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Chronique de Flingueuse : Les Lectures de Maud pour Collectif Polar
Une construction très originale, car nous connaissons d'emblée qui est le meurtrier. Nous apprenons à connaître Franz, ses pulsions et son environnement. Une star mégalo qui séduit les femmes pour mieux les humilier ensuite. Voilà comment il voit sa relation avec le sexe opposé. Et pourtant toutes ses attitudes trouvent leurs réponses.
Franz va subir la pression de Karl qui le chaperonne dans ses actes « off » dirons-nous. La contrepartie, son entourage est préserver. Mais quand il va décider de reprendre les tournées afin d'échapper à son commanditaire, c'est là que les choses vont se gâter. Comment va-t-il réagir ?
Une lecture passionnante ponctuée de descriptions et d'anecdotes ayant pour attrait la musique classique, le Conservatoire de Vienne et les instruments. J'ai beaucoup aimé cette ambiance dans l'élite du classique de nos jours, elle contraste très bien avec les méfaits de Franz. Tout n'est pas forcément blanc ou noir d'ailleurs.
Franz passe par toutes les émotions et le lecteur aussi, je l'ai parfois détesté, parfois adoré, voir aduler. Un prodige qui perd totalement le contrôle des événements et de ses pulsions.
Il y a une part de romance noire et tragique dans ce livre, les différentes relations entre les personnages, sont tout à fait plausibles et rendent à ce livre une impression de « réel ».
Plus on avance dans la lecture, plus on apprend à connaître ses personnages, plus on s'y attache. de nombreux rebondissements surprennent le lecteurs et rendent la lecture très addictive et dynamique. J'avais eu quelques frayeurs au départ en voyant le nombre de personnages évoqués, mais chacun a très correctement sa place et tient bien son rôle.
Une immersion totale dans le monde de l'art et l'ambiance du sacro-saint orchestre. Les tournées, les paillettes, les belles robes et le pire ennemi du musicien : le trac. Tous les ingrédients sont bien là, tout comme les lieux symboliques Vienne, Paris et New York.
Une écriture fluide tout en étant très étoffée de détails sur la personnalité des protagonistes, leurs pensées et les lieux ; entraînent parfaitement le lecteur dans cette folie meurtrière et l'implique même.
Les personnages secondaires sont aussi très bien dépeints et très intéressants. Des déroulés qui surprennent. Des retournements de situations. Les pages tournent sans qu'on voit le temps passé. Une très belle découverte. Un premier livre qui j'espère en appellera un suivant.
Je remercie les auteurs et les participants de la soirée La Défense en juin dernier. C'est à cette occasion, au jeu de la tombola que j'ai gagné ce livre et que j'ai pu rencontrer et découvrir l'auteur.

Version lue : Brochée
Mention : premier roman
Pour en savoir plus sur ce premier polar, vous pouvez cliquez ci dessous
Lien : https://collectifpolar.wordp..
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J'avais hâte de me plonger dans l'univers de Ge Froideval, surtout depuis que je suis allée à Vienne en septembre dernier. C'est avec plaisir que j'ai retrouvé les rues, les monuments, les parcs avec la même ambiance musicale, nantie et conservatrice que j'avais notée lors de mon passage dans la capitale autrichienne. Petite parenthèse ici pour vous conseiller de visiter la Haus der musik qui est tout simplement géniale et immersive si vous êtes de passage à Vienne.

Le violoniste est avant tout un thriller psychologique. Certes, il y a quelques effusions de sang mais le point fort de ce roman est la maîtrise de l'auteur sur la psychologie et la complexité de celle-ci du personnage principal, Franz. Un homme manipulateur à tendance pervers narcissique, sans pour autant posséder les codes antisociaux que l'on connait à ce genre de cas normalement. Sophismes, arguments fallacieux, humiliation, rien n'arrête notre protagoniste lorsqu'il ''joue'' avec les femmes. Conscient de ses charmes et de sa réputation, Franz abuse et se croit intouchable jusqu'au jour où il comment l'irréparable. Difficile pour nous, lecteurs, de s'attacher à ce virtuose du violon et c'est donc avec un plaisir pas si coupable que ça qu'on assiste à sa descente aux enfers.

Un roman qui fait presque 700 pages, c'est, à mes yeux, risqué et il y a effectivement, pour moi je le précise encore une fois, quelques longueurs. Mais d'un autre côté, pour les amateurs de thriller 100% psychologique, vous serez comblés puisque l'auteure s'attarde sur les moindres petits détails, les défaillances qui feront basculer notre cher violoniste du côté noir de son âme. Un autre petit point négatif qui n'enlève rien à l'histoire mais pour être honnête avec moi-même, je me dois de l'écrire puisque ceci m'a perturbé lors de ma lecture; les réactions de Lili (une des conquêtes de Franz) que je ne trouve pas rationnelles du tout lors de certains passages, je n'avais qu'une envie, la prendre par les épaules, de la secouer et de lui dire de s'ouvrir les yeux... Lili, pas l'auteure, hein! 😂

De nombreux rebondissement, des personnages colorés, l'auteure nous fait voyager et rêver avec certaines descriptions mondaines, c'est une belle réussite pour un premier roman. Ge Froideval possède une belle plume, fluide, délicate et féminine. Et chapeau pour l'idée, les thrillers musicaux, ce n'est pas du tout courant et ça fait franchement plaisir de voir deux univers si distincts se mélanger aussi bien.
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C'est l'histoire de Franz, un musicien, un génie du violon, qui arrête sa carrière. Il prend un poste "plan-plan" à Vienne auprès de son mentor, ce qui lui permet de travailler sereinement à son autre passion : l'humiliation des femmes à qui il a fait des avances et qu'il rabroue brusquement une fois qu'il les a conquises.
Et puis un jour, un concours de circonstance, une pulsion (dont on comprendra, au fil des lignes d'où elle tire son origine) et... il tue une femme.
S'enchaînent des événements terribles quand il croise le chemin d'un tueur à gages... qui décide de l'employer lui, l'artiste.
Des femmes, il en croise : certaines sont les siennes. L'une des un objet sexuel, une autre un amour impossible, une autre encore une artiste "gore" qui le comprend mieux que personne, une autre toujours sa muse. Toutes sont ses inspiratrices, et il leur compose une oeuvre, une symphonie... Mais d'autres sont ses futures victimes... Comment peut-il se sortir de cette spirale descendante ? Et le peut-il seulement ? En a-t-il le projet ?
Le roman est bien écrit. Très bien écrit. On s'attache au personnage de Franz, le violoniste, aux personnages devrais-je dire. Et à l'intrigue aussi, évidemment. C'est dynamique, bien charpenté, c'est plein de détails aussi (dans l'histoire comme dans les à-côtés de l'histoire), mais aussi avec du fond côté musique et architecture/géographie…
Les dialogues sont bien construits, de même que les passages introspectifs.
Ce livre est lourd. Pas dans le style, au contraire, mais en termes de nombre de pages. Mais on ne s'ennuie pas. En bref, il est un long et merveilleux moment de lecture... à ne rater sous aucun prétexte.
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Aujourd'hui je vais vous parler d'un pavé que je viens de terminer. Il s'agit du Violoniste de G. E. Froideval. J'ai attendu d'être en vacances pour m'y plonger. J'ai aimé ce livre même si j'ai été un peu désarçonnée par moments. Et pourquoi donc ?
Simplement parce que j'ai eu l'impression de deux parties, deux histoires liées, bien entendu, mais qui auraient presque pu être publiées séparément. J'ai eu une nette préférence pour la seconde partie bien que la première soit indispensable à sa compréhension.
Le style de G. E. Froideval est fluide et clair, les mots sont choisis avec soin : tout ce que j'aime. J'ai été un peu perdue par le nombre de personnages et de noms à retenir (j'ai dû parfois effectuer des aller-retours pour me rappeler de l'histoire de tel ou tel protagoniste) mais c'est inhérent à la taille et à l'ambition de ce roman.
J'ai eu du mal à croire qu'il s'agissait d'un premier roman tant les personnages sont fouillés. J'ai ressenti l'amour de la musique dans toutes les évocations des oeuvres interprétées par Franz.
En résumé ? J'ai aimé ce livre.
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Le commentaire de Martine :
Quel roman intéressant qui allie le thriller et la musique classique assez original comme mélange, que nous offre G. E. Froideval.
Un roman qui nous entraîne dans un suspense psychologique, dans le mensonge, un meurtre, la manipulation, des actes guidés par les émotions, et même des troubles psychologiques tout ce qui est réuni afin de créer un bon roman. Nous allons suivre les déboires et les bons moments d'un grand violoniste qui a un énorme talent qui est adulé dans le monde entier, Franz Schligg, est un homme qui attire les fans, tout en étant, un monstre pour les femmes qu'il séduit et qu'il jette par la suite. Puis un drame va survenir, est-ce que Franz a laissé tomber sa garde ou bien a-t-il commis l'irréversible ?
Sa vie entière va connaître, à partir de cet événement, la débandade. Serait-il près de devenir fou ? Est-ce qu'il gardera toute sa tête dans cet engrenage infernal de manipulations, de menteries et de moments tragiques qu'il va vivre ?
Une bonne lecture captivante et intéressante surtout le point de vue de l'état psychologique de Franz Schligg tout au long des chapitres. G. E. Froideval a une écriture facile à lire, addictive et intelligente. Un suspense bien mené du début jusqu'à la fin, et ce, de plus, je n'avais pas deviné la conclusion de ce thriller. J'adore quand un auteur réussit avec son intrigue, à ne pas permettre au lecteur de deviner la fin.
Je vous recommande ce bon thriller qui vous gardera sur le bout de votre chaise dès les premiers chapitres.
Lien : http://lesmilleetunlivreslm...
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Malgré un début un peu difficile pour moi avec cette lecture, j'ai finalement apprécié ce thriller psychologique.

En effet, j'ai trouvé le début assez lent, avec un personnage principal très antipathique. Grand séducteur, il ne résiste a aucune femme et prend plaisir à les humilier. Jusqu'au jour où il va commettre l'irréparable... On assiste alors à sa descente aux enfers.

Ce roman est divisé en trois parties. Il m'a manqué une certaine tension qu'on aime avoir dans ce genre de roman dans les deux premières parties. Puis est arrivé la troisième. Et là, je n'ai pu lâcher ce roman avant de l'avoir terminé. L'ambiance est devenue plus pesante, le suspens bien présent. Je n'avais qu'une envie, connaître le dénouement. Dénouement surprenant que je n'avais pas vu venir !

J'ai aimé le côté psychologique de ce thriller. Petit à petit, l'auteure nous dévoile le passé de Franz. Cela nous amène à comprendre comment il en est arrivé à se comporter de la sorte. J'ai également aimé voir ce personnage évoluer, se questionner sur ce qu'il est et qui a envie de changer, d'être meilleur.

Concernant ses relations avec certaines femmes, je n'y ai pas adhérer, sauf celle avec Lili, bien qu'on se demande comment elle peut l'apprécier.

La plume de l'auteure est très agréable à lire, les pages se tournent rapidement. Elle nous fait voyager de Vienne à New York en passant par Paris.

Vous l'aurez compris, c'est une lecture en deux temps pour moi. Avec mon déménagement, je n'ai pu me mettre bien dedans dès le début, et c'est sûrement ce qui m'a fait défaut pour apprécier pleinement ce thriller. Je vous conseille toutefois de le découvrir si vous aimez les thrillers psychologiques. A vous de vous faire votre propre avis !
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La lecture de ce roman m'a permis de passer des moments bien agréables, hors du temps, hors de mes préoccupations quotidiennes, hors de mon univers connu. La narration est fluide, agréable, l'intrigue se suit facilement, sans diversions ni bavardages inutiles.

Le monde de la grande musique, des violonistes, je ne le connaissais que fort peu et je l'ai découvert avec plaisir et intérêt.

Que l'on ne s'y trompe pas, ce n'est pas un roman policier qui décrit de manière pointilleuse le déroulement d'un enquête concernant un serial killer. Ce n'est pas non plus un thriller mais plutôt une étude originale sur un assassin compulsif, qui agit quelque part en toute innocence, en éprouvant dans l'après-coup un déroutant sentiment d'intense culpabilité.

Un roman qui mérite largement d'être lu par tous ceux qui aiment s'évader dans un monde imaginaire étranger et néanmoins proche d'eux.
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Le Violoniste c'est l'histoire d'un homme à qui tout réussi : jeune, beau, riche, virtuose, adulé notamment par les femmes.
C'est aussi l'histoire d'un homme qui aime à humilier ces dernières.
Le Violoniste c'est l'histoire d'un passage à l'acte.
C'est aussi l'histoire d'une sombre machination et d'un engrenage fatal.
Alors qui est ce mystérieux Franz Schligg ? Ange ou démon ? On pourrait très vite le détester mais je me suis tout de suite attachée à lui car on sent une fêlure derrière toutes ces dorures.
Roman à suspense mais aussi psychologique ce coup d'archet est aussi un coup de maître ! Les pages défilent sans qu'on s'ennuie un instant et petit à petit on comprend de mieux en mieux Franz, les tourments qui l'habitent, le passé qui le hante malgré lui et son rapport particulier à toutes les femmes qu'il croisera. Celles-ci ont en effet une présence très forte : entre les dominantes, les timides qui tombent toujours sur le mauvais mec, celles qui sont mises sur un piédestal jusqu'à l'artiste photographe à l'oeil froid qui voit à travers vous, leur représentation est exhaustive. Pourtant, loin d'être des clichés ces personnages féminins vont évoluer : n'est pas la plus faible celle que l'on croit et l'amour et l'amitié viendront de façon inattendue.
La longue descente aux enfers de Franz lui permettra-t-elle de voir les êtres qui l'entourent sous un autre jour et de laisser derrière lui ce qui le hante ?
Et si le Violoniste était avant tout une histoire de rédemption ?
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Un livre que j'ai découvert par hasard et qui m'a fait vibrer du début jusqu'à la fin. Une histoire unique entre thriller et douceur, pour les plus sadiques comme moi aimeront l'humour et l'anti-héros que représente Franz. Les descriptions comme l'intrigue ne sont pas à redire. On se laisse facilement emporter par le monde de Gigi. Bravo à l'auteure !
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« Le violoniste : coup d'archet » occupe pour moi une place spéciale au sein de ces chroniques parce que j'ai fait la connaissance de ce texte alors qu'il était inachevé sur la plate-forme Scribay. J'ai été ravi de le retrouver en service de presse sur simplement.pro.

L'intrigue :
Ce roman met en scène un violoniste aussi talentueux que salaud. Expert en séduction, il prend son plaisir avec les femmes, non pas en leur faisant l'amour, mais en les humiliant. Comme il va souvent les chercher sur son lieu de travail, cela signifie pour elle la fin de leur carrière. Sauf qu'un jour, il va tomber sur une femme qui ne se laisse pas faire. Et dans un coup de folie, il la tue. À partir de là, il va prendre une spectaculaire suite de mauvaises décisions (mais y en a-t-il de bonnes quand on tue quelqu'un) qui vont le faire tomber dans un piège. Soit il tue, pour le compte d'un tueur à gages qui refuse de porter la main sur les femmes ; soit il va au-delà de graves problèmes pour lui et pour ses proches.

Les personnages :
Franz Schligg : violoniste talentueux et fortement misogyne. Son grand plaisir c'est d'humilier les femmes. Activité facilitée par sa beauté, sa célébrité et son grand pouvoir de séduction. Son meurtre va en faire un homme torturé par ses actes.
Jakob Shahn : ancien violoniste, directeur de l'orchestre du conservatoire de Vienne et mentor de Schligg. Il adore le violoniste comme son propre fils. Indirectement, il est responsable de la misogynie de Schligg.
Albert : chef d'orchestre du conservatoire de Vienne. Ami de Franz.
Lili : jeune violoncelliste, humiliée par Schligg, malgré tout amoureuse.
Karl : tueur à gages, froid et sans état d'âme, à ceci près qu'il refuse de tuer une femme de ses propres mains. Sa grande spécialité est de trouver des pions pour faire le travail à sa place.
Tchavo : jeune Tzigane qui va accepter d'aider le violoniste.
Neumann : policier enquêtant sur la mort de la première victime de Schligg.

Mon avis :
Faire du personnage principal un individu salaud et à première vue antipathique, ce n'est pas fréquent. Et pourtant, cela marche. On est vraiment intéressé par les mésaventures de Franz Schligg. Ce personnage méprisable par ce qu'il appelle ses petits jeux va se remettre en question en raison de ce que ceux-ci l'ont amené à faire. Et quand Karl entre en scène, le meurtrier devient victime à son tour, obligé de faire quelque chose qui le révulse.
Un autre aspect important de ce roman est l'omniprésence de la musique. Schligg est violoniste, Albert chef d'orchestre et les victimes des jeux sont principalement musiciennes aussi. Au cours de l'histoire Franz va manipuler des stradivarius ou des guarnerius, à l'occasion un violon plus humble, mais offert par son père. D'ailleurs, un secret se cache aussi derrière ce dernier violon. On suit la carrière internationale des personnages à Vienne, Salzbourg, Paris ou New York, la création d'une symphonie par Franz ou tout simplement le plaisir qu'il prend à jouer avec les mendiants dans les parcs publics. La musique rend ce thriller original parce les musiciens ne sont pas des meurtriers. La musique n'est-elle pas censée adoucir les moeurs ?
L'intrigue est très riche par les multiples éléments que rajoute l'autrice. Mais cela ne nous embrouille pas. Au contraire, cela nous permet de mieux comprendre les personnages, de rendre la narration plus réelle. Et bien que complexe, l'histoire est claire et facile à comprendre.
Un dernier point qui mérite d'être souligné est la faible quantité de fautes présentes dans le texte. Il y en a beaucoup moins que dans pas mal d'oeuvres que j'ai lues, même issues de maisons d'édition. Et pourtant, l'autrice n'est pas de langue maternelle française.

Ce roman se sera révélé très rapide à lire, malgré son nombre de pages élevé (672). Et l'attention ne s'est pas relâchée tout au long de la lecture. Si un scénariste le tenait entre ses mains, il pourrait en faire un très grand film. Et vous, vous passeriez un très bon moment.
Lien : https://helariapedia.wordpre..
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