ah la la... Parait qu'il fait un tabac ce bouquin-là... Ben moi je l'ai trouvé bien mal écrit, avec un style d'adolescent d'ailleurs c'est à ça qu'il m'a fait penser : une lecture d'ado, de celles que l'on aime quand on se construit, entre idéalisme et matérialisme, quand on se cherche, quand on est friand d'idées à ajouter à sa check-list ;-)
Sans rire, Sandro et les Indiens ne sont qu'un prétexte facile pour mettre en situation 2 façons de vivre diamétralement opposées, et pour ni vu ni connu, faire une critique acerbe de la société matérialiste dans laquelle nous vivons. Mais comme c'est lourdingue, et qu'en plus les "idées" manquent totalement de nouveauté, on s'ennuie du début à la fin, d'autant plus que l'histoire est cousue de fil blanc (il est évident que les Indiens, vu leur façon de vivre, n'ont en aucun cas tué la femme de Sandro, et il est évident aussi que Sandro va faire son deuil et retomber amoureux, d'Elianta bien sûr) et on sait d'avance ce qui va se passer.
sans surprise, donc...
Commenter  J’apprécie         501
J'abandonne très exceptionnellement un livre. Mais ici je n'en pouvais plus avoir m'être obstiné jusqu'à la moitié. Livre “à message” les ficelles sont tellement grosses qu'on se demande quel est au juste le public cible. L'histoire n'est en rien plausible, ne serais-ce que le niveau de langage de cette tribu supposément complètement isolée. Et que dire de cette naïveté incroyable qui laisse place à une manipulation des plus grossière. le manichéisme radical ne laisse pas non plus place à aucune subtilité: les méchants Blancs contre les pauvres sauvages... Quant au message fleurs bleues “New Age”, je suis convaincu qu'il est beaucoup mieux colporté par des chantres plus inspirés et plus inspirants. Bref j'ai détesté, sans l'ombre d'un doute!
Commenter  J’apprécie         70
Pour venger sa femme sacrifiée par des indiens d'Amazonie, Sandro décide de séjourner auprès de ce peuple au coeur de la forêt tropicale.
Pire que de tuer ces sauvages, il veut les rendre durablement malheureux et introduit dans leur tribu la marchandise, la propriété privée, l'individualisme, la compétition … avec des résultats immédiats. Mais il n'a pas prévu qu'Elianta, le chaman de la tribu, allait lui résister.
J'ai adoré ses deux premiers romans, c'est donc avec impatience que j'ai commencé à lire celui-ci.
A travers son roman, L. Gounelle remet en cause notre société et notre mode de vie. Ce sujet est fort louable mais le scénario n'est pas très accrocheur.
Décevant !
Commenter  J’apprécie         60
Le professeur de philosophie Sandro ne peut faire le deuil de son épouse sacrifiée par une tribu indienne vivant en autarcie dans la jungle amazonienne. Il s'adjoint les services d'une équipe de mercenaires pour revenir sur les lieux et se venger. Sur place, 2 mondes vont se côtoyer : les méchants, matérialistes, violents, intéressés essaient de gangrener l'univers paisible, naturel, spirituel de la tribu. Heureusement sa représentante, la chamane Elianta va intervenir pour sauver son peuple. La vérité va être dévoilée, les méchants punis, Sandro et Elianta tomber amoureux l'un de l'autre.
Lecture très facile, sans lien avec la réalité.
Commenter  J’apprécie         40
bon sujet, mais traité de manière simpliste.
écriture peu recherchée, décevant...
voir commentaires très étayés de elianne 92 avec qui je suis en accord total;
Commenter  J’apprécie         21
Sandro, philosophe, ne se remet pas de la mort de sa femme survenue en forêt amazonienne, il décide d'y aller pour se venger du peuple le plus heureux du monde, peuple qui lui a pris sa femme dans un sacrifice rituel.
Alors là, je suis scotchée, ce roman n'est pas du tout crédible (ex : le peuple le plus heureux du monde ferait des sacrifices ???!!!), l'histoire est téléphonée, les méchants sont caricaturalement méchants, le peuple d'Amazonie est niais sans être "sage", la fin est prévisible et les rebondissements aussi, l'écriture est banale.
Je l'avais depuis si longtemps ce livre, on m'avait tellement dit de bien de cet auteur.... Je suis hyper déçue ! Peut-être que je n'ai pas choisi le bon titre ???
Commenter  J’apprécie         11
L'idée est intéressante et je me suis accrochée pour aller jusqu'à la dernière page espérant trouver de la magie. Mais ce n'est pas arrivé. J'ai traversé une juxtaposition de chapitres peu aboutis et sans relation entre eux, sans fil conducteur, sans construction de suspense. Une collection de clichés censés nous aider à prendre du recul sur ce qui contribue au bonheur, ou au malheur... Pas convaincue.
Commenter  J’apprécie         00
QUELLE DECEPTION !
Puisque j'avais adoré les deux livres précédents de Gounelle. On se demande même s'il s'agit du même auteur tellement on a du mal à reconnaître l'écriture. L'histoire reste sur le même domaine, mais ici nous avons une philosophie de comptoir avec des bons sentiments. L'objectif, montrer que nous sommes dépendant de technologie inutile et qui nous empoisonne l'existence et l'âme. Déjà, on le sait tous et en plus c'est très mal dit. Aller chercher un peuple d'Amazonie qui vie en pleine forêt et sont tout le temps heureux et les rendre malheureux en leur changeant leur mode de vie, voilà le thème du livre. Dommage ! Une petite phrase du livre qui m'a hérissé les poils : "Si t'as pas un Woorara à cinquante ans, t'as raté ta vie..." reprendre la phrase de Séguela pour illustrer une une idée, il faut vraiment être en manque d'inspiration.Bref un roman à éviter.
Commenter  J’apprécie         00