Un théâtre de la force et de la faiblesse, telle est l’œuvre dramatique d’Henry de Montherlant.
De « L’exil » (1914) à « La Guerre civile » (1965) en passant par « La Reine morte » et « La Ville dont le Prince est un enfant », Montherlant a, selon sa propre expression, « crié de hauts secrets qu’on ne peut dire qu’à voix basse ».