Lorien Legacies, tome 1 : Numéro Quatre

Neuf enfants sont arrivés sur Terre, il y a une dizaine d'années. Depuis, ils vivent de façon totalement anonymes et surtout séparés pour assurer la sécurité de chacun. En effet, ils ne peuvent être tués que dans un ordre précis, alors ils fuient constamment pour brouiller les pistes. Il ne faut pas qu'ils soient repérés ou alors ils seront tués !

Numéro Quatre vivait de la même façon mais un jour, tout change pour lui. Numero Trois vient d'être tué, il sait qu'il est le prochain sur la liste. A partir de ce jour, rien ne sera plus jamais comme avant.

Savant mélange entre Roswell et Dark Angel (pour les fans de séries-TV), Numéro Quatre m'a laissé sur ma faim. Je viens juste de fermer le livre et je dois dire que j'en reste perplexe : ça ne peut pas se finir comme ça. Mais si, allez vous me dire. Ca ne serait pas drôle sinon ! Je trouve cela quand même très frustrant.
Le livre commence doucement. On pénètre dans le quotidien de John Smith ou Daniel Jones, enfin appelons-le "Numéro Quatre" : les déménagements, la solitude, les perpétuels nouveaux lycées. Mais pas seulement, après tout, Numéro Quatre n'est pas un garçon comme les autres. Son quotidien, c'est aussi la peur d'être découvert, les précautions qu'il faut prendre et c'est une mission : Survivre !
Survivre, ce simple mot donne le rythme du livre. Plus on tourne les pages, plus l'angoisse devient palpable. On s'attache aux personnages et on ne veut surtout pas qu'il leur arrive quoique ce soit.
Le livre est écrit du point de vue de Numéro Quatre, ce qui laisse finalement peu de place aux autres protagonistes. Pourtant certains se démarquent. Henri, l'image paternel et la force tranquille du livre, Sam, le meilleur ami un peu geek et Sarah. Sarah je l'aime bien, quand elle n'est pas avec Quatre. Toute seule, c'est une fille qui ne se laisse pas faire mais le couple qu'elle forme avec notre extraterrestre était un tout petit peu trop niais à mon goût.

Comme je l'ai précisé, le livre gagne en intensité au fur et à mesure, pour arriver à une apothéose dans les cents dernières pages. L'auteur lâche alors une bonne dose d'action. Je dois avouer que j'ai parfois eu du mal à suivre. Mais l'effet recherché est là : on continue de tourner les pages jusqu'à la dernière.
J'attendais ce livre avec impatience et je n'ai pas été déçue. Il se démarque vraiment de ce qui ce fait en littérature jeunesse, pas forcément au niveau de l'histoire mais surtout au niveau de la forme. « Numéro Quatre » apporte un je-ne-sais-quoi de nouveau.
Mais voilà comme de nombreux livres, il va falloir attendre la suite. The Power of Six sortira le 23 août 2011 aux Etats Unis. Et le film sort le 6 avril sur nos écrans, de quoi nous faire patienter un peu. (L'adaptation a pris un peu de liberté, notamment pour le choix des acteurs. Notons que Numéro Quatre est interprété par Alex Pettyfer alors qu'il n'a que quinze ans dans le livre ! J'ai hate de voir ce que ça va donner).

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J'ai complètement adhéré a cette histoire. le scénario se démarque des autres livres de science fiction par le fait de devoir éliminer les Lorien en suivant un ordre précis, j'ai trouvé cela original et bien pensé. Aussi, j'ai bien aimé l'ajout de petites notes de fantastique. Concernant les personnages, j'ai compris le désir de numéro quatre de s'établir quelque part et de créer de vraies relations. Henri qui a tout quitté pour entrainer un des seuls gardanes restants, m'a aussi touché. J'ai eu de la peine pour Sam (paria de son lycée, dont le père a disparu), pourtant il est intéressant et doué d'une grande fidélité. Même Bernie Kosar a su toucher mon petit coeur. J'ai moins accroché à Sarah et Mark qui sont ceux qui ont moins évolués. Ce livre a rempli mes attentes, j'ai hâte de connaitre la suite avec la mystérieuse Six et j'espère en apprendre plus sur leur héritage !

Je suis déçue par ce premier tome qui semblait pourtant prometteur. Ce qui m'exaspère, c'est qu'on sent que l'histoire a un énorme potentiel, mais qu'il n'est pas exploité à cent pour cent. On tourne en rond pendant tout le livre. Quand ça commence enfin à bouger, le style n'arrive pas à suivre le rythme pris, et les personnages sont sans aucun intérêt. Seul l'univers sort du lot, et peut amener à essayer d'en savoir plus.
Je ne conseillerai ni ne déconseillerai ce livre.

Toutefois, les personnes qui voudraient le tenter devront s'armer de patiente, et peut-être aller jusqu'au tome suivant pour en découvrir plus.
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Après avoir vu le film adapté de ce roman, je tenais à lire celui ci, ne serait ce que pour espérer que la mythologie abordée par le film soit plus développée dans le roman. Car j'y est trouvé des choses intéressantes mais à peine ébauchées, comme dans la plupart des films. Nous avons donc là un énième roman à classer aux côtés des Hunger games, Harry Potter, le labyrinthe et autres Percy Jackson, romans à destination d'un public largement adolescent.
Je prend la liberté de construire cette critique de manière à établir un parallèle film/roman. Je tenterai de donner les différences les plus marquantes, selon moi, sans oublier que la critique porte sur le livre et non le film.
Avant d'entamer ce bouquin, j'ai en tête une histoire qui s'adresse à des ados de 15 ans en moyenne, le film utilisant des acteurs de cet âge là. Grande est ma surprise lors de la lecture des premières pages, puisque le style s'adresse plus à une moyenne d'âge de 2 à 3 ans plus jeune, voire plus. Et mon constat se confirmera tout au long du livre. Ceci est renforcé dans le traitement de l'histoire d'amour entre le héros et sa copine, qui est véritablement gnan gnan et qui à mon avis forcerait les ados de 15 ans à rire et même à se moquer. Je note une des plus grandes différences entre les deux supports. Là où le film situe son histoire au collège américain, équivalent du lycée chez nous en France, avec des réactions bien appropriées, le bouquin, lui, joue le décalage et prend ses héros pour des gamins de 10 ans.
Autre différence dans le déroulement de l'histoire; le film reprend en grande partie le déroulé du livre mais oublie presque totalement toutes les allusions, pour certaines très évocatrices, à l'histoire des Loriens, perdant ainsi tout le côté intéressant de la mythologie mise en place. Les nombreuses allusions faites par Henri, le mentor de Quatre ( ou John Smith) apportent une véritable richesse au récit et développe l'histoire et donc l'intérêt de celle ci. de plus, ces allusions préparent le lecteur à la suite et promet un développement encore poussé. Ce qui est loin d'être le cas du film qui ne joue que les cartes action et amourette ado de base.
L'autre principale différence porte sur le traitement des Mogadoriens. Dans le film, ils ne sont pas très développées et ne sont présents à l'écran que pour faire valoir les actions du héros et comme ressort tragique à l'histoire. Dans le bouquin, ils sont beaucoup plus développés mais moins bien caractérisés. On y trouve des " bêtes" différentes, des soldates et des éclaireurs Mogadoriens aux rôles précis et définis. Ils sont moins bien caractérisés dans le sens où, contrairement au film, ils ne sont pas individualisés. pas de chef, pas de personnalités qui ressort, alors que le film, lui, présente un chef bien distinct et lui assigne même une scène de torture qui montre tout le potentiel sauvage de la race.
Le dénouement est également traité différemment, notamment dans la place accordée aux protagonistes et plus précisément dans le rôle jouée par numéro Six... mais je n'en dirais pas plus pour ne pas risquer de trop en dévoiler.
Enfin un point commun, qui est plus expliqué dans le livre. Cette fameuse série de chiffre, qui est sensée tenir une place importante et même être le fil rouge de l'histoire, se limite à un simple sortilège interdisant aux Mogadoriens d'éliminer les Loriens de n'importe quelle manière; ils ne peuvent les tuer qu'en suivant l'ordre arithmétique en commençant par le premier...!!! C'est un peu léger non!!?? Même pour un bouquin pour ados!!
Bref je lirais la suite en espérant que le style évolue un peu, que la mythologie soit développée efficacement, et que le lecteur soit pris un peu moins pour un naïf...

Une fois n'est pas coutume, il s'agit d'un livre que j'ai découvert après avoir vu le film. Alors, bien sûr, je n'ai vu que le premier film, Numéro Quatre, et je ne sais même pas s'il y a eu une suite. Mais cela m'avait tellement plu que j'ai tout de suite cherché s'il y avait une saga qui aurait inspiré le film : bingo ! Je me la suis procurée immédiatement.

Mais j'ai mis du temps à sortir le tome 1 de ma PAL, et ce fut une grande erreur de ma part. Car j'ai dévoré ce roman en un rien de temps. Il fait parti de ces romans tellement addictifs que vous n'arrivez pas à le lâcher tant qu'il n'est pas fini. D'ailleurs, j'ai très envie de lire la suite maintenant... Si seulement je n'avais pas d'autres lectures prévues...

Bref, ce livre est une tuerie ! le texte est parfait et nous emmène dans ce monde qui pourrait très bien exister. L'auteur lui-même est présent dans le livre, histoire de nous plonger un peu plus dans l'intrigue, et je suis complètement fan. Il n'y a pas un seul temps-mort, il se passe toujours quelque chose et l'auteur nous emmène où il le souhaite : frisson, suspense, aventure, instant émotion ou sentimental.

Les personnages sont quant à eux très bien calibrés. J'ai adoré la relation entre Quatre et Henri, ils sont très émouvants tous les deux. J'ai tout de suite adhéré également à la pseudo-guerre avec Mark et aux folies de Sam. J'ai moins aimé Sarah : je l'ai trouvée trop lisse et un peu trop effacée. Mais son attitude envers Quatre est super, donc je lui pardonne.

Maintenant, j'ai hâte d'en savoir un peu plus sur Six, et surtout de découvrir les autres Lorics... Qui sont-ils, où sont-ils ? Et quels seront les prochains pouvoirs de Quatre ? Que de mystères ! Je ne vois pas ce que je peux dire de plus, hormis : lisez-le ! Vous ne le regretterez pas !
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Pour tous les lycéens de la petite ville de Paradise, John est un gars comme un autre ; un peu distant, un peu bizarre peut-être, mais sans plus. Après tout, il vient juste de débarquer dans les fins fonds de l'Ohio, il y a de quoi faire un peu la tronche, non ? D'autant plus qu'il arrive de.. d'où, d'ailleurs ? On ne le sait pas vraiment. Mystère...

Apparemment, le lascar vit seul avec son père en retrait de la société, mais il a déjà trouvé le moyen de se faire un pote et de séduire la fille qui est sortie avec l'un des types les plus populaires du lycée... Pour un nouveau, on peut dire qu'il ne s'intègre pas trop mal ! Enfin, peu importe du moment que l'équipe de foot qui représente l'école gagne son match !

Or, la vérité est ailleurs...

John n'est pas un humain mais un Loric, c'est à dire qu'il est né sur la planète Lorien avant qu'elle se soit ravagée par les Mogadoriens, un peuple hostile au sien. A l'issue de combats sanglants, neuf jeunes Lorics et leur tuteurs ont été mis en sécurité sur la Terre et dispatchés aux quatre coins du monde pour que leurs ennemis ne puissent pas retrouver leur trace. Ils grandiront à l'abri des menaces et plus tard, si tout se passe bien, ils seront les acteurs de la revanche des leurs.

Qui aurait pu prévoir que l'acharnement des Mogadoriens serait sans limites ? Dix ans plus tard, ces derniers quadrillent toujours la Terre dans la plus grande discrétion pour exterminer les survivants ; un obstacle majeur les empêche d'arriver à leurs fins : les Neuf sont liés par un sortilège et ne peuvent être tués qu'en fonction du numéro qui leur a été attribué au départ. D'abord le numéro 1, puis le 2, puis le 3 et ainsi de suite.

John est le numéro quatre. Ses trois premiers congénères ont été tués et il sait qu'il est le prochain sur la liste. Aussi son tuteur et lui redoublent-ils de vigilance, eux qui passent déjà leur vie à déménager dans des trous paumés. A changer d'identité. A tenter de se fondre dans la société sans tisser de liens trop solides avec les humains. Leur mot d'ordre : surtout, ne pas faire de vagues, ça pourrait attirer des ennuis !

Mais l'arrivée du binôme de choc à Paradise va changer la donne pour plusieurs raisons. D'abord, John en a marre de ne pas avoir de nom "fixe", de changer de copains et de maison tous les trois jours ; il aimerait bien se poser. Ensuite, il fait très rapidement l'expérience de sentiments qui lui étaient jusque-là passés au-dessus : l'amitié, l'amour, la colère. Enfin, les "dons" caractéristiques des Lorics commencent à se manifester chez lui et à se développer à une telle vitesse qu'il a bien du mal à les cacher et à les maîtriser. Imaginez qu'une lampe-torche vous pousse dans la main et aveugle tout le monde dès que vous vous énervez un peu.. Pas facile à gérer, non ?

Pourtant, John n'est pas une tête brûlée ; il sait qu'il porte l'héritage d'une planète déchue et qu'il est en danger de mort lui-même. Plus tard, s'il survit, s'il s'entraîne afin d'exploiter au maximum son potentiel, il sait qu'il sera en mesure de s'allier à ses cinq homologues pour venger ses ancêtres.

Le Lumen est le premier d'une longue série de dons plus ou moins lourds à porter pour Numéro Quatre, qui est quand même, à mon avis une figure de l'adolescent dans toute sa splendeur. Son tuteur est à l'affût de l'expression de ces petits cadeaux de la nature de la même manière qu'un jeune nabot pré-pubère scrute quotidiennement dans le miroir l'éclosion laborieuse de ses poils. Et quand enfin ses facultés d'éclairage apparaissent, il ne sait absolument pas quoi en faire. Puis c'est l'avalanche : télékinésie, résistance au feu, accroissement de la rapidité... John ne sait plus où donner de la tête d'autant que son père spirituel se transforme alors en coach sportif de plus en plus exigeant et surexcité. Mais comme c'est un garçon sage et responsable, il arrive bien vite à se canaliser et à composer avec ses nouveaux attributs.

Il faut dire qu'il écoute plutôt bien les conseils de Henri, ce maître à penser tout calme qu'il a appris à suivre les yeux fermés ; seulement, le Loric aux mains de lumière ne peut s'empêcher de braver quelques interdits pour aller se fourrer dans des situations dangereuses avec la belle Sarah et Sam, son bon pote amateur d'extraterrestres et cliché ambulant du geek à lunettes asocial. John sait qu'il ne doit pas s'attacher aux humains, que la Terre n'est qu'une cachette temporaire pour lui, mais voilà ! l'amour et l'amitié sont les plus forts ! C'est décidé, il ne luttera pas plus longtemps contre les assauts de son coeur !
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J'ai tout d'abord vu l'annonce du film alors j'ai décidé de lire le live avant (c'est pour vous dire que ça date) en plus, comme j'étais en voyage en Irlande et que la collection poche sur place avait un super couverture, je me suis lancée dans l'aventure en anglais.

L'intrigue, somme tout assez banale pour ce genre, est tout de même assez originale dans son déroulement. le héros s'est déjà ce qu'il est, il sait déjà qu'il est dans la mouise jusqu'au cou et il se prépare au moins psychologiquement depuis sa naissance pour cette tâche.
Bien sur, il y a une histoire d'amitié, une histoire d'amour, une histoire triste, une histoire encore plus triste et du suspense à fond ! Mais ça marche, on se laisse bercé par l'histoire de John, on aime découvrir avec lui l'histoire de la Lorien et on attend toujours dans savoir plus sur les méchants.

Un premier tome qui présume d'une série très complexe, avec un background varié et déjà pensé en amont, ce qui est un vrai plus.

Un roman de science-fiction assez original. On prend plaisir à suivre ce jeune héros en plein apprentissage de ses nouveaux pouvoirs. L'histoire mèle celle de Quatre et celle des Loriens à travers des flash back. On comprend vite l'organisation de Lorien.

Les personnages secondaires sont attachants en particulier Sam, le nouvel ami de Quatre qui est passionné par les extra-terrestres.

Une petite incohérence toutefois : Quatre est le prochain sur la liste. Il est donc en danger direct. Alors que son cépane est extrèmement prudent, il se laisse fléchir et reste à la même place plus longtemps que j'aimais.

Malgré tout, le roman est très prenant. On ne s'ennuie pas une minute !
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Au départ, je me suis demandé ce que c'était que cette histoire farfelue d'extraterrestres et de planètes détruites par des monstre sanguinaires ravageant la vie dans ce qu'elle a de plus pure, et à la recherche des 9 enfants envoyés sur Terre par le peuple Loric. Ces 9 chérubins sont chargés de régénérer la vie sur leur planète agonisante après avoir développé des Dons surnaturels, et de la repeupler éventuellement, rien que ça... En attendant, ils fuient les dits monstres, les Mogadoriens, qui voudraient bien les voir mourir pour faire subir à la Terre le même sort qu'à Lorien... Bon, certes... Ensuite, on retombe dans une histoire bien trop courue en ce moment d'adolescent en recherche de soi, et de triangle amoureux... Bon, certes... Les émois de John/Numéro 4... L'écriture, un peu plate... Mouais. Mais ses dons se développent, le mystère s'épaissit, et après avoir été bien dubitative pendant la moitié du roman, me voilà prise dans un tourbillon d'événement et un final époustouflant. Les héros sont attachants, on finit par y croire, à cette histoire, et mes doutes premiers s'envolent au profit d'un frisson et de bien des interrogations... le tome se termine sur un suspense insoutenable, et à vrai dire, je n'ai qu'une envie : lire le tome 2 ! Une bien agréable surprise, donc, pour un roman dont je n'attendais vraiment rien...

J'ai lu la version en anglais et à lire les critiques, je suis surprise. Est-ce que la version traduite est plus stéréotypée?

En tout cas, j'ai beaucoup apprécié ce bouquin. Ils sont neuf êtres d'une autre planète, qui se cachent sur Terre. Identiques à nous, ils sont poursuivis sur Terre pour être détruits par ceux qui ont détruits leur planète.

Ils ne peuvent être anéantis que s'ils sont tués par ordre de leur numéro. Trois sont morts, on suit dans ce livre le sort de Numéro 4. Un être parmi les humains, qui s'intègrent parfaitement mais doit rester sur le qui-vive à chaque instant...

J'ai trouvé l'histoire bien fichue, je me suis un ennuyée aux passages des batailles, je en suis pas fan, mais en gros pas mal. Par contre, ça sentait le 2e tome (je ne le savais pas au début) à plein nez... et bien, je lirai la suite.