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3,26

sur 297 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
L'auteur est née en 1950. Et pourtant ce roman donne l'impression d'une rédaction d'ado. Des bouts de souvenirs d'enfance sans intérêt. Ou bien elle fait déplacer le gardien pour des WC bouchés, je cite : « gênée à l'idée de lui demander d'évacuer mon urine, mais soulagée que ce ne fût pas pire. » … Je continue à citer « Chacun se retrancha dans un silence sibérien. Quinze minutes s'écoulèrent avant qu'il ne parvienne à extraire un tampon de la cuvette. Un tampon qui ne m'appartenait pas. » Bon aucun suspens, c'est celui de sa copine qui était chez elle. L'histoire ? Une famille de barges, dont la narratrice petite fille a été élevée avec sa soeur, un singe qui a disparu brusquement. S'ajoute une façon d'interpeller le lecteur désagréable. Je sature à la page 142. Encore un roman primé qui serait à mettre dans la cuvette et à tirer la chasse d'eau afin d'oublier les mauvais relents d'écriture.
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Nos années sauvages fait partie de ces livres qui m'ont le plus tapée dans l'oeil ces derniers mois. Sa jolie couverture, son titre... je m'attendais à un voyage culturel, je pensais que j'allais être touchée au coeur avec une histoire familiale émouvante, mais malheureusement j'ai très vite compris que j'avais surestimé ce roman.
Je ne peux pas vous éclairer davantage sur l'histoire ni vous en dire plus que le résumé, si je m'aventure de ce côté-là, je suis pratiquement sûre de vous dévoiler des éléments importants et de vous spoiler. Je vais donc seulement me contenter de vous donner mes ressentis.
L'auteure, Karen Joy Fowler a une plume appréciable et fluide, son roman se lit bien, mais le souci, c'est qu'il est tellement singulier qu'il est très difficile pour le lecteur de rentrer dans l'histoire. Je n'ai absolument rien ressenti lors de cette lecture. Je n'ai pas particulièrement aimé les personnages, je n'ai pas pris plaisir à tourner les pages et même les surprises et le rythme soutenu ne m'ont pas convaincue. le premier tiers du roman a réussi à lui tout seul à me désintéresser de ma lecture, et ce, jusqu'à la dernière page. Trop de longueurs, d'ennui et de décalages...
Il y a un autre point qui m'a déçue : je n'ai pas retrouvé lors de ma lecture les éléments présents dans le résumé. J'ai eu l'impression d'être trompée sur la marchandise et cela m'a fortement agacée !

Pour lire la suite : http://www.leslecturesdelily.com/2016/07/nos-annees-sauvages-ecrit-par-karen-joy.html#more

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Un roman qui me laisse perplexe.
Lorsque Babelio m'a proposé ce livre lors d'une Masse critique spéciale (et je les en remercie ainsi que les éditions Presses de la Cité), je ne connaissais rien de ce roman, ni le titre, ni l'auteur, mais la quatrième de couverture était pour le moins tentante : une histoire de famille, un secret, du suspense… des commentaires qui ne laissaient présager que du bon et que j'ai bien vite cessé de lire de peur d'en apprendre trop.
Du coup, peut-être qu'effectivement je m'attendais à… A quoi ? Je ne sais pas trop en fait, mais j'attendais d'éprouver des émotions fortes, des émotions qui ne sont pas venues. Je n'ai pas du tout été captivée par cette histoire plutôt déroutante et troublante, trop longue, trop fouillis. On se perd dans la chronologie.
« Je vous ai raconté le milieu de mon histoire. Je vous ai raconté la fin du début et le début de la fin ». Entre cette chronologie perturbante et perturbée, et l'histoire de cette famille assez déconcertante, j'ai fini par perdre mon entrain.
Oui, il y a un lien très fort entre des trois frères et soeurs, un lien brisé après la disparition de Fern et le départ de Lowell qui laisse place au questionnement, au doute, à la culpabilité, aux remords, aux explications, aux souvenirs enfouis…
Je n'ai pas été touchée par les personnages. Ni par Rosemary, la narratrice, dont le style , en plus d'être décousu, fait parfois davantage penser à un rapport scientifique qu'à un roman (mais non, c'est bien un roman !). Ni par Lowell, ni par Fern (troublante, je ne m'attendais pas du tout à de telles révélations !)… Je n'ai pas adhéré à cette histoire et je le regrette.
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Un roman plein de promesse car salué par la critique et traduit dans vingt-six pays. Et pourtant… Au bout d'une centaine de pages, j'ai décidé de ne pas poursuivre ma lecture. Je n'ai pas réussi à accrocher à l'histoire ni au style d'écriture.

Rosemary est une jeune fille assez atypique. C'est elle qui raconte. Et on sent bien qu'il y a un flot de paroles qui a été retenu trop longtemps. Car elle en dit des choses et on se demande souvent ce qui est vrai et ce qui ne l'est pas. En tant que lecteur, on a vraiment l'impression d'être baladée.
Rosemary ne serait pas aussi atypique sans sa famille. Des parents au caractère bien singulier, un frère aux abonnés absents et une « soeur » dont l'identité est révélée tardivement dans le roman. Cette révélation n'a pas l'effet escompté. J'ai juste eu l'impression d'avoir été dupée et sa véritable identité n'apporte pas vraiment de sens à l'intrigue, si intrigue il y a.

Je suis peut-être passée totalement à côté de ce roman, mais je lui ai trouvé peu de qualités.
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Voilà, voilà… Ces étoiles décolorées en disent long ! J'avais été prévenu avant la lecture de l'originalité de ce roman, plusieurs fois même. J'ai donc tenté de persévérer mais malheureusement, je n'ai vraiment – mais alors vraiment – pas accroché ! J'ai d'ailleurs laissé tomber l'histoire à la moitié du roman, non seulement parce que je me forçais à lire (aucun intérêt) mais aussi parce que je sentais que si je continuais la panne de lecture ne serait pas loin… Oui, je sais je suis un peu cruelle mais c'est mon ressenti alors…

En revanche, je ne peux pas dire que l'histoire ou le thème soient nuls ! Non, j'aimais l'idée de cette exploration de la proximité de l'homme et l'animal, que j'avais d'ailleurs beaucoup apprécié dans la lecture de « Syndrome O » de Bénédicte Vidor-Pierre. Ce qui m'a rebuté complètement, c'est le ton du récit. Impersonnel et passif de la narratrice, Rosemary. Au début, j'ai trouvé ça marrant comme façon de parler et d'expliquer les choses, cette froideur qui nous met à distance. Puis, à la longue je me suis lassé jusqu'à carrément ne pas réussir à suivre l'histoire par manque d'intérêt pour l'héroïne. Autrement dit, je m'en fichais un peu de ce qui pouvait lui arriver… Et c'est à ce moment là que la lecture automate a débutée pour peu de temps, je vous l'accorde. J'ai dû tenir un chapitre ou deux et décider de stopper les dégâts directement. Je ne sais pas vraiment quoi ajouter d'autre concernant cette lecture ou demi-lecture…

Je suis peut-être passée à côté de quelque chose, peut-être que la fin justifie les moyens et que tout s'éclaire grâce à un événement particulier… Mais pour le coup, je ne le saurais jamais…
Lien : https://leslecturesdeninablo..
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Aucun intéret. L'étoile est pour le respect du travail de l'auteur.
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