Le Concile de Pierre

Il s'agit du premier livre de Grangé où je ressort mitigé de la lecture et pourtant ça partait bien.

L'histoire présente une femme hors norme alors qu'elle va adopter un jeu vietnamien. Elle parcourt son trajet rapidement pour ne pas manquer son travail puis reprends mais peu après les évènements vont se précipiter contre elle.

Bon, si l'on excepte le fait qu'elle se dépêche d'aller chercher son enfant adopté alors qu'il n'y a aucune raison ( et quand on lit la suite on se dit que le travail n'est pas vraiment une raison ), ça commence bien. L'intrigue est bien menée et ses rebondissements peu prévisibles. L'auteur écrit bien et de ce côté là on n'a pas de mal à lire le livre.
Et puis ça commence à devenir brouillon. le récit prends plusieurs directions. Un coup c'est de la science fiction et puis non et puis c'est un complot. Problème, plus on suit de pistes et plus on s'enfonce dans l'illogisme. Passé la moitié j'ai eu du mal à me raccrocher à l'histoire. Les théories sont plus farfelues les unes que les autres et rien ne vient réellement les étayer.
En fait je pense que le gros point noir de ce roman est là. Ce n'est pas de savoir si c'est vrai ou pas, j'aime bien la littérature imaginaire et ce n'est pas un regard qui me semble pertinent. le problème c'est que ça n'est pas crédible. Pour qu'une histoire fonctionne, il faut qu'elle soit crédible. Si l'on n'y croit pas et que l'histoire n'est pas réaliste alors il y a un soucis à la lecture et c'est clairement le cas ici.

Et je vous fais grâce de la fin. Si jusqu'ici le récit restait mesuré, on est totalement achevé par le grotesque de la fin. D'ailleurs c'est en arrivant à la fin que je me suis rappelé du métier de l'héroïne, au moment où celui-ci revêt un intérêt dans le récit ( intérêt limité en fait mais bon vu que sa. formation en art martiaux ne sert que très peu, on est plus à ça près ).

Bref, ça aurait pu être un bon roman si ça ne partait pas dans tout les sens et que le récit perdait en cohérence au fur et à mesure. Là, c'est moyen. le roman se lit bien ( Jean Christophe Grangé écrit bien et ses descriptions sont vraiment excellentes ) mais on est trop souvent ramené au stade de lecteur pour prendre possession de l'histoire.

Suite à une terrible agression lors de son adolescence Diane est une jeune femme meurtrie. Décidant de ne plus jamais être une victime elle s'entraîne au combat. Si elle n'a plus peur elle demeure malgré tout incapable d'établir le moindre contact physique avec autrui. Ce qui va rendre son envie de maternité compliquée! Son unique option : l'adoption. Elle va chercher au bout du monde un petit Lucien sans se douter une seule seconde des bouleversements qui vont en découler !
Je n'ai malheureusement pas été très intéressée par ce petit thriller. J'ai trouvé que l'intrigue était longue à se mettre en place, les thèmes ne m'ont pas emballée plus que ça et je le posais bcp pour scroller ou papoter ce qui n'est pas très bon signe 😅 peut-être a-t-il simplement mal vieilli ou juste n'était-il pas fait pour moi !

Vous l'avez lu ??? Un grangé à me conseiller pour ne pas rester sur un point négatif ?

TROP IS TE VEEL
Au départ, cela semble crédible. Une dame française qui adopte un gamin asiatique et qui malheureusement a un accident de voiture.
Jusque là, tout va bien, c'est après que Jean-Cri a pété une durite.
Il nous monte une de ces machinations qui n'est crédible à aucun moment. le suspense rebondit tout le temps rendant de moins en moins crédible le roman.
Bien entendu, je ne vous fait pas le résumé. Il y a une 4ème de couverture et des dizaines de commentaires babeliotes pour ça.

Le non crédible atteint son apothéose quand elle crie "Maman?. Avec des pointes de superbe au moment du lapin magique éponge à radiations, sans oublier la transformation en ours. du plus bel effet.

Jean-Cri, voyons.... hein, bon !

Maintenant ça se lit facilement, ce n'est pas au point de fermer la chose après quelques pages, mais ce n'est pas son meilleur, loin de là.

une fois n'est pas coutume, ce livre est le premier Grangé qui m'ait déçu. et oui, cela arrive.
Le scénario ici n'a pas fonctionné. Les explications qui tendent vers le fantastique pour résoudre les meurtres et le mystère nous emmènent sur un territoire où on s'attend pas arriver... et pour le coup, avec moi ça a moins bien marché.
Malgré une excellente atmosphère et un page-turner qui fonctionne toujours aussi bien, je ne peux le noter plus haut.

J'avais lu la quasi totalité des romans de JC Grangé, mais il me manquait celui-ci. C'est donc chose faite, et je suis un peu déçu. Certes, on ne s'embarque pas dans du Grangé pour lire du rationnel pur jus ou du cartésien, mais tout de même ! Je trouve qu'il pousse le bouchon un peu loin sur ce coup là. C'est carrément invraisemblable dès la fin du premier tiers du roman. Ces histoires de chamans sont un tantinet déroutantes. Reste que c'est du Grangé, que c'est bien écrit, bien amené, et qu'on a toujours envie de connaître la fin. Pas son meilleur livre en tout cas. Je ne le relirai pas.

Bien sur c'est bien écrit, le style est parfait mais quelle purge. Une mère adoptive qui se sort de tout par miracles et qui joue d'une chance inimaginable. le coté mystique est trop, la fin tellement abracadabrantesque on y croit pas une seconde. Il faut au minimum pouvoir se projeter dans un héros ou dans une histoire, mais là rien. Je n'ai pas adhéré dommage.

En bref, un thriller à l'évolution surprenante dans lequel la patte de Grangé est bien présente.
L'auteur n'a plus rien à prouver, son style est efficace et malgré quelques défauts que je lui reproche à chaque lecture, notamment une certaine propension à la surenchère dans l'action et quelques erreurs dans les explications scientifiques, ses romans sont généralement palpitants à lire.
Publié en 2000, l'intrigue du roman s'inscrit dans le quotidien de la fin des années 90, mais n'est pas trop daté, même aujourd'hui. La technologie et l'actualité ne sont pas les points majeurs du récit donc ce décalage passe assez inaperçu.
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J'ai des livres de Mathusalem dans ma bibliothèque, c'est écrit en francs derrière. Nul ne se souvient où j'avais récupéré ce livre, il était tellement moche que je ne l'avait pas lu. Méfait réparé mais ce fut une déception. S'agissant d'un des premiers romans de Grangé, ceci explique peut être cela.
Quelque chose ne colle pas dans ce récit, trop long, trop de descriptions inutiles, c'est lent, pénible, et linéaire. A cela s'ajoute une fausse complexité inutile et gratuite de l'intrigue et le plan abracabrandesque des méchants de l'histoire, dont les motivations de leurs actes restent flous et nous laissent dubitatifs. On a le sentiment que c'est du gore pour le spectacle. Sans parler du comportement cliché et stupide qui veut que l'héroïne du livre se lance en solo dans une enquête au lieu de parler avec les flics. (j'en peux plus de cette technique qu'on voit à tout bout de champ dans les livres et les séries).
Dommage car les thèmes abordés sont très intéressants mais ils ne sont pas assez approfondis et s'éparpillent, ce qui a pour conséquence qu'on n'y croit pas : les pouvoirs psys (vous savez comme les X-Men qui bougent les cuillers par la force de l'esprit), les laboratoires secrets de recherches sur la biokinesie en URSS/Mongolie, le chamanisme, l'hypnose, l'acupuncture.
En même temps, c'est un thriller qui date, près de 20 ans !).

*** Sans grandes prétentions ***



J'ai découvert Jean-Christophe Grangé avec son roman Miserere que j'avais beaucoup aimé, et du coup, comme dans ma Pal traînait le Concile de Pierre, je pensais enchaîner le coup de coeur .... Eh bien non, et de loin pas !

Je n'ai pas accroché à l'histoire en elle-même, et, Diane, personnage principal est agaçante.

Pourtant la toute première partie avait bien commencée : l'adoption du petit garçon qui deviendra le centre de toute l'histoire, le terrible accident, la guérison miraculeuse ...
C'est ensuite, que tout est devenu long et monotone.
Je suis complètement sortie de l'aventure au fur et à mesure que les pages se tournaient et pourtant je ne suis jamais contre la belle part de fantaisie irréelle dans les romans.

Jean-Christophe Grangé n'a pas su me capter aux confins de la Taïga Mongolienne et j'avoue avoir eu beaucoup de mal a finir le livre.

Ce livre m'a été prêté par quelqu'un pour qui ce polar est un de ses favoris.

Je ne m'attendais pas à ce genre d'histoire car le moins que l'on puisse dire c'est qu'il ne ressemble pas aux thrillers que je lis habituellement.

Je l'ai trouvé étrange mais ce n'est pas pour cela que je n'ai pas aimé. La lecture est facile est agréable, et le suspens est présent une fois qu'on accepte la part "extra-ordinaire" du livre.