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4,16

sur 750 notes
Tome 5 retraçant la suite des aventures de Claire et Jamie Fraser.

J'aime toujours autant l'histoire. Mais j'ai trouvé ce tome plutôt long, sûrement lié au fait que je l'ai lu sur ma liseuse plutôt qu'en version papier et que c'est un gros livre.

Cette histoire, sur fond de guerre d'indépendance aux USA, m'a donné envie de m'intéresser un peu plus aux plantes afin de soigner les petits bobos du quotidien mais aussi à tout ce qu'il s'est passé avant 1774, avec les Régulateurs et la bataille d'Alamance, alors que je n'aime pas l'histoire en général !
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"La Croix de Feu - Partie 1" poursuit brillamment l'aventure d'Outlander, transportant Claire et Jamie dans la France du XVIIIe siècle. Gabaldon excelle dans la peinture de cette époque, avec des intrigues politiques et des rebondissements captivants.

Les personnages, en particulier Claire et Jamie, continuent à évoluer de manière touchante. L'histoire d'amour est approfondie, ajoutant une dimension supplémentaire à leur relation.

L'intrigue est dense, parfois complexe, mais maintient un rythme captivant. Les rebondissements inattendus maintiennent l'intérêt, bien que certains puissent trouver l'histoire un peu dense.

En résumé, "La Croix de Feu - Partie 1" est une suite réussie qui ravira les fans d'Outlander. Gabaldon offre une expérience immersive et passionnante, parfaite pour les amateurs d'histoire et de romances épiques.
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Je suis un peu déçu de ce tome 5. Il n'est pas très intéressant. Je me suis ennuyée pendant l'écoute de cet audio.
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C'est toujours un plaisir de se plonger dans cette série littéraire ! Parfois, les longues descriptions me rebutent un peu et certains passages sont peut-être longs à mon goût (sentiment déjà partagé pour les 4 premiers livres). Mais chaque lecture me donne envie de m'intéresser un peu plus à L Histoire, de dévaliser les rayons de livres sur les plantes médicinales et de traverser les pierres pour rejoindre nos héros ! J'ai hâte de lire la suite !
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Traduit de l'anglais par Philippe Safavi

J'émerge des 1524 pages de ce tome 5, toujours aussi émerveillée par le talent de conteuse de l'auteure.
Voilà nos Fraser installés dans le Nouveau Monde, en Caroline du Nord. Manque de chance, en 1770, ce sont les Anglais qui dirigent le pays. Dire qu'ils avaient fui l'Ecosse pour leur échapper ! Leur fille, Brianna a traversé les pierres pour les rejoindre. Mais ils s'en accommodent, bien obligés.
Malgré la longueur du récit, on ne s'ennuie jamais car il est parsemé de détails parfois triviaux qui lui donne du sel. Par exemple, une truie blanche fugueuse que Jamie poursuit, ou Ian qui se gratte une piqure de moustique sur le nez. Et puis, bien d'autres aventures palpitantes parsèment l'histoire, ne serait-ce que la traque d'un ours blanc ou une chasse aux bisons.
Le tome 6 n'étant pas disponible à la bibliothèque, je dois patienter pour la suite. Mais le tome 3 des Jalna, tout aussi conséquent m'attend. Toutefois, je vais intercaler un livre un peu moins épais. Par exemple "Respire" de Niko Tackian.
Allez, à bientôt pour de nouvelles aventures !
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J'ai renoué avec le plaisir de lire cette série avec ce tome. Bien qu'il soit vraiment très long à lire et qu'il souffre de longueurs, j'ai apprécié l'ensemble. J'aime sincèrement le couple formé par Jamie et Claire. En fait, c'est assez rare de suivre une histoire le long d'une vie, et je trouve que l'auteur la déploie de façon très crédible et humaine, avec son quotidien et sa vie même banale. J'apprécie vraiment ce côté-là. Beaucoup beaucoup de description, de détails sur tout, ce qui rend le livre extrêmement riche en sensations et en précisions. J'ai un peu de mal personnellement à accrocher avec les personnages de Brianna et Roger, mais j'apprécie malgré tout leurs imperfections et leurs maladresses. Parfois je crains qu'ils glissent vers un « bis couple Jamie-Claire ». En tout cas, le tout est agréable à lire, on renoue plus avec quelque chose de plus authentique et proche du tome 1.
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Je suis plutôt fière d'avoir fini les 1500 pages ! Je suis toujours très attachée au roman mais il y a tout de même beaucoup de longueur comme par exemple le mariage de Jocasta, j'ai cru que ça ne finirait jamais ! Dommage, on apprend énormément sur l'histoire des États Unis, l'auteur fait un sacré travail de recherche. Une petite pause avant d'attaquer la suite.
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Cette fois j'arrête. Désolée, mais la lecture de ces plus de 1500 pages m'a achevée – sans compter mon bras qui réclame merci, plein de crampes car je n'ai jamais su trouver la bonne position pour tenir ces trois kilos de papier.
(attention, spoilers)
J'ai adoré le tome 1, je me suis passionnée pour le tome 2, j'ai commencé à avoir des doutes à partir du tome 3, j'ai peiné sur le tome 4, et à la fin du tome 5, je n'en peux plus. J'avoue ma lassitude de ce fil interminable, les longueurs à n'en plus finir me sortent par tous les pores de la peau, j'ai trop peiné sur les descriptions et je me suis usée sur les dialogues – et que dire des dialogues qui s'éternisent, sur des sujets aussi palpitants que les couches de bébé à changer, la recette des saucisses, la meilleure façon de tirer dans le wapiti et de dépecer le porc. Je sais bien, toutes ces petites choses constituent la vie quotidienne de nos deux couples vedettes, de leurs familles, amis, ennemis, rencontres de hasard, sans compter les serments éternels qu'ils échangent sur des pages et des pages. Non, vraiment, je n'en peux plus. Au point que quand je pressentais qu'un chapitre, ou deux, ou trois à la file, n'avait qu'un intérêt limité pour la suite et la bonne compréhension, je tournais et passais sur les pages à la vitesse d'un destrier au galop. Ce qui m'a permis de venir à bout des 1500 pages en un temps record, car pour être honnête, je pense n'en avoir vraiment lu que 500 à peu près, et franchement cela suffit pour tout capter.
Ce qui est également dommage, c'est qu'on n'y trouve pas son compte et que ce qu'on aimerait lire, partager, comme matière à réflexion et comme fil directeur, n'y figure pas, ou si peu, avec de si vagues et faibles allusions que cela vaut à peine le coup de l'évoquer. Quoi, on a parmi les 4 héros principaux 3 personnes qui depuis les années 70 et tout ce qu'elles impliquent) se retrouvent balancées dans le monde dur et sauvage des années 1760, en Ecosse puis dans les terres vierges de ce qui deviendra les Etats-Unis, et on les voit faire une croix sur leur passé, leurs souvenirs, leurs centres d'intérêt, leurs envies. Ils n'en parlent jamais, ou presque. Une vague allusion aux Beatles, aux pizzas, au papier hygiénique, mais sinon tout va bien pour eux dans le meilleur des mondes où ils peinent, souffrent, o nt froid, ne peuvent se réchauffer convenablement, manquent de l'hygiène la plus élémentaire. Peuvent-ils au moins se laver tous les jours, a minima les mains après avoir dépecé le porc dont je parlais plus haut ou confectionné les fameuses saucisses ? Et les odeurs ? Je n'ose même pas y penser, plongés au milieu de gens qui restent des mois sans se laver et sans changer de vêtements… Rien ne leur manque vraiment de ce qu'ils ont laissé de l'autre côté ? Trêve de plaisanterie malgré mon style moqueur, sincèrement j(aurais aimé savoir ce qui se passe dans leur tête, particulièrement nos deux plus jeunes, qui ont fait le choix de traverser les pierres en sachant ce qui les attendait. Rejoindre ses parents pour les prévenir qu'ils vont mourir, soit, rejoindre la femme qu'on aime, d'accord. Mais que l'auteur ne livre rien des pensées de ses héros en faisant ces choix, c'et incontestablement frustrant.
Sans compter, toujours, le manque de curiosité de Jamie pour le XXème siècle, sans parler de Ian qui ne pose aucune questions quand il découvre le pot aux roses…
Et cette façon de s'acharner sur Roger ! Non mais je vous jure ! Je sais bien que parfois les auteurs n'aiment pas leurs personnages, mais là c'et trop, alors que des 4 héros Roger est pour moi incontestablement le plus sympathique, le plus désintéressé, les plus dévoué, et qui met un coeur incroyable dans tout ce qu'il fait… Il faut se calmer là !
Je me contenterai donc de la série pour la suite.
Mais, en terminant cette critique un peu dure, je ne peux que saluer le phénoménal travail de documentation de l'auteur.
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Cinquième tome du cercle de pierre ou apprelé aussi Outlander. Les aventures de Jamie et claire se poursuivent avec Roger et brianna ainsi que leur petit garçon jemmie. Cette saga est absolument géniale. Je ne sais pas si l'auteur est écossaise mais j'aurais bien voulu avoir parfois ou plutôt tout le temps la traduction parce qu'à part sassenach et moi dhuine on ne sait pas trop ce que Jamie raconte sauf si claire nous éclaire parfois.
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Ça y est, au bout de 5 tomes je commence à saturer sérieusement des petites manies de Diana Gabaldon. Inutile de revenir sur le penchant prononcé de l'auteure pour tout ce qui se situe sous le nombril, mes dernières critiques sur les précédents tomes en parlent déjà et celui-ci ne déroge pas à la règle. C'est une question de goût, ce n'est pas du mien (surtout quand ça s'étend aux bébés voire aux animaux).



De même, et alors que depuis les deux derniers tomes je suis devenue de plus en plus sensible aux odeurs décrites à tout va par l'auteure, voilà ce qu'on peut entendre au milieu du chapitre 14 : « Tout en gémissant de satisfaction, elle entrouvrit se lèvres qui sentaient le vin et la viande grillée épicée. La pluie clapotait sur la toile au-dessus d'eux et le froid de cette fin d'automne montait de la terre et s'enroulait autour de leurs chevilles. La première fois, l'air avait été chargé des odeurs du houblon et de la terre retournée, leur couche fleurant bon le foin et l'âne. À présent flottait atour d'eux un parfum de pin et de genièvre que la fumée des feux de camps rendait âpre, mais agrémentée d'une note vaguement sucrée de selles de nourrisson ». On laissera à chacun le soin d'évaluer l'agrément de l'odeur du caca et à quel point une écurie fleure bon, après tout là aussi c'est une question de goût. En l'espèce ce passage m'a semblé tout simplement absurde, sans la poésie qu'on a semblé vouloir y mettre.



Une nouveauté : le goût de Diana Gabaldon pour les onomatopées, particulièrement développé dans ce tome, auxquelles est presque systématiquement associé un qualificatif (l'auteure n'est décidément pas avare en détails) en forme de personnification. Exemples : une chèvre qui émettra un bêê de protestation/de contentement/furieux etc. (ça vaut pour tous les animaux que l'on peut croiser et toutes les formes d'expression possibles et imaginables que l'on peut prêter à un animal). Ou encore : elle frappa à la porte trois petits coups secs et rapprochés, toc toc toc. Comme si le début de la phrase ne permettait pas déjà de se figurer l'action précisément. Bref.

À l'écoute, ces détails sont superflus, à la lecture je pense qu'ils m'irriteraient encore davantage. Cela me donnerait l'impression que l'auteure en rajoute pour le principe de sortir un bon pavé bien fourni. Pour en revenir aux monologues animaliers, je suppose qu'ils sont censés apporter une touche d'humour, sauf que la répétition du procédé lui fait perdre toute sa saveur, passé les trois premières occurrences.

De l'humour aussi j'imagine, lorsque tout propos qui se rapporte aux bébés (et ils sont diablement nombreux dans ce tome) n'a trait qu'à ce qui se passe dans leur couche et ce qui sort de leur bouche et de leur nez. Là encore, c'est rigolo au début et ça prend le contre-pied de l'attendrissement un peu niais dont on peut être saisi face à un bambin, mais à force c'est lassant. Inutile de dire que leurs vagissements sonores ne sont pas en reste côté qualificatifs, les animaux n'ont qu'à bien se tenir.

Que dire de plus sur ce roman à part lister les manies irritantes de son auteure ? Il m'a beaucoup moins accrochée que les précédents et j'ai amorcé une pente descendante sur l'intérêt que je portais à la saga. D'ailleurs, le début de ce cinquième tome m'a semblé interminable (il se passe au gathering, dans la continuité du tome 4). Long et ennuyeux, avec des dialogues oscillant entre mièvrerie et – là encore – une sorte d'humour qui se veut piquant (cf. les allusions grivoises entre Jamie et Claire et maintenant Brianna et Roger) mais qui à mon sens est au mieux cucul-la-praline, au pire grossier. Sans parler de cette foule de personnages que je ne suis plus parvenue, à force, à identifier et que l'on perd de vue dès qu'on quitte le gathering. J'ai écouté cette longue première partie d'une oreille et, même par la suite, les diverses péripéties ne m'ont pas tenue en haleine comme les premiers tomes, c'était plus fastidieux.

Pour ne pas dire que du mal et justifier quand même les trois étoiles, un aspect qui m'a semblé intéressant est celui du conflit psychologique de Brianna suite au traumatisme qu'elle a subi, et les répercussions sur sa vie de couple, de famille. J'apprécie aussi de suivre Claire dans ses pérégrinations médicinales. Je n'en suis pas encore à renoncer à lire la suite, l'envie de savoir ce qui va arriver aux héros (auxquels je demeure attachée) reste, pour le moment, plus forte que tous ces défauts qui me font lever les yeux au ciel et écrire des critiques de quatre kilomètres… La suite au prochain épisode 😊
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