Si on ne dit pas honnêtement les choses, cette vérité finit par s’éteindre d’elle même.
c'est à peu près aussi réconfortant qu'un film où on verrait hitler en train de rouler des pelles à sa meuf sur un petit nuage rose. ça rejoint exactement ce que j'appelle la loi de la fiente d'oiseau. vous savez, quand on vous explique que ça porte bonheur de se faire chier dessus par un piaf ? et le pire, c'est que les gens y croient !
on flashe sur quelqu'un qui ne vous aimera jamais en retour car c'est lus facile de survivre à une déception platonique qu'à une vraie rupture
L'amour est chaque fois un petit miracle, partout, à tout moment.
Dieu bénisse les stabilisateurs chimiques d'humeur. Les humeurs naissent et demeurent libres et égales en droit.
Je suis la déclaration des droits de l'humeur et du citoyen à moi tout seul.
[...] je ne peux m'empêcher de penser que cette expression, "avoir une vie", est un truc de crétin. Comme si la vie était un objet qu'on pouvait "avoir" ou acheter dans un magasin. Emballé dans une jolie boîte scintillante avec une fenêtre en plastique à travers laquelle il suffirait de regarder pour avoir un aperçu de la nouvelle vie qu'on pourrait avoir et se dire : "waouh, j'ai l'ai tellement plus heureux - c'est la nouvelle vie qu'il me faut !" [...]
il est à la fois mon unique source de bonheur et le seul avec lequel j'ai envie de le partager.
Tâche de tomber amoureux d'un type qui sait que j'adore prend une apostrophe
"Personne n'a envie d'être celui qui explique à un môme que le père noël n'existe pas. Pourtant, quand on le fait, on passe pour un monstre."
je dis toujours ciao. jamais "au revoir" ou "à plus". je ne supporte pas l'idée que quand on s'en va, on doive déjà penser au retour. que quand on quitte quelqu'un, on doive déjà lui promettre qu'on va revenir. je ne me projette jamais aussi loin dans l'avenir.