Encore une fois (parce que j'ai d'abord lu Besties, publié en même temps dans cette collection), j'ai eu l'impression en découvrant ce récit d'avoir mis la main sur un cahier d'ado caché au fond d'un bureau. Parce que la poésie y est brute, qu'elle donne cette impression (fausse, on s'en doute bien) qu'elle n'est pas travaillée, que les vers sont simplement la photo d'un instant T, d'un ressenti authentique.
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