L'épouvantable peur d'Épiphanie Frayeur

Dans les méandres de l'imagination se déploie l'histoire d'Épiphanie, une petite fille qui, malgré sa nature ordinaire, nourrit une peur extraordinaire envers son ombre. C'est dans une forêt étrange et mystérieuse qu'elle se lance dans la quête d'un remède, dévoilant ainsi une aventure empreinte de détails foisonnants et de références subtiles à des oeuvres tout aussi fantastiques.

Cette BD jeunesse m'a offert un moment enchanteur, où chaque page est un tableau vivant aux couleurs vives, regorgeant de détails minutieusement dessinés. Les illustrations, riches jusqu'au moindre millimètre carré, captivent le regard et invitent à une exploration visuelle émerveillée. le scénario oscille entre humour et émotion, et offre une expérience captivante tant pour les enfants que pour les lecteurs plus matures.

Les dessins sont candides et les couleurs diffuses; ce qui rend l'atmosphère du livre intrigante. Au delà du fait que j'ai apprécié les illustrations, je n'ai pas accroché aux personnages ni à l'histoire. le scénario est quasi inexistant et les jeux de mots foisonnent; ce qui ne facilite pas la lecture.
Je ne conseille pas cette BD aux enfants, mais plutôt à des adultes.

Épiphanie est une petite fille de 8 ans qui a une grande peur : elle a peur de son ombre. Et son ombre ne la quitte jamais. Mais elle va devoir essayer de la dépasser avant que sa peur ne commence à s'en prendre aux gens qui l'entourent. Une BD sur l'acceptation de la peur et sur le fait d'apprendre à vivre avec.

Epiphanie Frayeur a peur de son ombre et ça, c'est un peu handicapant. Elle cherche quelqu'un qui pourrait l'aider à soigner cette peur.

Bande-dessinée jeunesse sur l'angoisse, ses répercussions et sa gestion. L'histoire m'a fait penser à "Alice au Pays des merveilles" avec des répliques et des personnages loufoques a vous rendre fou/folle. le thème est bien abordé, les illustrations sont chouettes.
C'est une lecture qui ne m'a pas passionnée mais qui reste tout de même agréable.

Épiphanie, 8 ans et demi a peur de son ombre. Elle n'en peut plus mais comment se débarrasser de cette peur ?
Très belle bd qui illustre une peur sans pour autant qu'elle nous face peur à nous.
À conseiller au plus jeune qui ont peur de quelque chose

Une très belle bande dessinée autant par l'histoire que pour les illustrations. Un livre pour les enfants et pour les adultes également. Les jeux de mots et la façon de traiter nos peurs (je m'y suis bien retrouvée) sont ici très bien amenés. Je recommande cette bd que l'on lire et relire, tellement de choses à découvrir. Bravo !

Attrait immédiat pour la couverture de cette bd. le titre est énigmatique.

Tout au long des pages, j'ai de moins en moins accroché aux illustrations. C'était trop touffu pour moi et certains personnages tenaient plus du cauchemard que du personnage bienveillant.

Pour l'histoire, le thème a traité est intéressant : la peur de son ombre. Par contre, on part dans un monde (trop?) fantastique et inquiétant. Il y a trop de jeux de mots pour que ça soit agréable à la lecture.

Pour finir, le personnage d'Epiphanie manque beaucoup trop de sympathie. J'ai largement préféré le traitement de sa peur : dommage car je ne pense pas que ce soit l'effet escompté.

C'est l'histoire d'une petite fille de 8 ans ½ qui lutte contre ses cauchemars. Elle a peur de son ombre, symbolisée comme un serpent à plumes, noir et menaçant. le graphisme est magnifique, doux, poétique et onirique bien sûr. Réalisé au crayon (ou technique similaire, peut être numérique), le trait est léger, chargée d'inventions, les représentations de la forêt offrent une explosion de lumières, de détails, de foisonnement, de mystère, la mise en page est mouvante, la gamme colorée joue sur les contrastes orange et verts, la matière est tactile, les traits de crayons se chevauchent tout en nuances fines. le récit est en forme de quête, Épiphanie fera des rencontres improbables, Il y a du Alice au Pays des Merveilles, un peu de Miyazaki, une petite pointe d'humour léger, et beaucoup de poésie.
Ce livre est un petit bijou, l'histoire est belle, mais on peut aussi le feuilleter rien que pour les images, des caresses pour les yeux.

Une magnifique bande dessinée qui nous présente une petite fille, Épiphanie, dont la peur a pris une place trop importante dans sa vie. Cette peur la suit partout comme son ombre. Alors, à 8 ans et demie, Épiphanie décide d'essayer de s'en débarrasser.

Des péripéties loufoques, des changements de lieux surprenants, des personnages hauts en couleurs, on est emportés avec Épiphanie dans cette histoire virevoltante. Dans cet ouvrage savoureux, la petite fille, qui a peur de tout, apprend à ne pas se laisser submerger par sa peur, à l'affronter, à vivre avec et à la contrôler. Une très jolie quête initiatique.

La symbolique est importante, même les illustrations sont de la partie avec les cheveux dressés sur la tête. Les métaphores sont légion, de même que les jeux de mots. J'ai adoré le travail sur la langue, et les expressions exquises. Les références sont nombreuses dans cette bande dessinée, dont l'univers m'a, entre autres, fait penser à Alice aux pays des merveilles.

Les illustrations sont merveilleuses, oniriques. J'aime beaucoup les jeux sur la taille des images, les cadres, passant de grandes doubles pages à de petites cases. Des dessins très doux, aux couleurs marquées, avec une opposition entre le noir, l'ombre et la couleur.

En bref, une splendide lecture, que je ne peux que vous recommander !
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Vous aimez les univers absurdes, poétiques et inquiétants à la Lewis Caroll ? Vous allez être servis ! Entre les dialogues inventifs et l'univers incroyablement riche imaginés par Séverine Gauthier et les dessins sublimes et surprenants de Clément Lefèvre, les deux albums de la série sont un délice ! On accompagne Epiphanie dans ses questionnements, qui parleront aux enfants mais aussi aux adultes, car nos épouvantables peurs nous accompagnent toujours un peu. C'est un vrai coup de coeur.