Les dessins sont assez naïfs, les intrigues aussi, par exemple pour la première histoire de
Alix Fuilu après le viol d'une femme plus rien, on ne connait pas les conséquences sur elle et sa famille, ça coupe brusquement. Dans la seconde de
Didier Kassaï, est un peu plus étudiée, elle possède une fin, une morale aussi et parle librement de la séropositivité et de moyens de contraceptions. Enfin la dernière histoire de
Alain Kojelé est plus violente mais trop courte pour développer quoi que ce soit et c'est bien dommage car ces bandes dessinées me laisse sur ma faim. Au final c'était assez moyen, ça ressemble plus à des échantillons qu'a véritablement trois histoires complètes.