L'art du trompe-l'oeil

J'écris cette critique à chaud, je viens juste de refermer ce livre. J'ai vraiment adoré, j'ai ressenti beaucoup de choses et ça c'est génial et c'est ce que j'attend de mes lectures ! Merci aux autrices. C'était beau, c'était fluide et agréable ET vraiment difficile de lâcher car on veut la suite! Y a une petite choses qui ne m'a pas plus c'est le nombre de fois où les trompes l'oeil sont évoqués, j'aurais aimé un peu plus de subtilité et que ça apparaisse qu'à la fin pour nous délivrer l'explication du titre. Malheureusement on nous taxe tout le long avec cette idée et on à peut avoir l'impression que les autrices ne croient pas assez en nous pour deviner ^^ ‘ pour autant tout le reste est vraiment bien, ALLEZ Y !

J'ai adoré ma lecture. Dès le début on est mis directement dans le bain, dès le prologue et ensuite on refait un saut en arrière qui va nous permettre de tout comprendre, y compris le prologue... nous faisons la connaissance de Carmen, une influenceuse qui rentre dans tous les préjugés connus sur les influenceuses et qui fait croire qu'elle a une vie de rêve mais on voit vite que ce n'est pas du tout le cas... elle va alors rencontrer Jin, un artiste marginal qui va changer sa vie malgré quelques difficultés...
Ce livre traite de sujet très grave comme les TCA, le cyber-harcèlement, les relations toxiques et bien d'autres... le décor des Beaux-Arts qu'on voit rarement dans les livres est un plus. L'un des derniers chapitres a été très dur à lire pour moi et j'ai beaucoup pleuré mais la relation entre Carmen et Jin étaient incroyable et la fin était extrêmement touchante...
Ce livre m'a hanté encore quelques jours après la fin de la lecture, à tous ceux qui ont l'intention de lire ce livre faites très attention au trigger warning, ce livre s'adresse à un public averti.

Je ne conseille pas de lire ce livre avant d'avoir 18 ans.

Je reviens vous parler de "L'art du trompe-l'oeil" d'Océane Ghanem et Jenn Guerrieri publié chez les éditions Plumes du web.

J'ai adoré ce livre !

Certes, au début j'avais du mal avec le personnage de Carmen. Autant dire que je ne la portais pas dans mon coeur, mais il ne faut pas s'arrêter à la première vision que nous donne les autrices sur ce personnage.

Car oui, Carmen est un personnage bien mystérieux qui cache ses nombreuses fêlures d'une drôle de manière. Quant à Jin, il n'est pas tout beau tout rose non plus, toutefois son personnage n'a pas le même caractère ni la même superficialité que Carmen.

Les autrices nous plongent dans l'univers de l'art et entre les mots, les chapitres : l'art du trompe-l'oeil.

Ici, il faut savoir lire, savoir comprendre entre les lignes pour ne pas se faire avoir.

Tout ceci cache quelque chose dans la vie de Carmen : le cyberharcèlement dont elle est victime sur les réseaux. le thème est donc fort, et montre l'envers du décor : un monde terrible qui fait plus de mal qu'autre chose.

Toutefois, il n'y a pas que ce thème abordé, d'autres tout aussi important mais qui font partis des Trigger Warning.

En lisant ce livre, mon coeur n'a pas su résister. de plus, les plumes mélangées de Jenn et d'Océane ont fait un savant mélange de réalisme, de fantasmes perdus ou presque, d'amour. Peu de mots peuvent décrire une lecture épique qui a si facilement déchiré mon coeur.

bouleversant,
vrai,
crève-coeur.

je pourrais m'arrêter là, ce livre est à la fois bien plus et pourtant peut se résumer en ces trois mots, c'est un coup de coeur absolu qui clôture comme il se doit mon mois de février.

j'ai mis beaucoup de temps à rentrer dans ma lecture, j'ai même hésité à le laisser de côté. avec la fatigue de ce dernier mois et le rythme de mes journées, les plumes d'Océane et Jenn m'épuisaient (pourtant j'en suis raide dingue). mais j'ai continué eeeet… j'ai bien fait.

l'histoire est originale : elle se déroule aux Beaux-Arts à Paris, et j'ai adoré plonger dans l'univers artistique qui est pourtant quelque chose qui ne m'émeut pas habituellement. les filles avec leurs jolis mots m'ont intriguée et m'ont donné envie de m'intéresser à la peinture, la sculpture et tous ces arts auxquels je ne connais rien.

Jin est sincère, candide, mais brutal. il ne mâche pas ses mots, tout sort tel quel, sans filtre, à l'inverse de Carmen. Carmen est superficielle, mais surtout profondément malheureuse, tout ce qu'elle laisse transparaître n'est que mensonge et au fond, elle meurt à petit feu. tout semble les opposer et pourtant… pourtant leur romance est l'une des plus belles que j'ai lu. ensemble, ils se soignent, ils sont thérapeutiques l'un pour l'autre et en dépit de leurs traumatismes, ils deviennent meilleurs l'un avec l'autre.

j'ai commencé ce roman en n'aimant pas Jin que je trouvais trop sombre, trop cliché, mais finalement je suis tombée sous son charme et une chose est sure : malgré son traumatisme, il est lumineux. il sauve Carmen d'elle-même, il est attentionné avec Lys, il est doux en dépit de son caractère de cochon.

j'ai versé de véritables larmes au moment fatidique. l'épuisement de Carmen se ressent et on veut l'aider. ses maux qui l'ont bercée tout au long du récit m'ont parlé plus que de raison, j'ai reconnu certains de mes vices en elle et l'exorcisation de ces tares à travers son personnage m'a permis d'y voir plus clair en moi.

ce livre n'est pas uniquement du divertissement. c'est aussi une véritable introspection sur des blessures que l'on tait, des fêlures que l'on cache et pour cela, merci Océane et Jenn. merci de dire tout haut ce que certains n'osent pas exprimer : cyberharcèlement, TCA, première fois, mutilation, emprise psychologique, suicide, tout y passe, tout y est dépeint de la pire des façons et pourtant… pourtant, l'amour triomphe toujours.

et la plume… la plume !!! ai-je besoin d'en dire plus ? j'aime les phrases alambiquées et dégoulinantes de détails et d'émotions, j'ai été servie. on ne sait même pas qui écrit quoi tant les styles de Jenn et d'Océane se mêlent à la perfection.

j'ai mis du temps à replonger dans un livre après celui-ci. je pensais que rien ne pourrait à nouveau me faire ressentir de telles émotions. je n'ai pas trouvé pour l'instant, même si j'ai repris ma lecture. pour toutes les âmes qui veulent y voir plus clair, ce livre est pour vous.

5/5
Je viens à peine de refermer le livre, je viens à peine de quitter cette histoire qui m'a bouleversée et qui m'offre un énorme coup de coeur !
Je crois que je n'ai pas les mots pour décrire ces pages. L'histoire est violente, elle fait mal. Elle est brutal, douloureuse et si belle de l'autre côté. Deux mondes qui s'entrechoquent. Mon coeur s'est brisé pour Carmen, pour Jin, je tournais les pages à une vitesse folle, rendant mes yeux brûlant tant j'avais envie de savoir le dénouement, de savoir si cet amour était réel, si ils le vivraient bel et bien.
Jin a fait fondre mon coeur avec sa réinterprétation des expressions.
Carmen a tout mon amour pour la femme qu'elle est, une femme tellement forte.
L'art du trompe-l'oeil à fait vaciller mon coeur et je l'en remercie.

Dès que cette sortie a été annoncée par les éditions plumes du web j'ai été tentée. Même si je pensais que c'était de la dark romance alors que ça n'en est absolument pas une. Il y a par contre une longue liste de Trigger Warning (TW). Pour ma part, j'ai adoré cette lecture aussi intense que poignante qu'il m'a été difficile de lâcher.

Le ton est donné dès les premières pages avec une scène particulièrement violente et dure qui laisse présager une histoire éprouvante et toxique. Sauf que la relation malsaine n'est pas forcément celle qu'on attend…parce que ce n'est absolument pas une dark romance mais plutôt un drame psychologique. L'ambiance est sombre, suffocante mais enivrante. Elle transpire par tous les pores la toxicité, la malaisance et la dangerosité. C'est dans ce climat dérangeant et pernicieux que vont évoluer les deux personnages principaux, Jin et Carmen, profondément torturés tous les deux. Et le moins que l'on puisse dire c'est que leurs psychologies sont décortiquées et analysées au mieux par les autrices afin de nous toucher en plein coeur. Derrière leurs carapaces respectives se cache une grande vulnérabilité que j'ai pris plaisir à découvrir. Mais c'est le personnage de Jin qui est le plus surprenant, je ne m'attendais pas à une telle sensibilité, sincérité et pureté. Il est tout en nuances et cache bien des facettes, tandis que Carmen est plus déchiffrable et habituelle. Mais bien que son rôle de victime est plus traditionnel, elle n'est pas pour autant relayée au second plan. C'est même la pièce maitresse de l'intrigue : la muse, le trompe l'oeil… Parce qu'elle cultive son image au point de s'en oublier elle-même, au point de ne pas montrer la vraie Carmen. Sa détresse n'est qu'un appel au secours que personne ne semble entendre.

Avec ce roman, les autrices abordent des thèmes très sensibles comme le cyber-harcèlement, la dépression, l'emprise… Autant de sujets qui heurtent, font réagir et qui ne conviendront pas à tout le monde. C'est une lecture difficile et éprouvante qui nous fait réfléchir, qui nous pousse dans nos retranchements. L'histoire de Carmen et Jin nous passionne à l'image de leur amour dévorant pour l'art. Dire que les émotions nous submergent est un euphémisme, c'est un roman qui se vit littéralement. Je l'ai trouvé par moment très poétique et on oublie très facilement que c'est un livre à quatre mains tant les deux styles se marient bien.

Ce n'est pas un coup de coeur mais on s'en approche quand même très fortement. C'est en tout cas une histoire marquante et puissante qui me hantera longtemps !

Magistral !
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Je referme ce roman le coeur gros. Je me suis prise une véritable claque et je crois que je ne m'en suis pas encore relevé. Je ne m'attendais absolument pas à ça. J'ai été bluffé par la profondeur des personnages et leurs histoires. Jin déjà, par sa personnalité qui de prime abord ne parait pas commode, un peu trop sûr de lui et assez imbu de lui-même quant à son art, est un fait un être totalement exceptionnel et certainement le plus pur de tous les bookboyfriend que j'ai connu. Puis, il y a Carmen, dépeinte en premier lieu comme quelqu'un de superficiel, de hautaine alors qu'elle est juste perdue et enfermée dans son monde qui pu le fake à plein nez à subir. Elle subit tellement et sans jamais craquer. du moins personnes ne la voit. Sauf lui, sauf Jin, et il est bien décidé à percer à jour sa carapace et surtout les murailles qu'elle a dressées. Si j'ai eu du mal au départ, par sa façon d'être, son comportement plus que problématique et sa façon de se croire supérieure, en réalité, elle n'est absolument pas cette personne. Elle s'est juste laissée bouffer, laisser aveugler par l'amour. Et finalement, je l'aime d'amour cette si jolie jeune femme qui ne demande juste qu'à être aimé et qu'on lui laisse vivre sa passion qu'est l'art.

Alors bien sur beaucoup, mais alors beaucoup de chose m'en déranger dans ce roman, et je sais que c'est le but d'ailleurs. Et en toute honnêteté, je l'ai détesté ce roman au début, mais je l'ai détesté autant que je l'ai aimé. Mais rassurez vous, l'art du trompe-l'oeil est pour moi un coup de coeur, un coup à l'âme, devrais je dire.

Ce roman est un concentré de bouleversement, tant par le thème qui me tient au coeur, que par les personnages et leurs cassures, ou encore comment les auteures s'en sont prises pour trouver des mots si tranchants, si époustouflant. Je ne cache pas que mon petit coeur s'est fissuré à plusieurs reprises, que j'ai retenu ma respiration un nombre incalculable de fois et que j'avais en tête une tout autre fin et dieu merci ! Ce n'est pas le cas.

Accessoirement, je m'appelle Jin. Rengaine ces flingues qui te servent d'yeux, ce n'est pas de cette façon que t'auras ma peau.

Les auteures nous montre toute la faiblesse des gens, leur débilité et leur méchanceté. Ce qu'on est capable de faire pour être au-devant de la scène, la manière dont on détruit quelqu'un sous couvert que c'est sur internet et qu'on est derrière un écran. Mais ce que les auteures nous livre, c'est tellement réel dans la vie de tous les jours. Les gens trouvent ça fun de détruite quelqu'un sur les réseaux, de rigoler quand on se fait humilier dans la rue ou en cours alors que c'est juste nul. Et ça me fout en pétard comme pas possible. Et le but dans tout ça ? espéré être repéré par ses pseudos influenceur ? se sentir mieux, car notre enfin leur vie est si minable qu'ils n'ont rien d'autre à faire ? ils veulent rajouter du piment dans leur petite vie bien ranger.

Mais une chose est sûre, c'est qu'on devrait avoir plus de Jin dans nos vies. Moi, je suis tombée amoureuse de ce jeune homme qui sous ses aires de jeune homme froid cache une blessure qui n'arrive pas à se refermer. J'ai pleuré pour lui, pour sa simplicité et son émotivité. Si je devais le décrire avec un seul mot, je dirais en premier, ce serait douceur. Car il est doux, certes, il ne cache pas ses mots quand il a quelque chose sur le coeur et ses paroles sont aussi incisif que les crocs d'un serpent, mais le mec est doux. J'ai adoré sa manière de remanier les expressions. À chaque fois, je riais un peu plus. Mais surtout, j'ai aimé sa sincérité et surtout quand Jin aime quelqu'un, il ferait tout pour elle. Il n'y a qu'à voir sa relation avec Lys, mais davantage la relation qu'il construit avec Carmen tout au long de l'histoire.

Et Carmen, ah, mais si belle Carmen, tellement de fois, tu t'es fait rabaisser par celui que tu aimais. Tellement de fois, tu t'es cru inférieure aux autres, tellement de fois, on t'a fait croire que tu n'avais aucun talent, tellement de fois, on t'a moqué et poussé à bout. Combien sont des Carmen autour de nous, combien de jeune femme (et jeune homme) ont des fêlures et subissent jours après jours brimade et harcèlement. C'est impressionnant comment mon coeur saigne encore pour elle, comment plusieurs fois, je me suis entraperçu en elle. Elle sait qu'elle a commis des actes moches, qu'elle a eu des paroles plus que déplacer qui aurait pu avoir de lourdes conséquences. Mais ce que j'ai apprécié chez elle c'est la manière dont elle fait tout pour se racheter. Il n'y a qu'à voir avec Lys, je l'ai trouvé très touchante à ce moment-là. le nombre de fois où j'ai eu envie de la prendre dans mes bras et lui dire ne t'inquiète pas, maintenant ça va aller, tu n'es plus seule, tu as toutes les lectrices bienveillantes avec toi qui es là pour que tu ailles bien. Lâche-toi des réseaux, part loin de Cisco. Cette verrue que j'ai détestée tout au long du roman. Manipulateur, vicieux, lâche… j'ai tout un tas de noms pour le caractériser.

J'ai déjà lu des romans d'Océane, mais jamais de Jenn, mais le duo de plume ici est exceptionnel, et j'espère qu'elles réitèrent l'exercice et nous ressortirons un petit bijou. Mille mercis les filles, pour ce roman qui est fort par bien des thèmes et des mots. J'espère de tout coeur que ça pourra donner le déclic et peut-être même aider. Jin et Carmen ne sont pas près de quitter mon coeur
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Mon coup de coeur 2023 !
J'ai beaucoup aimé ce roman qui a eu beaucoup d'échos en moi. Carmen est une personne tourmentée qui affiche un magnifique visage aux yeux de tous mais qui ne saura pas garder ce masque devant Jin. Cet étudiant au style particulier et au passé quelque peu heurté à un fond de bienveillance hors du commun et qui voit au delà des façades.
L'histoire est magnifiquement bien écrite par ces deux autrices dont la plume est fluide et addictive. Dur dur de s'arrêter dans sa lecture tellement on est pris dans l'univers.
J'ai beaucoup aimé l'approche lié à différents problèmes qui peuvent être rencontrer par un grand nombre de personnes notamment en ce qui concerne le cyber-harcèlement.
Ce livre m'a vraiment touché et je le recommande vivement.
Attention aux TW.

6 ans déjà que je suis tombée amoureuse de la plume de Jenn et d'Océane. 6 ans, bientôt 7, à endurer les pires supplices de la part de ces deux génies du mal qui prennent clairement plaisir à faire souffrir leurs personnages et leurs lecteurs.

C'est donc tout naturellement que je suis tombée amoureuse de leur quatre-mains.

Leurs plumes, leurs personnages, leurs univers s'accordent à la perfection et nous offrent une plongée en apnée totale dans l'histoire déchirante, bouleversante, de Jin et Carmen. Jin… Jin, qui m'a brisé le coeur, Jin, presque trop honnête pour être vrai, Jin, aussi beau que furieux, Jin, aussi doux qu'un agneau et aussi mortel qu'un cobra… Et Carmen… Carmen, dont l'apparente superficialité n'est qu'un appel à l'aide, un cri du coeur dans le vide. Carmen, qui suinte tant le désespoir qu'on se demande comment personne n'a pu le remarquer. Carmen, dont j'admire le courage et la résilience. Carmen, persuadée de ne pas être assez, jamais. Carmen, qui ressemble tellement à son père, à ses oncles et à ses tantes que j'en ai eu la nausée.

Avec ce roman, Jenn et Océane nous offrent un bout d'elles-mêmes et font passer des messages forts sur les relations toxiques et le cyber-harcèlement. La descente aux enfers et la rédemption que marque leur relation sont narrées avec une justesse saisissante. Ce sont deux artistes écorchés vifs qui, ensemble, renaissent de leurs cendres, et qui nous consument au passage.

J'ai refermé L'art du Trompe-l'oeil un soir de décembre battue et abattue, les yeux gonflés, le coeur en miettes, le bout des doigts entaillés par la frénésie avec laquelle je tournais les pages. Cette histoire est finie, le volume est rangé dans ma bibliothèque avec les autres, Jin et Carmen se sont tus, sont redevenus deux noms figés sur le papier, leurs aventures se sont arrêtées à la dernière page, à la dernière phrase, au dernier point, et pourtant… pourtant ils hanteront mes nuits, mes rêves, ma vie, mon âme, parce que c'est là que les mots de Jenn et Océane les ont ancrés.
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