Étage 46

Quel plaisir de retrouver Christian et sa plume affûtée. Qui de mieux placé que lui pour imaginer une histoire pareille : on est dans une tour de la Défense où tous les jours des milliers de personnes utilisent les ascenseurs pour se rendre à leur poste de travail.

Tout commence par un pot de départ au 45ème étage pour le départ en retraite bien mérité de Philippe. À cette occasion Patrick son collègue et ami a préparé quelques blagues dont il a le secret. Il est d'ailleurs réputé pour cela au sein de l'entreprise.
Mais alors qu'il s'apprête à quitter l'immeuble pour rentrer chez lui , le voici coincé dans un des ascenseurs. La supposée blague va très vite tourner au cauchemar alors Patrick comprend qu'il a été piégé par quelqu'un qui ne lui veut pas du bien.Pas facile en effet de sortir d'un ascenseur quand celui-ci est piloté à distance par un homme qui vous voue une haine tenace. Pas sûr que tout ça finisse bien, croyez-moi..

Christian Guillerme nous a concocté un huit-clos au suspense insoutenable. Après la surprise de cette situation incongrue, les événements vont effectivement s'accélérer de manière insoupçonnée pour Patrick et d'autres protagonistes que je vous laisse découvrir par vous-même. On va par la même occasion découvrir des espaces inconnus, pourtant pièces essentielles du fonctionnement d'une tour de bureaux comptant plusieurs dizaines d'étages.
Pour ma part j'ai avalé en quelques heures ce livre que l'on a du mal à lâcher tant le récit et ses nombreux rebondissements vous captivent du début jusqu'à la fin.
Quant au final , il est vertigineux.

Voici mon retour de lecture sur Étage 46 de Christian Guillerme.
Patrick n'a pas d'ennemis.
Patrick est apprécié de ses collègues.
Patrick est même celui dont l'humour est légendaire.
Pourtant, Patrick est coincé dans un ascenseur, pris au piège de quatre murs de tôle dans l'immeuble de son entreprise.
Alors Patrick croit d'abord à une mauvaise blague.
Mais quand ni lui ni son geôlier ne semblent plus vraiment avoir le coeur à la plaisanterie, il ne lui reste qu'une option : s'évader au risque de se laisser dévorer par ce monstre d'acier.
Dans cet immeuble affichant 45 niveaux, la clé de sa survie pourrait bien se trouver à l'étage 46..
Étage 46 est un thriller machiavélique qui joue sur une peur que je possède : celle des ascenseurs. Autant vous dire que lire ce roman à peine un mois avant mon départ pour Tokyo, où les ascenseurs pullulent, ce n'est pas la meilleure des idées que j'ai eu lol
Un pot de départ est organisé au quarante-cinquième étage d'un immeuble, Philippe part en retraite.
Parmi le petit monde présent ce soir là, il y a Patrick, le marrant qui adore faire des blagues.
Patrick qui n'en loupe pas une..
Patrick qui, sans savoir pourquoi, se retrouve enfermé dans la cage d'un des ascenseur !
Tout le monde est partit, il est tard, et lui est bloqué avec l'agent de sécurité et un psychopathe, qui eux sont dans le PC sécurité.
Une mauvaise blague, au départ ; mais une mauvaise blague qui dégénère..
Le pauvre Patrick ne comprend pas un seul instant ce qui lui arrive. Et très vite, tout s'accélère..
Étage 46 est un bon thriller qui joue sur nos peurs les plus profondes : être enfermé dans un ascenseur, la peur du vie, la peur de l'enfermement..
C'est un roman bien ficelé, avec énormément de rebondissements.
Il y a quelques scènes violentes et j'ai parfois été un peu mal à l'aise. En partie car j'ai quand même sacrément peur d'être un jour coincé dans un ascenseur, à la merci d'un psychopathe. Ce n'est pas avec ce roman que ma peur va se calmer lol
Toutefois, j'ai apprécié ma lecture dans l'ensemble et le note quatre étoiles.

"Étage 46" est un thriller psychologique angoissant, conté avec un style captivant et cinématographique à vous donner le vertige !

Dès la première ligne, vous ne pourrez que vous laisser happer totalement par ce huis-clos oppressant... à vos risques et périls !
Après avoir lu la dernière page, vous ne mettrez plus jamais les pieds dans un ascenseur en repensant à cette histoire machiavélique qui va vous rendre ascensumophobe !

Patrick n'a pas d'ennemis.
Patrick est apprécié de ses collègues.
Patrick est même celui dont l'humour est légendaire.
Pourtant, Patrick est coincé dans un ascenseur, pris au piège de quatre murs de tôle dans l'immeuble de son entreprise.

Alors Patrick croit d'abord à une mauvaise blague. Mais, quand ni lui, ni son geôlier, ne semblent plus vraiment avoir le coeur à la plaisanterie, il ne lui reste qu'une option : s'évader au risque de se laisser dévorer par ce monstre d'acier.

Dans cet immeuble affichant 45 niveaux, la clé de sa survie pourrait bien se trouver à l'étage 46…

Je remercie @LoiseauNoir et @NetGalleyFrance de m'avoir permis de découvrir ce thriller très prenant.

J'ai trouvé l'atmosphère anxiogène de ce huis-clos très efficace, en particulier dans la première partie de ce thriller psychologique terrifiant qui dépasse nos pires cauchemars. Si vous avez déjà été coincé dans un ascenseur, vous revivrez vos craintes les plus profondes, comme si vous étiez en apnée, car l'imagination du lecteur est mise à rude épreuve, surtout s'il est victime de claustrophobie.

Grâce à Patrick, le protagoniste pris en otage par ce monstre d'acier dans une Tour de la Défense où il travaille, le temps est suspendu lors d'une soirée, après le pot de départ d'un collègue. Les plaisanteries les plus courtes sont toujours les meilleures, mais celle-ci s'éternise dangereusement...

L'angoisse est aisément perceptible et le rythme va crescendo au fil des pages : on ressent son isolement, son affolement, son désespoir, son impuissance, mais aussi sa détermination et sa lutte pour se sortir de ce piège mortel pour survivre dans la seconde partie.

Le suspense est omniprésent jusqu'au dénouement plutôt vertigineux, même si j'ai trouvé que l'épilogue était un peu trop abrupt et tombait un peu à plat par rapport au début exaltant.

Pot de départ au 45ème étage pour fêter le départ en retraite de Philippe après plusieurs années de bons et loyaux services. Près de lui, Patrick, son collègue mais surtout ami, car au fil des années, il s'est tissé une solide et sincère amitié entre les deux hommes. L'humour de Patrick y a sûrement été pour quelque chose étant donné que ce dernier a pour habitude de faire rire ses collègues et parfois même à leur demande.

Après la soirée, alors que tout le monde (ou presque) est parti, Patrick se retrouve dans l'ascenseur qui soudain se bloque. C'est alors qu'il entend une voix et qu'elle annonce bien autre chose qu'une aide d'urgence. Serait-il l'arroseur arrosé ? Celui dont on se venge après une blague mal perçue ? Ou bien est-ce une manière de marquer le coup après cette soirée particulière ?

Claustrophobes, passez votre chemin ! Quand on se retrouvé coincé dans un ascenseur la veille d'un week-end, cela n'augure rien de bon et ce qui va suivre va nous le confirmer. Tension qui augmente, questions qui fourmillent dans la tête et si peu de réponses…

Malgré un rythme haletant qui rend la lecture attractive, j'ai parfois trouvé que certains détails apportés à l'histoire étaient invraisemblables ou en tout cas, peu probables. Et puis, j'ai deviné assez tôt un des points de l'histoire, ce qui rend le reste moins surprenant. Pourtant, je ne suis pas toujours très réactive quand il s'agit de découvrir qui est le « méchant ». Mais ce n'est qu'un avis purement personnel, cela n'enlève rien à cette idée originale qui a su être glaçante. Je ne verrai plus les ascenseurs de la même manière. Et surtout, je me demanderai à l'avenir si je peux vraiment rire avec tout le monde.

Ce livre des éditions l'oiseau noir m'a tout de suite interpelé par son sujet : un huis-clos dans un ascenseur…l'angoisse ! J'avais déjà lu Urbex Sed Lex de l'auteur Christian Guillerme et de souvenir la tension était maîtrisée.

Patrick assiste au pot de départ d'un de ses collègues et amis Philippe. En fin de soirée, il se retrouve coincé dans l'ascenseur de son entreprise sans possibilité de s'en extirper. Blague, vengeance…quelle peut bien être la raison de cette séquestration ?

L'idée est excellente. Pour avoir déjà été bloquée dans un ascenseur (et ramper pour sortir car la cabine était bloquée entre deux étages), je sais que la situation se suffit à elle-même pour nous angoisser. Mais dans le cas de Patrick, l'enfermement est volontaire et même si initialement il envisage une blague de mauvais goût, le questionnement ajoute à son stress.
L'atmosphère est anxiogène à souhait et la tension grimpe !
A un moment, j'ai craint que cela ne devienne ennuyant…366 pages dans cinq mètres carrés…mais l'auteur apporte suffisamment d'éléments nouveaux pour que notre attention reste en alerte.
Malheureusement, car il y a un bémol, j'ai trouvé la fin trop extravagante. de huis-clos l'histoire vire au film hollywoodien.

A vous de vous faire votre avis, mais quoi qu'on en pense, ce roman restera vertigineux !

" Vous ne mettrez plus jamais les pieds dans un ascenseur.
Patrick n'a pas d'ennemis.
Patrick est apprécié de ses collègues.
Patrick est même un boute-en-train.
Pourtant Patrick est coincé dans un ascenseur, pris au piège de quatre murs de taule dans l'immeuble de son entreprise. "

J'ai beaucoup aimé ce thriller psychologique, l'histoire est captivante et terriblement anxiogène, surtout pour les claustrophobes comme moi 😅.
Nous suivons le périple de Patrick qui se retrouve otage de cet ascenseur et de cette tour sans vraiment en comprendre les raisons. Qui est derrière tout ça et pourquoi ? Une blague qui a mal tourné ? Une vengeance personnelle ?
Le suspense est à son comble, aucun temps mort et tout comme Patrick nous cherchons à savoir le fin mot de cette histoire.
Étant fan de cinéma et notamment du film Piège de cristal, j'y ai retrouvé cette ambiance et des références.

Merci au site @netgalleyfrance qui m'a permis de lire ce thriller en avant première et @loiseaunoir_editions pour cette belle découverte.
Lien : https://www.instagram.com/p/..

Patrick, le boute-en-train à son boulot, assiste au pot de départ à la retraite de son collègue, et c'est entre autres avec une blague un peu potache qu'il fête son départ. Mais ce collègue va vouloir marquer le coup en lui retournant une de ses blagues. Et ça va mal tourner.

Voici donc Patrick qui se retrouve bloqué dans l'ascenseur du bâtiment où il travaille, un grand bâtiment de 45 étages. Enfin, du moins, c'est ce qu'il pensait. Bien sûr, son téléphone ne capte pas et la communication avec le PC sécurité est aléatoire. Il comprend que c'est bien son collègue qui lui fait une blague au départ. Seulement, la voix est comme trafiquée, et il se met à douter sur le but réel de cet enfermement.

Très vite, Patrick panique et se pose des questions. Il essaie de trouver une stratégie pour tenter de raisonner son contact mais la situation empire… jusqu'à ce qu'il puisse enfin sortir de cet ascenseur. Mais le calvaire ne va se terminer aussi facilement.

Se retrouver bloquer à son boulot, en pleine nuit, sans lumière, c'est déjà le genre de situation que l'on veut tous éviter. Mais quand cela s'ajoute au fait que son collègue de toujours semble être en réalité un tout autre homme, il y a de quoi passer un très mauvais moment. L'auteur maîtrise la montée en tension dans ce roman : on suit pas à pas les tentatives de Patrick pour s'en sortir, on est dans le noir autant qu'il l'est lui. Il redécouvre les bureaux pour essayer de s'échapper.

Il y a de quoi devenir paranoïaque avec cette lecture. Je pensais le devenir à un certain moment, mais l'auteur nous laisse une marge à nous lecteurs, pour comprendre suffisamment à l'avance certaines choses que Patrick ne décelait pas. le lecteur ne peut que tourner les pages encore plus rapidement pour lire enfin les pages où Patrick allait ouvrir les yeux.
Même si certaines explications sont un peu tirées par les cheveux, cela se pardonne facilement pour les besoins de l'intrigue. On finit le roman quasiment en apnée jusqu'à la toute dernière ligne.

En bref, ce fut une bonne lecture divertissante, pleine de suspense, de tension et de paranoïa. Je recommande !

Je remercie Netgalley et les éditions L'oiseau noir pour cette lecture.
#Étage46 #NetGalleyFrance

Je découvre l'auteur avec ce huis clos qu'on pourrait qualifier de vertigineux du fait qui se déroule dans une tour de la défense à plus de 200 m du sol.

Christian nous offre un décor captivant comme si nous étions plongés dans un film grâce à son style très cinématographique. 

On va suivre Patrick, salarié apprécié de ses collègues qui va se retrouver seul piéger à l'intérieur d'un ascenseur dans l'immeuble où il travaille. 

Mauvaise blague ou est-il la cible d'un esprit dérangé ?

L'auteur arrive à nous faire suffoquer comme si nous étions nous même prisonniers dans ce monstre d'acier et de verre.

 On récent parfaitement toute la tension qui s'accumule lorsque Patrick se retrouve capturé dans cet espace confiné. Les interrogations se font légion alors que le danger ne cesse de monter en flèche rendant l'atmosphère de plus en plus oppressante. Ce qui apporte une dimension encore plus vertigineuse au récit.

J'ai tout de même ressenti quelques longueurs par moment mais n'empêche en rien d'être un roman pleinement efficace.

 A la croisée entre "Piège de cristal"et "2 ème sous-sol" ce roman risque de donner quelques sueurs froides aux claustrophobes et acrophobes.

Merci aux éditions l'oiseau noir pour cette découverte.

Qui va oser pénétrer dans l'ascenseur à ses risques et périls ?

Tout d'abord je remercie les éditions L'oiseau noir et le site Netgalley pour m'avoir permis de lire ce thriller.

J'étais déjà familière de cet auteur pour avoir lu Transaction et Urbex Sed Lex que j'avais beaucoup aimé. Je savais donc à quel style m'attendre et que je n'allais pas être déçu. Effectivement cela n'a pas été le cas.

Notre histoire est en apparence simple. Lors du pot de départ à la retraite de Philippe, Patrick, le blagueur de la boite, se retrouve coincé dans un ascenseur. Histoire qui peut arriver à tout le monde (moi-même suis resté bloqué dans un ascenseur à mon travail une fois). Mais voilà que "l'homme de la sécurité" commence à parler de façon bizarre. Et si tout cela n'était pas le fruit du hasard. Tout de suite on sent les frissons qui commencent à monter. 

Ce thriller en huis clos est très bien mené. On pense parfois que l'auteur va se contenter de mettre de l'action et bam des rebondissements. Très peu de personnages mais suffisamment pour créer une ambiance oppressante. Si ma note n'est pas plus élevé c'est parce que je n'ai pas spécialement réussi à m'attacher au personnage de Patrick. Et ne pas avoir d'affect pour le héros c'est quand même embêtant. 

Petit conseil : une fois votre lecture terminé, relisez le prologue. On le découvre avec un regard neuf qui ajoute une autre dimension.

Pour conclure,

Un bon thriller qui nous tient en haleine. A éviter si vous avez peur des ascenseurs. Frissons garantis. 
Lien : https://l-entre-deux-mondes...

Christian Guillerme nous plante rapidement le décor, nous présentant les principaux personnages et en mettant vite son héros en difficulté. Passée la question de savoir qui est le coupable, vient celle du pourquoi. Et c'est bien celle-là qui m'a tenue en éveil pendant toute cette lecture. L'immersion est efficace et la tension est palpable. Malheureusement, j'ai parfois eu du mal à vraiment y croire. Et cela m'a sorti de l'histoire.

J'ai eu du mal à croire que la personne retenant Patrick aille jusqu'à ses extrémités et prépare un plan d'une telle envergure. Comme j'ai eu du mal à croire que l'on puisse cacher l'étage entier d'un immeuble à tous ceux qui y travaillent. Pourtant, l'intrigue est bien tenue avec des moments de tension et d'action satisfaisants. Malheureusement, je n'y ai pas totalement trouvé mon compte.
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