J’eus le bonheur, l’un des premiers, — il y a de cela quelque quarante ans — en parcourant, aux Archives des Affaires étrangères de France, les correspondances des envoyés de Louis XIII à Bruxelles, à la Haye, à Londres, d’y trouver, sur les missions diplomatiques qui furent confiées à Rubens, des renseignements plus authentiques que ceux dont on avait été en possession jusqu’alors. Je me fis un devoir de les livrer à la publicité.