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3,66

sur 1535 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
ah la la... Parait qu'il fait un tabac ce bouquin-là... Ben moi je l'ai trouvé bien mal écrit, avec un style d'adolescent d'ailleurs c'est à ça qu'il m'a fait penser : une lecture d'ado, de celles que l'on aime quand on se construit, entre idéalisme et matérialisme, quand on se cherche, quand on est friand d'idées à ajouter à sa check-list ;-)

Sans rire, Sandro et les Indiens ne sont qu'un prétexte facile pour mettre en situation 2 façons de vivre diamétralement opposées, et pour ni vu ni connu, faire une critique acerbe de la société matérialiste dans laquelle nous vivons. Mais comme c'est lourdingue, et qu'en plus les "idées" manquent totalement de nouveauté, on s'ennuie du début à la fin, d'autant plus que l'histoire est cousue de fil blanc (il est évident que les Indiens, vu leur façon de vivre, n'ont en aucun cas tué la femme de Sandro, et il est évident aussi que Sandro va faire son deuil et retomber amoureux, d'Elianta bien sûr) et on sait d'avance ce qui va se passer.

sans surprise, donc...
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J'abandonne très exceptionnellement un livre. Mais ici je n'en pouvais plus avoir m'être obstiné jusqu'à la moitié. Livre “à message” les ficelles sont tellement grosses qu'on se demande quel est au juste le public cible. L'histoire n'est en rien plausible, ne serais-ce que le niveau de langage de cette tribu supposément complètement isolée. Et que dire de cette naïveté incroyable qui laisse place à une manipulation des plus grossière. le manichéisme radical ne laisse pas non plus place à aucune subtilité: les méchants Blancs contre les pauvres sauvages... Quant au message fleurs bleues “New Age”, je suis convaincu qu'il est beaucoup mieux colporté par des chantres plus inspirés et plus inspirants. Bref j'ai détesté, sans l'ombre d'un doute!
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Pour venger sa femme sacrifiée par des indiens d'Amazonie, Sandro décide de séjourner auprès de ce peuple au coeur de la forêt tropicale.
Pire que de tuer ces sauvages, il veut les rendre durablement malheureux et introduit dans leur tribu la marchandise, la propriété privée, l’'individualisme, la compétition … avec des résultats immédiats. Mais il n’'a pas prévu qu’'Elianta, le chaman de la tribu, allait lui résister.


J'ai adoré ses deux premiers romans, c'est donc avec impatience que j'ai commencé à lire celui-ci.
A travers son roman, L. Gounelle remet en cause notre société et notre mode de vie. Ce sujet est fort louable mais le scénario n'est pas très accrocheur.
Décevant !


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Le professeur de philosophie Sandro ne peut faire le deuil de son épouse sacrifiée par une tribu indienne vivant en autarcie dans la jungle amazonienne. Il s'adjoint les services d'une équipe de mercenaires pour revenir sur les lieux et se venger. Sur place, 2 mondes vont se côtoyer : les méchants, matérialistes, violents, intéressés essaient de gangrener l'univers paisible, naturel, spirituel de la tribu. Heureusement sa représentante, la chamane Elianta va intervenir pour sauver son peuple. La vérité va être dévoilée, les méchants punis, Sandro et Elianta tomber amoureux l'un de l'autre.
Lecture très facile, sans lien avec la réalité.








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bon sujet, mais traité de manière simpliste.
écriture peu recherchée, décevant...

voir commentaires très étayés de elianne 92 avec qui je suis en accord total;
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Que je n'aime pas être déçue par une lecture, en encore moins quand il s'agit d'un auteur dont j'ai aimé les autres livres. Autant j'ai lu avec plaisir "l'homme qui voulait être heureux et "Les dieux voyagent toujours incognito", autant ce dernier me laisse dépitée.
Je sais bien comment ces livres sont construits : amener le lecteur par la voie du roman à réfléchir sur soi et sur la vie, abordant les grandes thèmes de la psychologie du moment, du développement personnel, comme la PNL...
Dans celui-ci, c'est une étude de notre société de consommation et de ses travers qui sert de trame, mais la trame est trop grosse, un peu comme un livre de morale. Et comme souvent dans ce cas, l'histoire se traîne. Et je ne parle pas de la chute...
J'ai eu du mal à terminer cette lecture. La sauce n'a pas pris cette fois-ci.
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Sandro, philosophe, ne se remet pas de la mort de sa femme survenue en forêt amazonienne, il décide d'y aller pour se venger du peuple le plus heureux du monde, peuple qui lui a pris sa femme dans un sacrifice rituel.

Alors là, je suis scotchée, ce roman n'est pas du tout crédible (ex : le peuple le plus heureux du monde ferait des sacrifices ???!!!), l'histoire est téléphonée, les méchants sont caricaturalement méchants, le peuple d'Amazonie est niais sans être "sage", la fin est prévisible et les rebondissements aussi, l'écriture est banale.

Je l'avais depuis si longtemps ce livre, on m'avait tellement dit de bien de cet auteur.... Je suis hyper déçue ! Peut-être que je n'ai pas choisi le bon titre ???
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"Sandro pouvait humer le parfum naturel de ses cheveux, un parfum si sensuel qu'il anesthésia ses dernières résistances et le plongea dans le désir" Si vous aimez, allez-y, achetez...Vous en aurez des kilomètres et jusqu'à la dernière ligne:" les étoiles, complices,scintillaient tant qu'elles pouvaient" (j'insiste sur "tant qu'elles pouvaient"!)
Voici pour le style. L'intrigue sentimentale n'est pas mal non plus: c'est ce qu'on appelle un roman de gare, il en faut!
Alors que reprocher à l'auteur ? Pas grand chose: être mauvais en français n'est pas une tare majeure, faire vibrer le coeur des midinettes non plus;instiller dans ce galimatias une dose de violence perverse, il parait que ça fait du bien...soit! Mais se réclamer de Marc Aurèle et prétendre philosopher alors là nous sommes dans l'imposture!
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L'idée est intéressante et je me suis accrochée pour aller jusqu'à la dernière page espérant trouver de la magie. Mais ce n'est pas arrivé. J'ai traversé une juxtaposition de chapitres peu aboutis et sans relation entre eux, sans fil conducteur, sans construction de suspense. Une collection de clichés censés nous aider à prendre du recul sur ce qui contribue au bonheur, ou au malheur... Pas convaincue.
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QUELLE DECEPTION !
Puisque j'avais adoré les deux livres précédents de Gounelle. On se demande même s'il s'agit du même auteur tellement on a du mal à reconnaître l'écriture. L'histoire reste sur le même domaine, mais ici nous avons une philosophie de comptoir avec des bons sentiments. L'objectif, montrer que nous sommes dépendant de technologie inutile et qui nous empoisonne l'existence et l'âme. Déjà, on le sait tous et en plus c'est très mal dit. Aller chercher un peuple d'Amazonie qui vie en pleine forêt et sont tout le temps heureux et les rendre malheureux en leur changeant leur mode de vie, voilà le thème du livre. Dommage ! Une petite phrase du livre qui m'a hérissé les poils : "Si t'as pas un Woorara à cinquante ans, t'as raté ta vie..." reprendre la phrase de Séguela pour illustrer une une idée, il faut vraiment être en manque d'inspiration.Bref un roman à éviter.
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