Étage 46

SP numérique reçu via @netgalleyfrance, merci à @loiseaunoir_editions pour son envoi.
Ces huis-clos se déroule dans une tour de la Défense.
Fin de semaine et fin de carrière pour Philippe qui part à la retraite, c'est l'occasion de lui organiser le traditionnel pot de départ !
Fin du pot, Patrick, son collègue part avec Ambre. Arrivés sur le parvis, Patrick reçoit un message de Philippe qui lui demande de le rejoindre au 45eme étage pour l'aider à finir de ranger. Il prend l'ascenseur mais celui-ci s'arrête. Il pense à une mauvaise blague de Philippe, mais la blague va vite tourner au cauchemar. Est-ce vraiment Philippe ? Pour quelle raison se retrouve t-il pris en otage dans cet ascenseur ?
La 1ère partie est angoissante et stressante, car on s'imagine à la place de Patrick à ne pas savoir qui est au commande de cette mauvaise blague.
Mais j'ai moins adhéré à la 2ème, à partir du moment où il va au 46ème, l'étage technique qui n'est accessible qu'à ceux qui ont la clé. Des rebondissements un peu trop à la Jason Statham ou Bruce Willis qui paraissent peu vraisemblables.
Par contre, j'ai beaucoup aimé l'écriture de Christian Guillerme, totalement immersive et précise. Les chapitres courts donnent un très bon rythme à notre lecture.
Le plus de ce livre, c'est qu'on le lit jusqu'à la fin en apnée !
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Je vais commencer par dire, si vous êtes claustrophobe passez votre chemin MAIS vous risquez de rater une pépite littéraire !

Comme vous l'aurez compris j'ai adoré ce roman que j'ai lu quasi d'une traite. Il était inenvisageable pour moi d'aller dormir sans sortir de ce huis-clos et sans connaitre le dénouement 😅

Ce huis-clos vous emmène dans une ambiance angoissante, oppressante, anxiogène qui ne vous laissera aucun répit jusqu'au mot fin.

Je n'y ait trouvé aucune longueur, ce qui était ma crainte dans ce huis-clos très restreint mais il n'en est rien, le suspense, l'intrigue tout est pensé avec minutie pour que les pages défilent sans lourdeur, bravo !

J'ai adoré la psychologie des personnages. L'auteur aime vous retourner le cerveau et j'adore ça.

Bref, c'est bien les escaliers, c'est bon pour la santé 🤣🤣🤣

Je ne connaissais pas cet auteur mais j'espère qu'il a d'autres romans sous le coude !
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Lectrice occasionnelle. Me suis laissé tenté par la couverture (très jolie) et des recommandation d'ami(e)s.
Je ne le regrette pas, très bon moment de lecture et final....explosif ! Pas un prix Goncourt, mais fait vraiment le boulot ! A recommander.

Une vraie découverte pour moi. le premier de cet auteur que je ne connaissais pas. Intrigue originale (un ascenseur), peu de personnages (normal, c'est un huis-clos) et beaucoup d'action. C'est très visuel, les chapitres s'enchainent, c'est prenant. Je ne suis pas un spécialiste es thriller, mais je voulais vraiment partager cette lecture.

Patrick, le « bon gars » qui travaille dans la haute tour de la Défense n'a pas d'ennemi. Il est bourré d'humour et il anime bien les journées avec ses collèges
Collègues, dont l'un, Philippe, est en passe de s'en aller pour une retraite bien méritée, fêtée par un grand pot de départ
Mais là, tout dérape. Voilà Patrick enfermé, seul, dans cet ascenseur... Mais quelle mauvaise blague...
Blague qui vire bien vite au cauchemar
Dès les premières lignes, nous voilà happés dans cet univers d'angoisse. Impossible de lâcher cet ouvrage, on en oublie l'heure !
La plume est maniée avec grande dextérité par l'auteur.
Facile à lire, l'univers ne nous laisse pas une seule seconde de répit avec cette pointe d'originalité du « pourquoi ? »... « Pourquoi cela arrive-t-il à Patrick ? » en comparaison des « qui ?» de la plupart des romans du genre
J'ai énormément apprécié cet ouvrage et merci aux éditions de me l'avoir confié pour un avis personnel

Et comme dirait Christian Guillerme « Le point zéro d'une vie n'est pas toujours une date de naissance. »
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Bonjour,
Mon retour sur Etage 46 de Christian Guillerme qui sort ce vendredi.
Comme d'habitude, il est toujours très difficile de faire un retour sur un roman sur lequel j'ai eu la chance de travailler.
Patrick, cadre supérieur à la Défense, est aimé de tous jusqu'à ce soir là où il se retrouve coincé dans un ascenseur de la tour dans laquelle il travaille. Commence alors pour lui les pires heures de son existence.
Christian aime et maitrise les huis clos et il nous le montre encore cette fois. Il offre ici son meilleur roman. Autant vous dire qu'il m'en a couté de lui dire cela, moi qui suis et reste fan de la Corde de Mi. Il aurait été malhonnête de dire le contraire vu le travail de titan qu'il a abattu sur cet excellent thriller. Dans étage 46, Christian a su garder tout ce qui fait la force de sa plume cinématographique et éliminer tous ses défauts d'écriture.
Grace à son réel talent (il va râler mais je m'en fiche, il sait que je le pense depuis 2017) pour décrire les lieux, les situations et donner vie à des personnages attachants, Christian immerge ses lecteurs dans cette histoire d'ascenseur mais surtout de traque.
Comme à son habitude, il a su créer des gentils vraiment sympas mais aussi un méchant qui ne laisse pas indifférent mis en scène avec une vraie volonté de marquer les esprits.
Il y a eu Gade et son verre de Whisky dans la corde de Mi, ce bout de papier qui s'envole dans l'épilogue de Urbex Sed Lex, cette poubelle au détour d'une ruelle sombre dans Transaction. Autant de scène aux prétendus détails insigifiants qui font toute la différence dans un thriller. Christian récidive ici avec une scène où je vous garantis vous ne regarderez plus un crayon à papier comme avant…je vous laisse découvrir…
Tout est réuni pour vous offrir un moment de lecture en apnée totale. Si vous sentez l'angoisse vous envahir c'est normal. L'auteur a tout donné pour que vous vous imaginiez coincé dans cet ascenseur et dans cette tour.
Il s'en est passé des choses dans l'ombre sur la conception de ce roman. Il y en a eu des discussions, des lectures, des versions, des petites prises de becs aussi et des divergences d'opinion.
Mon petit ego, qui ne transparait pas très souvent, sautille de satisfaction d'avoir suggéré cette maison d ‘édition à Christian qui, pour une fois, m'a écouté sans trop de mal.
Alors prenez votre ticket pour suivre Patrick jusqu'à cet énigmatique étage 46. Je vous promets que vous ne le regretterez pas.