Sans la télé

Le narrateur, Guillaume, raconte son enfance à travers le fait que sa mère ne voulait pas qu'il y ait la télévision à la maison et qu'en lui faisant découvrir le cinéma, elle lui a ouvert une porte vers un autre monde. Les épisodes de l'enfance et l'adolescence de ce garçon sont marqués par une succession de films célèbres, certains contemporains de son âge, d'autres de ciné-club.

Ce roman autobiographique nous montre l'évolution d'un enfant puis d'un adolescent des années 80. Cet enfant n'a pas la télévision et se réfugie alors dans le cinéma. L'auteur nous montre son évolution, la façon dont il vit dans sa cité, dans cette société dans laquelle il ne se sent pas vraiment bien mais qu'il observe quand même.

Ce roman est bien écrit, il se lit très vite, c'est un roman pour adolescents, mais je ne pense pas que les adolescents d'aujourd'hui peuvent s'y retrouver. En effet, l'auteur fait sans cesse des allusions aux films qu'il a vus. Pour ma part, je m'y suis bien retrouvée dans son roman, mais sans doute parce que je dois avoir le même âge que l'auteur ...

Sans la télé est livre de Guillaume Guéraud cest un enfant qui aller a l'école et il entend cest amis parler des dessin animé et il demande a ça mère si il pouvait avoir une télé et ça mère refuse parce que elle veut pas que son fils devienne accro au écran



jason

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Guillaume Guéraud a écrit plusieurs romans avant celui-là. Ces derniers succès littéraires sont Oméga et l'Ourse publié en 2008, et Couscous clan publié en 2004. Guillaume Guéraud a remporté un prix qui s'appelle "Fnac des jeunes lecteurs" en 2006.
Au collège, tous les camarades de Guillaume ont la télévision mais pas lui à cause de sa mère et de son oncle qui jurent que "la télé est un poison qui rend con". Il est le seul de son école et de son quartier à ne pas connaître "Goldorak" et "Dallas".
Le personnage principal est donc Guillaume Guéraud à l'âge de 10 ans. Il est grand et mince, il est aussi intelligent. L'histoire se passe dans les années 80 à Bordeaux. L’élément perturbateur était son entrée au collège et la découverte que contrairement à ses camarades il n'avait pas la télé. Ce livre est une autobiographie. Il m'a plu parce que j'ai bien aimé l'histoire, il est animé et il fait réfléchir. Je recommande ce livre à ceux qui aiment les aventures.

Guillaume Guéraud, l'auteur de ce roman autobiographique paru dans la collection doAdo des Editions du Rouergue. retrace son enfance et sa jeunesse en se focalisant sur un point remarquable de son quotidien : sa mère ne veut pas de télévisions chez elle. Et c'est l'absence (plus ou moins apparente) de l'objet et de son univers qui conduit le jeune Guillaume dans les salles obscures de cinéma. Ainsi chaque chapitre de ce roman associé à une ou plusieurs oeuvres cinématographiques révèle petit à petit les états d'âme de l'auteur et montre comment il grandit d'un petit écran toujours absent vers de bien plus grands, tous porteurs d'émotions. J'ai beaucoup aimé ce roman qui sort des sentiers battus et qui procure au lecteur une palette quasi-infinie d'émotions : de l'enthousiasme puéril à la dure amertume des premières déceptions. On y trouve, par ailleurs, un regard acerbe sur la vie en banlieue et sur la ghettoïsation de certains quartiers. Mais dans ce cas précis, les aficionados de Guillaume Guéraud ne seront pas surpris ; le fonds du propos est proche d'un autre roman de ce même auteur : Cité nique le ciel !

Une interrogation cependant : les "classements éditoriaux" entre littérature dite "adulte" ou dite "jeunesse" me laissent perplexe. "Sans la télé" mérite certes bien d'être lu par des adolescents mais je me demande si la multitude de références cinématographiques pourtant toutes justifiées, n'est pas un frein à la compréhension de l'ensemble pour un lecteur non initié.
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J'ai rencontré l'auteur à l'occasion du Salon du Livre de Chaumont, et j'ai pu obtenir une dédicace de ce livre. Il faut savoir, que je regarde très rarement la télévision car je n'en vois pas trop l'intérêt, et que quand j'allume la télé c'est pour regarder les dessins animés... Pourtant, la façon de l'auteur d'être sans télé à l'époque, était vraiment difficile : Tous ses camarades chantaient Goldorak ou Tom Sawyer, et lui, et bien il n'y avait rien. Alors, un jour, il découvre le cinéma, et là, dans tous les chapitres il harmonise ses histoires, sa vie, son enfance surtout, au gré des films qu'il va voir. Il nous parle du premier film qui l'a fait pleuré, des films qu'il va voir avec ses petites amies, etc... C'est plus une autobiographie cinématographique qu'autre chose, et moi qui ne suis pas si cinéphile que ça, sur tous les films dont il parle, j'ai du en voir un ou deux, et c'est tout. Mais c'était sympa, l'écriture était ce que j'appelle magique, elle transporte, et fait ressentir un certains nombres de sentiments. C'est court, c'est joli, et j'aurais bien aimé en avoir plus, c'est d'ailleurs comme beaucoup de livres son défaut : C'est trop court, et on aurait aimé en savoir un peu plus. En avoir plus. A la fin, il y a la liste des films cités dans le livre, avec une bonne raison de les voir, et j'ai apprécié ce côté là. Mais je doute regarder la plupart de ces films... Un livre qui fait sourire, et j'aime beaucoup.

très bon livre grace au quel j'ai découvert les classique du cinéma.

Autobio originale avec alternance de souvenir autour du manque de télé, de la vie sociale et du cinéma et de bout de dialogues ou de synopsis de film.