Maudit mercredi : Le jour où les jeunes filles rencontrent la mort

Le jour où les jeunes filles rencontrent la mort est une nouvelle enquête avec le Dr Freida Klein. Je suis généralement fan des romans de Nicci French, mais là j'avoue, je me suis ennuyée.

Des longueurs, une intrigue, certes bonne mais un peu de mal à accrocher.

Bref (comme ce commentaire ), pas le meilleur à mon humble avis.
Je vais toutefois me laisser tenter par le prochain tome de la série.

Derrière le pseudonyme Nicci French, se cache un couple d'écrivains, Nicci Gerrard et son mari Sean French, partenaires dans la vie comme en littérature.
Tous leurs ouvrages sont écrits à quatre mains et c'est une réussite.

Je les suis depuis longtemps, ils font partie de mes chouchous, de roman en roman, des one shots jusqu'à cette saga dans laquelle nous partageons les aventures d'une psychothérapeute, Frieda, et de l'équipe de l'inspecteur Karlsson, composée d'Yvette, son bras droit, de Munster et de Riley.

Dora, 13 ans, s'empresse de rentrer de l'école, d'autant qu'elle voit les fenêtres de sa maison illuminées, attestant que sa maman est déjà rentrée, promesse d'un bon moment qui lui fera oublier ses déboires à l'école.

Une vitre cassée, des débris de verre sur le sol, une odeur de brûlé...
Le chat se frotte à son jean, y laissant une trace marronnasse.
Plus loin, à terre, une main... quelques pas plus loin, sa mère gisant dans une mare de sang.

Les enquêteurs arrivent avec la scientifique, et tout le toutim, et Karlsson évoque Frieda avec Yvette.
La présence de celle-ci n'est plus souhaitée en tant qu'aide des forces de l'ordre.
De toute façon, elle a été blessée, a séjourné à l'hôpital, et doit se reposer.

Par contre, Bradshaw, sorte de profiler que nos policiers n'apprécient pas, car il vous établit un profil au poil une fois que le criminel est arrêté et divague avant, leur est imposé par leurs supérieurs.

Les équipes se forment, Karlsson avec Munster et Yvette avec Riley.

Tandis que nous faisons une connaissance plus approfondie des membres de cette famille apparemment sans histoire... la maman très investie dans beaucoup de choses, sympathique et gentille avec tout le monde, le papa dévasté, la petite Dora, sa Soeur Judith, 15 ans et son frère Ted, 18 ans, Frieda n'en peut plus de faire du sur-place et commence à reprendre du service.

Suite à une sorte de test débile fait à l'initivative de Bradshaw qui la déteste, un "patient" lui a conté une anecdote qui l'a mise en alerte, et la voilà sur la piste...

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C'est un très bon roman, mais je ne le conseille pas aux personnes qui n'ont pas lu les tomes précédents.
Voyez-vous, je les ai lus il y a plusieurs années et j'avais oublié la moitié des personnages récurrents... presque tous, en fait, et ils sont très nombreux..
Bien entendu, ils me sont revenus en tête au fil de ma lecture, mais j'ai dû me creuser le ciboulot. .

Donc, vu que les précédents sont excellents, commencez plutôt par les lire, eux.

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Un excellent troisième opus, probablement mon préféré jusqu'ici ! L'enquête principale quoi que relativement classique est bien menée et bien étoffée ! C'est plutôt du côté de Frieda que j'ai pris mon pied ! Une enquête qui démarre sur un rien, une mini intuition sur un infime détail pour finir sur une révélation de dingue ! J'adore tout le côté développement psychologique qui est très présent dans cette saga, normal qd on suit une psychologue 😝
En tout cas j'ai déjà hâte de lire la suite ! (Mince elle n'est pas dans ma pal 😢)

Vous connaissez Nicci French ? Vous aimez ???

Certainement le plus mauvais des premiers tomes de cette suite de livres. J'ai tout de même entamé le prochain en espérant peut être UN JOUR avoir des nouvelles de Dean, qui est l'élément d'intrigue le plus intéressant selon moi. le prochain tome a l'air très prometteur.

Je continue donc mon périple des livres à « suites » ou saga infinies :-) !

Je me suis aventuré dans cet ouvrage, avec une envie de le refermer avant de l'avoir commencé. Raison principale, j'ai lu les critiques… et elles n'étaient pas glorieuses.
Alors, une des premières choses que je ferai la prochaine fois, c'est de m'abstenir de les lire.

Je songe en revanche qu'il est important de suivre la saga et de ne pas piocher au hasard. Sinon, je pense que je me serais perdu dans les méandres des esprits de chacun. Même après un mois de lecture de l'ancien ouvrage, il faut du temps pour remettre chacun à sa place.

J'ai aimé ses deux enquêtes un peu loufoques, la vie tortueuse de Frieda et tous ses personnages qui apparaissent puis disparaissent de son quotidien.

Je serais donc ravie et impatiente de connaître la suite et de me jeter dans un terrible jeudi.

Bonne lecture !

J'ai éprouvé une légère déception à la lecture de ce Maudit mercredi, qui a parfaitement illustré pour moi le milieu de la semaine, le jour de repos des enfants mais aussi des auteurs.


En effet, dans cet opus nous retrouvons au premier plan Frieda Klein, psychothérapeute dont je rêvais de découvrir les secrets enfouis au fin fond d'elle, comme les auteurs le faisaient miroiter dans Lundi et Mardi. Si elle occupe bien le devant de la scène, je trouve qu'elle ne fait que touiller ses problèmes de jeunesse sans pour autant avancer dans le déboutonnage de sa personnalité. Sandy, son amoureux exilé aux States apparaît à chaque fin de chapitre sous forme d'un mail laissé sans réponse pour lui rappeler qu'il tient à elle. Seul le changement de sa baignoire par Josef est un élément amusant dans ce roman. C'est peu.


L'enquête passe au second plan. Ruth Lennox, mère de famille exemplaire est retrouvée baignant dans son sang par sa fille qui rentre de l'école. Bien sûr, la vie parfaitement calibrée, parfaite, de Ruth vole en éclats, mais pas avant d'avoir lu quelques 200 pages. A partir de là, on apprend que son image lisse n'est qu'une façade cachant quelques écarts, ce qui n'est franchement pas une grande surprise.


Une enquête que j'ai trouvée piétinante, lente et longue comme pour faire durer le plaisir, voire le diluer ; les dialogues sont du même genre, ils n'en finissent pas sans enrichir l'histoire. Enfin, le dénouement ne révolutionne pas l'histoire du polar. Il ne me reste qu'à espérer qu'après ce repos de milieu de semaine, les Nicci French retrouveront leur souffle pour la suite.

Mercredi, Dora découvre le cadavre de sa maman, sauvagement assassinée dans leur maison.
Femme sans histoire, Ruth Lennox semblait avoir des secrets...

Cela faisait plusieurs années que, après quelques déceptions, je n'avais pas lu Nicci French, avais mis de côté ce duo démoniaque et étais, semble t-il, passée à autre chose. Je redécouvre leur univers avec ce maudit mercredi (série semainière en 8 volumes) et avoue avoir été déçue.
Si l'histoire est intéressante au premier abord, elle m'a semblé traîner en longueur, avec des discussions à rallonge ne servant ni l'intrigue ni les personnages, des tours et des détours que je n'ai pas saisi, je me suis perdue dans les méandres d'une histoire sans grand intérêt.
Je suis restée sur le bord de la route et n'ai pas accrochée à ce maudit mercredi.
Ne dit-on pas que le mercredi, c'est le jour des enfants, que l'on se pose un peu...ce fut peut-être le cas pour Nicci French, un petit break avant de reprendre les choses sérieuses... Passons aux jours suivants...fini le mercredi...

C'est le 1er roman de Nicci French que je découvre et je ne suis pas déçue.
Par contre, c'est le 2ème livre d'une série de 7 a priori. Je n'ai donc pas lu le 1er mais cela ne m'a pas trop gêné pour comprendre les liens des divers protagonistes.
Il s'agit de deux affaires distincts au départ.
Une mère de famille sans problèmes, Ruth Lennox est retrouvée sauvagement assassinée. Frieda Klein, une psychothérapeute très douée mais traumatisée par une récente agression va mener sa propre enquête pour aider l'inspecteur Karlsson.
L'histoire est addictive et ne manque pas de rebondissements.
Je le recommande vivement...

J'aurais dû commencer par le lundi

Au début, j'ai ressenti le même niveau de compréhension que lorsque j'écoute un récit dans une langue étrangère que je ne maîtrise pas parfaitement. En fait, les personnages déboulent comme si on les connaissait déjà. J'ai eu bien de la peine à distinguer le surintendant Karlson, l'inspectrice Yvette et c'est à peu près tout. J'en déduis que l'auteur a estimé que ses lecteurs auraient commencé sa série par le début. Si donc vous êtes tentés par par ce titre, attendez d'avoir lu les deux précédents. Quoique...

Cette intrigue ne m'a, cependant, pas pleinement satisfaite, car la résolution de l'énigme policière, moteur d'un roman policier, est relégué au second plan, pour laisser la vedette à Freida qu'on comprend être psychanalyste, sans doutes ancienne profileuse, qui semblerait se remettre d'une agression. Une large part est faite à ses états d'âme, à se maniaquerie, à ses hésitations...

On lui découvre un amoureux fidèle,mais cela ne semble pas l'enthousiasmer. Pour résumer elle est très agaçante et gâche toute l'histoire. Parallèlement un maçon-"cosaque" à l'accent plus germanique que slave (et que la narratrice nomme je ne sais pourquoi Choseph) décide d'office de faire des travaux dans sa salle de bain ce qui la contrarie beaucoup. Mais je n'ai toujours pas compris ce qu'il vient faire dans l'histoire, pas plus qu'un certain Ruben qui s'impose de temps en temps.

Il est à trois reprise fait allusion à un homme qui lui envoi des lys, fleurs qu'elle déteste...

Cela dit, l'énigme policière est classique mais se déroule plutôt en dehors de ce qu'on nous raconte, sans grandes péripéties et assez rapidement.

De son côté elle part à la recherche d'une jeune-fille, mais dans cette recherche rien ne m'a maintenue en haleine. C'était plat. La narratrice à une adorable voix cristalline qui sied parfaitement aux femmes, aux enfants et aux adolescents mais qui devient plutôt comique pour camper un homme et pire un rude travailleur. Je m'en vais donc voir ce qu'il se passe lundi parce que j'ai lu de bonnes critiques, mais je tend le dos. Quoi qu'il en soit, je ne suis pas persuadée que ce "Maudit mercredi" soit le meilleur livre de cet auteur en deux personnes (sous le pseudonyme se cache un couple britannique).

A l'heure d'écrire cette petite bafouille, je viens de terminer vendredi. Oui, ce livre fait partie d'une série qui a pour personnage principale Frieda Klein, psychanalyste, sombre, mais que l'on apprend à aimer au fil des pages et des tomes. Cela faisait très longtemps que je ne m'étais pas remise aux policiers, voilà qui est choses faite 😁. Bonne lecture