La perspective de devenir riche peut changer la vision de l'avenir.
Les guerres nous accompagneront aussi longtemps que des hommes ignorants et cupides essayeront d'imposer leur volonté à d'autres.
Avant, Coley leur faisait porter la combinaison orange pendant le procès. Lucien Wilbanks a fait réformer un verdict de culpabilité au motif que le jury était prédisposé à condamner son client parce que sa combinaison lui donnait l'air coupable. Il avait raison.
Mais, à vingt-trois ans, on est sans peur : celui qui n'a rien n'a rien à perdre.
Premier roman que je lis de John Grisham et du coup certainement pas le dernier. J'ai beaucoup aimé le style d'écriture avec de nombreuses descriptions, on ressent bien l'atmosphère de l'époque. Par contre il faut noter un gros bémol : sur un livre qui fait 467 pages, la quatrième de couverture nous révèle un fait des plus importants qui pourtant n'arrive qu'à la page 383 ! C'est bien dommage car normalement ce résumé est là pour nous mettre l'eau à la bouche...
« Des paroles dures et amères sont la marque d’une cause fragile. »
Apres neuf ans, contre toute attente, le meurtrier est libéré sur parole.
In Mississippi, family money was not to be confused with wealth. It had nothing to do with cash or other assets. Family money was status, obtained by someone who was white, somewhat educated beyond high school, born in a large home with a front porch [...] and partially reared by a beloved black maid named Bessie or Pearl, partially reared by doting grandparents who once owned the ancestors of Bessie or Pearl, and lectured from birth on the stringent social graces of a privileged people.
« La question était délicate dans une société où, depuis des décennies, on n’insistait guère sur l’éducation. En 1970, il n’y avait encore dans le Mississippi ni écoles maternelles publiques ni scolarité obligatoire. » (p.92)