La morale de cette histoire est qu'on oublie les choses qui sont vraiment arrivées. Le souvenir les remplace.
L'avenir efface tout – aucun niveau de célébrité ou de génie ne permet de transcender l'oubli. L'infinité de l'avenir rend impossible de compter pour quelque chose.
Conclusion, tout le monde compte - peut-être moins que beaucoup, mais toujours plus que pas du tout.
"Whatever, I like you, and I never really like anybody. Hassan likes you, and I can tell that he never really likes anybody, either. You just need more people who don't like people."
"si l'avenir dure toujours, il finira par nous avaler, tous."
Partout, l'homme s'en prend à la nature et au destin, alors que ce sont son caractère, ses passions, ses erreurs et ses faiblesses qui font son destin.
Les gens qu'on aime bien sont ceux devant lesquels on pense tout haut.
Colin avait toujours eu une préférence pour les bains, il avait pour principe dans la vie de ne rien faire debout qu'il ne puisse faire allongé.
-Tu ne fais que penser : si-ça-se-trouve-ils-ne-m'aiment-plus-si-ça-se-trouve-ils-ne-m'aiment-plus. Et tu sais quoi? Quand tu te comportes comme ça, personne t'aime.
«Partout, l'homme s'en prend à la nature et au destin, alors que ce sont son caractère, ses passions, ses erreurs, et ses faiblesses qui font son destin.» -Démocrite