Exceptionnel, le premier chapitre est une découverte d'un récit en premier personne, le village est la mémoire des faits réels. Mais ce narrateur devient aussi un personnage qui se permet de tout raconter avec un oeil critique. La condition des femmes, des indigènes et des injustices. Ixtepec présente Julia qu'elqun d'étranger on comprend comment un homme se perd à cause de cette femme. L'autre femme Isabel qui voit dans Rosas l'ennemi... L'image de la femme vue du patriarche.
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"Aqui estoy sentado sobre esta piedra aparente, solo mi memoria sabe lo que encierra. Veo y me recuerdo. Y como el agua va al agua así yo melancólico vengo a encontrarme en su imagen cubierta por el polvo rodeada por las hierbas, encerrada en sí misma y condenada a la memoria y a su variado espejo. La veo, me veo y me transfigura en multitud de colores y de tiempos, estoy y estuve en muchos ojos. (...) yo solo soy memória y la memoria que de mi se tenga (...)