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3,38

sur 331 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Paris s'apprête à accueillir l'exposition universelle de 1889, et il y a de quoi faire ! La récente découverte de l'éther, une substance source d'énergie, a permis de faire des bons de géant dans le domaine scientifique : engins volants, automates en tout genre, c'est une véritable révolution industrielle qui se déroule sous les yeux des citoyens ébahis. La plupart voient l'éther comme une substance quasi-miraculeuse. D'autres pointent ses dangers encore mal connus, car elle semble provoquer de curieux troubles psychologiques chez les individus qui y ont été exposés trop longtemps.

Au milieu de cette effervescence, deux personnes ont d'autres chats à fouetter : Margo enquête sur la mort de sa meilleure amie, qui est tombée mystérieusement d'un aérocar alors qu'elle s'y trouvait seule, avec l'aide de son frère, directeur d'un asile d'aliénés victimes de l'éther. Les premiers éléments les mènent sur une piste déconcertante : le coupable serait un des automates de l'appareil, qui aurait agi de son propre chef…

J'ai craqué en partie pour ce livre grâce à la superbe couverture de l'édition Bragelonne, qui représente un Paris parcouru de dirigeables, et baigné dans la lumière verdâtre de l'éther. J'ai adoré l'ambiance, historique (on croise quelques personnages connus au détour d'un chapitre ou l'autre), et résolument steampunk. Tout le monde n'apprécie pas les visions de machines infernales crachant de grands jets de vapeur, d'engrenages géants et de dirigeables comme mode de transport principal, mais moi j'y suis particulièrement sensible. J'ai été agréablement surpris de voir apparaître des théories de l'époque (la panoptique, ….) et des thématiques post-humanistes qui pour le coup sont vraiment à l'ordre du jour.

Derrière ce décor qui m'a enthousiasmé, il faut bien reconnaître que l'intrigue est tout de même assez faible. le récit est rempli de deus ex-machina, de situations improbables et injustifiées (ex : la fuite du serpent mécanique), et de scènes dont on se demande, au bout du livre, ce qu'elles apportent réellement au récit (les visions de Dix-Neuf, la rencontre avec le voyant).

Mon impression générale reste excellente, tant j'apprécie ce melting-pot de genres et de références, mais je conseillerais ce livre aux amateurs de steampunk, et pas forcément à ceux qui recherchent une intrigue policière en bonne et due forme.
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Ce roman, écrit à quatre mains par Mathieu Gaborit et Fabrice Colin, a été publié pour la première fois en 1999. À l'époque, il s'agissait de l'un des premiers romans de steampunk français.
En 2013, Bragelonne a décidé de re-publier ce livre dans le cadre d'une opération spéciale steampunk baptisée Mois du Cuivre. Cette édition est tout simplement magnifique. L'illustration de couverture est rehaussée par des dorures, et la bordure des pages est également dorée. Bref, l'objet est magnifique, mais qu'en est-il du contenu ?

L'histoire se déroule à Paris en 1889, alors qu'une étrange substance, l'éther, a permis des révolutions technologiques : aéroscaphes, automates...
Nous suivons Margo, dont la meilleure amie vient de mourir en tombant d'un aérocar. Déterminée à comprendre la raison de ce drame, elle va enquêter en compagnie de son frère Théo.

J'ai beaucoup aimé l'ambiance de ce livre. Imaginer le Paris de la fin du 19ème siècle, en pleine Exposition Universelle, survolé par des aéronefs, a quelque chose de féerique. La plume poétique des deux auteurs nous emporte dans ce monde, entre histoire et merveilleux.
L'histoire a beau être classique (pour du steampunk), cette atmosphère enchanteresse permet une lecture fluide et agréable. de plus, les scènes d'action intervenant à intervalles réguliers tiennent quand même bien en haleine.

Concernant les personnages, j'ai apprécié le fait d'avoir affaire à une dynamique frère-soeur, sans qu'aucune histoire d'amour ne vienne s'en mêler. J'avoue, après mes dernières lectures, ça m'a fait du bien de ne pas avoir de romance cette fois-ci !
La narration à la première personne est alternée entre Margo et Théo. Ces deux personnages sont attachants, même si j'admets avoir eu un faible pour Théo. C'est un aliéniste, qui est passionné par l'étude des patients rendus fous par une exposition à l'éther. de fait, il se pose beaucoup de questions sur le monde qui l'entoure, alors que Margo considère toute cette technologie comme allant de soi, et sans danger. Margo est d'ailleurs une héroïne beaucoup plus classique, téméraire et n'hésitant pas à user des ses charmes pour parvenir à ses fins, comme une énorme majorité des héroïnes actuelles. Certes, il y a le petit twist concernant sa vie amoureuse, mais son personnage reste malgré tout plus courant.

J'ai passé un moment très agréable avec ce livre, je regrette même qu'il n'y ait pas de suite, parce que les personnages et l'univers ont beaucoup de potentiel. Dans la préface, les auteurs révèlent qu'ils ont des idées pour un éventuel deuxième tome, mais le temps leur manque pour pouvoir à nouveau écrire ensemble, et c'est vraiment dommage.

Je conseille ce livre à tous ceux qui voudraient découvrir le steampunk ou qui sont déjà accros à ce style (comme moi). Laissez les aéroscaphes de Mathieu Gaborit et Fabrice Colin vous emporter au-dessus de Paris, vous ne le regretterez pas !
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Ouf, je suis rassurée. Non parce qu'après la débâcle que fut pour moi Arcadia de Fabrice Colin (trois tentatives, trois "mais qu'est ce que c'est que ce schmilblick ?!" et trois abandons), je redoutais ces confessions opiacées.

Mais finalement, ça a marché. Même bien marché.

D'abord, parce qu'enfin, enfin, j'ai ma dose de steampunk. Un beau Paris exposition universelle, ça brille de partout, j'entends les crissements des boulons à chaque page, je ressens les effluves d'éther à chaque instant, je vois passer plein de trucs volants technologiques sans arrêt, et la Science, la Science, se régale. J'ai même la Reine Victoria en cadeau. Elle fait figuration, mais c'est pas grave, elle est là. Ajoutons à cela un beau Paris tout bourgeois et tout lumineux, qui brille, et hop, j'adhère (même si c'est complètement invraisemblable, m'en fiche).
Les auteurs nous offrent de somptueuses descriptions de cette exposition sur plusieurs pages, qui sont autant visuelles que sonores, un régal.

Ensuite, j'ai bien aimé l'arrière-plan scientifique (Charcot, et compagnie). Ici, science et technologies nouvelles se font face, tantôt se tiennent la main, tantôt se défient. Ca apporte du sens au récit qui est basé là-dessus : ces automates, jusqu'où peuvent-ils aller ? Quelles sont leurs limites ? Et cet éther dont on ne connaît finalement pas grand chose, ne faut-il pas s'en méfier ?

Car oui, c'est l'enjeu du livre. Il se passe des trucs louches avec ces automates. Si l'enquête à mon sens ne vaut pas tripette (facile, déjà vue, les héros qui sont meilleurs que la police à côté de ses pompes, les héros sauveurs du monde et qui se fourrent dans des situations complètement dingues mais qui s'en sortent toujours même quand on croit que c'est fini…), j'ai accroché. Je suis bon public, il faut croire. Non, en fait, ça reste captivant. On ne s'ennuie pas, c'est qu'il s'en passe des choses.

Il faut dire que les personnages y sont aussi pour quelque chose : Margo est une femme de théâtre, attachante, qui fait son cinéma à chaque page, c'est rigolo. Son frère psychiatre est un sacré numéro aussi. A deux, ils nous offrent une belle pièce de théâtre, avec des dialogues rigolos, des scènes farfelues… du théâtre, en somme. le récit est d'ailleurs rythmé par l'alternance des points de vue.

Et enfin, j'ai beaucoup aimé cette histoire autour de l'automate. Je l'ai trouvé attachant celui-là, du fait de son humanité enfouie/refoulée. Sa connexion avec Margo offre d'ailleurs des pages magnifiques teintées d'onirisme. J'ai trouvé qu'il y avait là un beau sujet esprit/matière, un bel exemple que j'aurais pu utiliser dans mes copies de philosophie si j'avais lu ce livre plus tôt.

Alors pourquoi je ne mets que 3,5 étoiles, me demanderez-vous ? C'est vrai que c'est vache, parce que j'ai vraiment bien aimé ce livre. Mais bon, cette enquête est absolument invraisemblable et bourrée de facilités qui ne tiennent pas debout… On va dire que ça ajoute au côté foufou assumé du livre (et que j'ai bien aimé d'ailleurs). J'ai passé un joli moment, mais enfin, ce n'est pas le livre du siècle non plus (pour moi, en tout cas, je précise).
Lien : https://zoeprendlaplume.fr/c..
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Si ce roman n'est certainement pas le meilleur steampunk, c'était mon premier de ce genre et je l'ai bien aimé.
J'étais plutôt emporté par l'univers et j'ai beaucoup aimé la narration alterné par 2 personnages.
Ce qui est dommage, c'est que le roman est assez long à démarrer, ce qui peut en rebuter certains.
J'ai passé un bon moment avec ce livre et je continuerai à lire ces deux auteurs.
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Je ne suis pas familier du genre steampunk ni un lecteur régulier d'enquête policière. C'est donc avec curiosité et un oeil neuf que j'ai entamé ma lecture de ce roman dont les amateurs du genre font grand cas. Force est de constater que les auteurs nous proposent un univers séduisant et cohérent, un Paris au XIXème siècle encombré de machines fonctionnant à l'éther, une substance dont on ignore encore tous les effets secondaires : automates ménagers, aérocabs, aéronefs, trains-obus, tours géantes du quartier de Métropolis.
L'action se déroule en 1889, en pleine Exposition universelle et l'on croise des personnalités connues telles que Villiers De l'Iles-Adam, la Reine Victoria… Les auteurs se sont amusés à tricoter une aventure steampunk autour de ces faits et personnages réels avec maestria. J'ai apprécié la richesse, l'inventivité des auteurs, servie par une très belle écriture, fluide, luxuriante, précise et parfois poétique, lorgnant du côté de Jules Verne pour les descriptions.
L'histoire est assez prenante, composée de plusieurs énigmes enchâssées avec un dénouement digne d'un grand film d'action.
Les deux héros sont originaux aussi. Une soeur actrice, ancienne maîtresse de Sarah Bernhardt et son frère, aliéniste obnubilé par la compréhension des effets de l'éther sur ses malades. Ils forment un excellent couple d'apprenti-enquêteurs aux relations étrangement ambiguës, m'a-t-il semblé.
En résumé, c'est brillant et intelligent, on passe un très bon moment. Comme je le disais en préambule, je ne suis pas un habitué des livres d'enquêtes et d'aventures. Je regrette souvent le manque d'évolution psychologique des protagonistes au détriment du suspens et de l'intrigue. C'est un peu moins le cas ici, ce qui donne un atout supplémentaire à ce roman…
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Mes deux précédentes expériences de Mathieu Gaborit ont été plutôt mitigées ; beaucoup de bonnes choses, mais un espèce de chaos d'idées qui deviennent difficiles à suivre. J'ai longuement hésité avant de me lancer dans les Confessions d'un automate mangeur d'opium. Finalement, je me suis laissée tentée ; après tout, Mathieu Gaborit n'était pas seul auteur sur ce livre.

Au final, ce roman amorce peut-être une réconciliation entre lui et moi. Alors que mes précédentes lectures m'avaient laissé un sentiment désagréable d'incompréhension, ce roman m'a paru bien structuré, parfaitement délimité et de bout en bout j'ai réussi à suivre l'action. La collaboration avec Fabrice Colin aura sans doute eu cet effet positif de "juguler" le trop plein d'imagination de son comparse. Ouf !

Confessions d'un automate mangeur d'opium se lit avec aisance. le style d'écriture n'en fait pas trop, et l'ensemble du roman est équilibré et régulier (chose pas forcément évidente pour un roman écrit par deux cerveaux, d'autant plus si chacun a son style, ses idées...). Les événements s'enchaînent à un rythme soutenu. le lecteur est rapidement pris dans le tourbillon de l'intrigue. Les fils sont difficiles à démêler au premier abord, mais les morceaux du puzzle se mettent peu à peu en place...

En partant d'un crime en apparence passionnel, les auteurs nous emmènent finalement dans les tréfonds d'une société complétement gouvernée par le toxique éther, et même jusque dans les recoins les plus sombres de l'âme et de l'esprit humain.

Pour ma part, j'ai beaucoup aimé me "promener" dans ce Paris steampunk, au carrefour entre événements historiques et fantasmagories. Il règne une atmosphère parfois inquiétante sur le roman : entre Saint-Anne et l'usine d'automates étranges, il y a de quoi avoir quelques frissons.

Les personnages sont plutôt attachants, même s'ils ne rivalisent pas d'originalité et de charisme. L'alternance entre Margo et Théo permet de ne pas se retrouver "scotché" au seul point de vue d'un personnage, ce qui empêche la monotonie.

Globalement, ce roman est bien ficelé, agréable à lire. Il est d'autant plus agréable de constater qu'en France également, il existe de bons auteurs qui explorent ces genres très connotés "anglophones". Ce roman m'aura en tout cas donné envie de découvrir Fabrice Colin, et qui sait, peut-être, de retenter l'aventure avec Mathieu Gaborit...
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Paris, 1889.
Margaret est une célèbre actrice, son frère Théo, un aliéniste. Il s'intéresse particulièrement aux effets de l'éther sur le cerveau humain.
Un soir, après sa représentation, Margaret apprend la mort de sa meilleure amie dans les journaux. Elle est tombée d'un aérocar, soit une chute de plus de 20 m. le conducteur est en fuite. Dans sa main, le poème d'un prétendant éconduit dont Margaret n'a jamais entendu parler.
Alors que pour la police le coupable est trouvé, Margaret et son frère décident de mener leur propre enquête et mettent à jour des faits inquiétants.

Très divertissant ! Je lis rarement des romans à 4 mains, d'ailleurs c'est peut-être bien le premier.
L' univers dans lequel évoluent les personnages est intéressant. Il est question d'âme, de la fusion vivant-machine. Mais sans non plus rentrer dans des détails techniques qui perso m'auraient ennuyée. le roman est vraiment focus sur l'enquête. L'action est là. C'est un bon roman à lire devant son ventilo cet été.
Les non-initiés à l'univers steampunk peuvent le lire sans problème. Ce sera même une bonne découverte pour eux !
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Un roman à l'ambiance vieille France et steampunk très agréable à lire, avec son style facile, sans fioriture, et son intrigue réglée comme un engrenage. Ce mélange de vie parisienne au temps de l'exposition universelle de 1889 et d'omniprésence des automates en tout genre est très réussi. Dès le départ, on est absorbé par l'enquête et les mystères de l'éther, cette matière à la fois miraculeuse et tellement dangereuse, et ensuite par la poursuite du fameux automate pensant. Margot, la comédienne, et Théo, l'aliéniste, la soeur et le frère, forment un couple inhabituel, un brin innocent mais terriblement efficace pour découvrir les arcanes de l'affaire et révéler la déprime meurtrière de l'automate.
Malgré un final peut-être un peu rapide à mon goût, ces confessions me laissent une impression fort délicieuse, de la même veine que celles des grands classiques du genre. C'est dire !
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1889, à la veille de l'exposition universelle.
Aurélie Couturier tombe d'un aeoscaphe dans de mystérieuses circonstances.
Sa meilleure amie, Margaret Saunders, dite Margo, va chercher à les élucider avec l'aide de son frère.

Qui semble plus exactement être son demi-frere car ces deux personnages n'ont pas le même nom de famille et Margo évoquesa propre mère dans une discussion qu'elle a avec Theo en utilisant le possessif "ma".
Leur relation est un peu étrange car elle laisse des vêtements chez son frère pour les nuits où elle dort chez lui et se promène nue devant lui (elle a pourtant une relation avec une femme: oui, elle est lesbienne! Ce qui est bien sûr très en avant pour l'époque car elle semble l'assumer)

Dans ce Paris de la fin du XIXe siècle, les automates et inventions mues par l'éther sont légion, et les automates sont vraiment très développés. Vous verrez jusqu'à quel point en lisant ce roman.

L'enquête policière mène le frère et la soeur dans une fabrique d'automate, à l'exposition universelle... et il est bien sûr question de la reine Victoria!

J'ai apprécié cette lecture malgré quelques petits passages moins intéressants (moins à mon goût du moins).
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Découverte pour moi de cette littérature "Steam Punk", dans ce monde inspiré du XIXe mais avec des technologies bien plus évoluées ... comme une science-fiction dans le passé ...
J'en ai adoré justement la description, ce Paris métallique de la Tour Eiffel, de l'Exposition universelle ... le développement industriel dans toute sa gloire, les machines à vapeur ... le Paris de l'Opéra Garnier et des grands boulevards hausmanniens ... mais avec cette introduction de la modernité en approche, les machines volantes, les "aéroscaphes", les automates dans des rôles qui annoncent nos futurs robots, les images des "téléchromo" .... un monde quasi moderne transposé avec imagination et fantaisie au XIXe .. un petit bijou ...

Alors oui, il y a aussi l'intrigue .... un peu cousue de fil blanc ... notre héroïne, jeune actrice, va vouloir enquêter sur la mort de son amie, mystérieusement tombée du ciel sur le parvis de l'Opéra ... avec l'aide de son demi-frère qui est médecin dans un asile d'aliénés et qui étudie les effets de l'éther, la substance qui permet à toute technologie à cette époque de fonctionner mais qui ne semble pas sans risque .... et évidemment les deux affaires semblent liées ....

Difficile d'en dire plus ... çà bouge beaucoup, il y a pas mal d'action ... mais le plus interessant personnellement est ce questionnement entre les lignes sur la technologie des automates, de l'utilisation de l'ether ... sur les frontières que peut franchir la science et pourquoi ? au nom de quelle entreprise, de quelle armée peut-on exiger une telle folie ? ....

.... Juste quelques rapprochements un peu bizarres aussi à ma lecture .... l'héroïne m'a rappelée Adèle Blanc-Sec qui fonçait tête baissée dans sa recherche, évoluant un peu dans ce même univers fin XIXe un peu fantastique .... et les effets de l'éther m'ont fait penser à ceux de la poussière dans la Croisée des Mondes (bizarre raccourci je l'avoue), un univers aussi à cheval entre le XIXe et les nouvelles sciences et technologies ... je pousse sans doute un peu loin mais ether/poussière face à la conscience de l'homme, à son moi intrinsèque .. mmm ... on se rapproche oui ...

Une bonne lecture et un bon moment à passer ... un univers décalé qui change un peu nos habitudes ...

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