dans un plus piteuse état qu'actuellement.

J'aime beaucoup Timothée de Fombelle non seulement pour son écriture poétique mais également ses messages très positifs et humains. Il est un très bon auteur pour la jeunesse et je suis ravie de voir qu'il a pu nous offrir une histoire anticipative sur le bien-être de notre planète, de manière originale mais également abordable. C'est un format et un genre qu'on ne retrouve pas souvent pour les jeunes lecteurs, c'est donc avec beaucoup de reconnaissance que je salue cette démarche.

C'était donc une lecture agréable, pas complexe et plutôt divertissante et intrigante à la fois. Que le texte soit aussi court est peut-être dommage pour son manque de développement (lequel aurait pu satisfaire les gourmands comme moi) mais reste plus adapté pour la jeunesse.
Un livre que je conseille chaleureusement.