Irène Frain veut à tout prix démontrer que son père était un être exceptionnel. Certes, sa volonté lui a permis de s'élever mais l'intérêt de ce récit semble minime, le matériau trop juste. Les répétitions y sont nombreuses, même les secrets restent très fades. le seul passage qui émerge est la fraternité dont sont parfois capables les peuples en guerre les uns contre les autres. A part ça, quel ennui !
En 1941, cette immense écrivaine, pensant devenir folle, va se jeter dans une rivière les poches pleine de pierres. Avant de mourir, elle écrit à son mari une lettre où elle dit prendre la meilleure décision qui soit.