AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,49

sur 59 notes
Quelle drôle de manière d'écrire. Je m'attendais à un roman fantasy. Mais j'ai trouvé que le style me faisait plus penser à un conte. Au sens propre: j'avais vraiment l'impression que le texte avait été écrit pour être conté à l'oral. Ce n'est pas du tout déplaisant, bien au contraire.

Nous suivons donc un jeune garçon qui a un don à double facette. le pauvre va être fortement malmené par cette particularité et connaître de tristes abandons et être promené comme une bête de foire, littéralement.

J'ai beaucoup aimé ce roman. C'est parfois pas très subtil pour certains messages, mais c'est un livre jeunesse. Néanmoins c'est très bien écrit, avec un vocabulaire choisi et pourtant facile à lire. Une heureuse surprise et je continuerai avec plaisir le tome suivant. (ce que je fais rarement pour les livres jeunesse: je lis souvent le premier tome pour me faire une idée avant de le donner à lire à mes jeunes ou pour en parler après quand je me suis faite distancer)

Commenter  J’apprécie          80
J'ai eu du mal à entrer dans la lecture de ce roman, peut être parce que je ne suis pas sensible à cet univers entre magie, monstre, cirque, bête humaine...
Je le trouve difficile à lire ; je le conseillerai aux très bons lecteurs car l'écriture n'est pas simple, elle est riche, le vocabulaire est châtié.
Commenter  J’apprécie          10
Ce récit nous plonge dans le 1er tome d'une trilogie où l'on découvre l'enfance de Jakob, un fils de meuniers né avec un don étrange: il est invulnérable aux blessures qui lui sont infligées et prend celles de ses proches. Rejeté par ses parents, il trouve refuge dans un cirque où il va devenir l'attraction principale. Un conte noir fantastique cruel illustré par le très bon Tom Tirabosco.
Commenter  J’apprécie          00
Jakob Traum est le fils chéri d'un couple meunier, dans une contrée médiévale. Hélas, Jakob a un pouvoir à double face qui les mène à leur ruine. Invulnérable par lui-même, il prend sur lui les blessures des gens qu'il aime. Ses parents, craignant le pire pour lui, repoussent l'enfant adoré.
Forcé de rejoindre un cirque ambulant, le jeune garçon déboussolé se retrouve au centre de l'attention pas toujours bienveillante d'une multitude d'adultes : le meneur du cirque, la troupe, les factions politiques qui préparent la guerre, une ombre inquiétante…

Illustré en noir et blanc, ce conte fantastique et cruel crée une ambiance sombre & prenante. S'il m'a fallu du temps pour m'habituer au style très détaché et au registre châtié (un peu inattendu), j'ai fini par m'attacher à Jacob et par me laisser emporter dans ses aventures.

Un 1er tome solide donc, qui plaira aux ados comme aux adultes.
Commenter  J’apprécie          30
Bien que je ne connaissais pas du tout ce livre ou cet auteur, j'ai accepté avec plaisir la proposition, sans grandes attentes. Et comme mes attentes, ma lecture a été assez moyenne.

Tout d'abord, il faut saluer le travail effectué sur l'univers. le lecteur est rapidement immergé dans un monde médiéval, que l'auteur à adapté au lectorat, ce qui le rend très réaliste. de plus , la correspondance historique est vraiment bien faite, on est le travail de recherche effectué, probablement très complet. En revanche, bien que les descriptions soient très présentes dans le roman, le lecteur n'a pas vraiment d'explication quand au seul élément qui sort de l'ordinaire, à savoir le pouvoir du personnages principal. Ce pouvoir reste globalement dans l'ombre de l'histoire, ce qui est peut être un peu dommageable. Les descriptions ont également tendance à alourdir un peu l'histoire puisqu'elles semblent redondantes avec les illustrations qui se trouvent dans le roman (assez qualitatives et qui donnent un peu d'air et une dimension assez sympa)

L'intrigue de l'histoire quant à elle n'est pas du tout mise en valeur : elle n'est pas tellement annoncée ni de façon claire, ni cachée. le lecteur ne sait pas du tout où il va, et cet élément peut peut être le perdre et lui faire décrocher la lecture (bon ce n'était pas mon cas, mais j'ai parfois du relire certains passages)Les actions de leur coté » s'enchaînent avec les scènes pour les rendre dynamiques. D'un autre coté, ils apportent peu au récit et ne le dynamise que très ponctuellement. En revanche, ce que j'ai plutôt bien aimé, c'est que les petits objectifs personnels de certains personnages ne sont divulgués qu'une fois accomplis, ce qui peut être un peu dommageable.

En parlant des personnages, j'ai été déçue parce qu'à mon sens ils ne sont que peu mis en avant. Les différents caractères sont très peu développés puisqu'on ne connait presque uniquement celui de Jakob. Mais cette connaissance nous permet de nous attacher à lui et de développer un lien d'empathie avec cet adolescent. le lien d'empathie que loin crée est aussi mis en valeur par les relations, ou plutôt leur absence justifiée parfaitement dans l'histoire qui l'utilise. Malgré leur absence, certaines se mettent en place uniquement pour mettre en valeur le personnage principal.

Pour finir, la plume de l'auteur nous permet de mettre en place une atmosphère qui est parfaitement maitrisée. Elle apporte également une belle dimension au récit, ce qui le rend plus profond et plus interessant. Les messages sont presque absents du roman, ce qui est un peu dommageable car aurait pu apporter quelque chose au récit.

Bref, un roman bon mais long avec une histoire un peu trop prenante
Lien : https://lecturesdunedevoreus..
Commenter  J’apprécie          00
J'ai reçu ce roman dans le cadre d'une masse critique Babelio, en partenariat avec la maison d'édition La joie de lire.

J'ai d'abord été séduite par la couverture, soft et classe.
Puis ensuite par cette histoire de jeune garçon différent, doté d'un don/malédiction assez original.

Je me suis attachée à Jakob dès les 1ères pages, petit garçon qui fait la fierté de ses parents, qui attendaient un enfant depuis longtemps, jusqu'au moment où, après deux accidents qui auraient dû être mortels, ils vont découvrir qu'il est un attrape malheur. C'est-à-dire qu'il est invulnérable.
Le revers de la médaille : si un de ses proches est malade, il « absorbe » cette maladie et souffre à la place de celui qu'il aime… donc son point faible, c'est son coeur.
Les parents vont alors tout faire pour le protéger, jusqu'aux pires extrêmes. J'ai trouvé ces passages très durs et magnifiques à la fois. le jeune garçon ne va pas forcément comprendre ce qui se passe.
Jakob va ensuite partir sur les routes avec des forains, qui vont faire de lui la star de leur troupe de cirque ambulant (ce qui va aussi attiser les convoitises et les jalousies). Une troupe qui fera office de nouvelle famille, avec des personnages variés et originaux, sous la direction de Barnoves ! le jeune homme va devenir la poule aux oeufs d'Or.
Au détour d'une forteresse, Jakob trouvera peut être l'amour auprès d'une jeune princesse.
J'avoue avoir préféré la 1ère partie au moulin familial, l'enfance insouciante de Jakob.

La plume est agréable mais exigeante (un peu trop par moment), avec énormément de jeux de mots, une certaine poésie et où rien n'est laissé au hasard. Même le titre a une signification bien précise.
Les chapitres sont courts, ce qui devrait donner du rythme mais je trouve que par moment c'est un peu long (il s'agit d'une trilogie, le tome 1 doit poser le cadre et les personnages).
Un univers riche, avec tout un monde créé, des coutumes, des pays… je situe l'histoire dans un passé un peu moyenâgeux ou médiéval.
J'ai adoré le questionnaire d'entrée à Loursac ("avez-vous déjà éprouvé un sentiment de fraternité à l'égard d'une laitue?").
Comme les grands classiques des contes, certaines scènes sont très cruelles, pour pousser à l'apprentissage le jeune héros (faut-il connaître le malheur pour ensuite profiter du bonheur ?).

Les illustrations viennent compléter à merveille le texte. Elles sont intégrées de façon aléatoire, pour illustrer des moments clés de l'histoire. Je suis surprise de l'utilisation du noir, qui donne un aspect triste aux images (étrange pour un jeunesse). Personnellement j'aime beaucoup ce style, mais il peut peut être heurter les plus jeunes.
J'aurai aimé une carte au début, en illustration pour mieux saisir le Royaume.

Roman jeunesse, mais plutôt pour des grands ado, les sujets abordés peuvent pousser à la réflexion, avec un aspect psychologie.
Un 1er tome intéressant pour ce conte fantastique plutôt sombre, avec un héros original et sensible, malgré quelques longueurs. J'espère un peu plus d'action dans le tome suivant.
Lien : https://sawisa.wixsite.com/y..
Commenter  J’apprécie          50
J'ai eu beaucoup de mal à rentrer dans ce roman.
Il est indéniable que l'auteur a fait un vrai travail d'écriture, il faut lui reconnaître cela, mais cela m'a quelque peu perturbé au début.

L'histoire en elle-même fait penser à un conte, noir, mais un conte tout de même.
Jakob, le jeune personnage principal est un attrape-malheur, cela signifie qu'il ne souffre pas quand on le blesse et est guéri tout de suite. Mais en contrepartie, il absorbe toutes les blessures et maladies de ceux qu'il aime (un peu comme une éponge) et là par contre il souffre.

L'histoire est intéressante, l'auteur tient là quelque chose, mais tout est très sombre. le jeune attrape-malheur se retrouve sans amour, en proie à la violence des autres, et toujours suivi par un cavalier noir enigmatique.

Le décor est bien planté, nous verrons donc bien ce qui se passera dans l'épais tome 2.

Je suis malgré tout un peu dubitative, même si je ne sais pas dire exactement pourquoi. Je crois que c'est la violence gratuite qui m'a un peu bloquée, voir tous ces gens donner des coups de couteaux à l'attrape-malheur.... (même s'il ne sent rien, quand même).

Dernier point : j'ai adoré les illustrations (faites au fusain ?) qui étaient parfaitement en harmonie avec l'univers du roman.
Commenter  J’apprécie          110
Jakob est l'enfant unique et très attendu, voir longuement attendu par un couple des meuniers. C'est un garçon qui vit une enfance heureuse, entouré ses parents qui l'aiment plus que tout, son chien qui est un vrai compagnon des jeux et la douce Clara, une jeune fille du village. Bercés par le rire de leur fils et par le chant du moulin, le père et la mère ne se doutent pas que ce cadeau du ciel, qui est Jakob, est un attrape-malheurs, un être que rien ne peut blesser... ou presque, si on compte que Jakob absorbe toute la souffrance, le malheur et les blessures de ceux qu'il aime. Quand Clara tombe et se fait mal, c'est son ami qui a les genoux écorchés. Quand sa mère tombe malade, c'est son fils qui attrape la fièvre. Si le jeune garçon sait qu'il est invulnérable aux coups, pas contre il ignore qu'il peut absorber le mal de ceux qu'il aime.
Sauf que ses parents ont tout compris, alors, ils vont chercher par tout moyen de l'éloigner. de son chien. de Clara. D'eux. Et c'est comme ça que Jakob se retrouve dans la troupe d'un cirque itinérant. La vedette. le môme qu'on peut blesser encore et encore, et qui reste encore debout. Les gens se précipitent, munis d'une curiosité morbide. Voir de leurs propres yeux ce gamin qui se fait poignarder, mais qui sourit comme si de rien était.
En lisant la 4me, j'ai laissé mon imagination vagabonder, et je dois avouer que le sujet m'attirait fortement. Original. Dès la première page, j'ai su que la plume et le style de l'auteur allait me plaire. Et effectivement, je la trouve belle et riche. En regardant de plus près l'auteur, je dois avouer que je ne suis pas surprise, car Fabrice Hadjadj est un philosophe et un dramaturge français. Je m'excuse, mais malheureusement, son nom ne me disait rien. Donc, pas d'à priori sur l'auteur ou sur sa plume. Découverte totale. Je la trouve agréable, élégante, pleine d'expressions et jeux des mots, mais aussi très poétique.
En parallèle, Tom Tirabosco , illustrateur suisse, enrichit ce livre avec des planches au crayon, un style trop sombre à mon goût, mais d'une précision remarquable, surtout dans l'expression des personnages.
Si j'ai un avis plutôt moyen sur ce premier tome, c'est parce que j'ai senti une sorte de "gêne" par rapport à plusieurs scènes. La violence, animale ou humaine, j'ai du mal à la tolérer, surtout quand il s'agit d'un roman jeunesse, conseiller pour les 13 ans et plus. Trop sombre, trop dramatique. Et malgré cette jolie plume , j'ai du mal à croire(j'aimerais bien y croire) que le public jeune peut comprendre pleinement le sens des mots de l'auteur . Même moi, j'ai dû lire certains passages plusieurs fois, car la tournure des phrases et le jeu des mots n'était pas évident.
A part cela, j'ai trouvé l'histoire plutôt bien racontée, même si je n'ai pas réussi à m'attacher au jeune Jakob, j'aurais aimé connaître davantage ses pensées et son ressenti .
La plume et le sujet, c'est un plus. Par le reste, je ne suis pas très convaincue...

Commenter  J’apprécie          100
Un roman jeunesse, une quête initiatique, ou un conte ? Sans doute un peu des trois mais pas juste ça. Fabrice Hadjadj a bien plus d'ambition pour sa trilogie et donc pour ce premier opus. Il y a vraiment plusieurs niveau de lecture dans ce premier tome et on y perçoit l'envie de l'auteur de nous emmener sur un terrain bien plus philosophique.

Jakob est un Attrape-Malheur, pour simplifier il est insensible à la douleur physique qu'on lui inflige et est (quasiment) immortel mais le revers de la médaille c'est qu'il attrape les problèmes physiques et les blessures de ceux qu'il aime vraiment. Invincible donc sauf au niveau par son coeur, voici une magnifique allégorie sur la vie surtout que notre ami Jakob découvre son pouvoir à la sortie de l'enfance. Et on peut dire que passage à l'âge adulte est particulièrement dur pour lui, car sa famille veut le protéger de tout donc de l'amour qu'ils ont pour lui.

Chaque personne dans sa vie a déjà connu des moments où blessé par les relations humaines, brisé par le chagrin, on se demande si cela vaut la peine d'ouvrir son coeur à nouveau de peur de souffrir encore un jour. Je pense que ce n'est pas un hasard si le premier grand drame du livre concerne le chien de Jakob car il s'agit souvent pour beaucoup d'enfants de la première confrontation avec la mort. L'Attrape-Malheur serait-il au fond simplement un être doué d'une grande sensibilité ? Son super pouvoir serait simplement de ressentir plus fort les émotions ? Éprouver cet amour pour les autres qui peut vous rendre invincible et vous faire déplacer des montagnes, mais aussi qui vous rend vulnérable et sans défense quand la vie s'acharne.

Notre héro va donc devoir grandir, s'endurcir, trouver sa place dans ce monde et surtout définir les limites de son coeur. Nous le suivons donc dans son voyage initiatique où il va découvrir la vie sur les chemins de cet univers qui s'ouvre devant lui accompagné d'un groupe de forains. Ce petit cirque ambulant est lui aussi riche en personnages haut en couleur, une galerie de portrait bien utilisé par notre narrateur pour décortiquer l'être humain. Son périple va l'amener bien loin du village de son enfance pour se confronter à la guerre et à l'amour sans doute au centre du second tome.

Fabrice Hadjadj a donc beaucoup de chose à nous dire et le fait bien : le style est bon, parfois poétique mais dans l'ensemble plus proche d'un conte. L'auteur sait où il va et il sait parfaitement nous y amener. le récit est maîtrisé et nous accroche très facilement. A noter les magnifique illustration de Tom Tirabosco apportant un vrai plus à l'ambiance globale. Je vais donc suivre l'auteur dans le second tome et je vous recommande cette lecture que cela soit pour petit ou grand, chacun y trouvera de la magie et matière à réfléchir.
Commenter  J’apprécie          80
Suite à deux mésaventures qui auraient dû lui coûter la vie, mais après lesquelles un jeune adolescent, Jakob Traum, fils longuement désiré des meuniers du village de Rarogne, demeure étonnamment indemne, il ne fait plus aucun doute qu'il est un attrape-malheur – je n'en dirai pas plus sur cet étrange statut, laissant à chacun le soin de découvrir ses tenants et aboutissants -. A cette terrible découverte, le destin de Jakob va basculer, à un point qu'il n'imagine pas…

Roman qui débute dans un cadre plutôt bucolique et bienheureux, avec, à la manière des récits médiévaux, un conteur très présent, tenant un langage léger, poétique et chantant, interpellant avec joie son lecteur, ce premier tome des aventures de Jakob bascule assez vite dans une atmosphère bien plus sombre, malgré des pointes de légèreté qui réapparaîtront par ci par là, notamment avec la présence du roi Kovnov VII trois-quarts à la toute fin. Dès les derniers chapitres de la première partie, en effet, lorsque Jakob se découvre bien malgré lui attrape-malheur, son monde bascule, puisque chacun le repousse et/ou le craint, notamment ses parents, jusqu'à divers drames qui vont, et lui forger une carapace agissant comme repoussoir des divers sentiments humains qui pourraient lui nuire, et le mener contre son gré à rejoindre une troupe de forains créée il y a de nombreuses années par un certain Barnoves pour des raisons tout aussi dramatiques, que nous découvrirons au fil du récit. La deuxième partie reviendra plus longuement sur la description de la troupe, sur l'apprentissage de Jakob en tant que membre du cirque et, par l'intermédiaire de Barnoves, qui devient son mentor, la présentation des contrées dans lesquelles tout ce petit monde gravite. Un univers entier nous est ainsi précisément esquissé, petites touches par petites touches, univers intéressant mais somme tout assez classique, autant dans les toponymes utilisés, dans leurs descriptions, que dans l'histoire, la culture, ou encore le fonctionnement politique de ces contrées, à partir duquel la tension est d'ailleurs palpable, laissant rapidement attendre le pire dans l'intrigue. de cette façon, récit d'apprentissage de Jakob et découverte du monde qui lui permet de parfaire cet apprentissage sont parfaitement liés, parfaitement amenés par la narration afin d'introduire la trilogie.

Les illustrations de Tom Tirabosco qui accompagnent le roman sont particulièrement réussies en ce qu'elles rendent parfaitement l'atmosphère à laquelle l'on s'attend, notamment par l'utilisation du noir et blanc, et l'aspect comme charbonneux du trait typique du dessinateur, qui soulignent ainsi le caractère sombre de l'histoire.

Bien mené, cohérent, bien écrit – ce qui est tout à fait louable, notamment pour un public adolescent -, posant efficacement les bases d'un univers et d'un personnage intéressants, bien que manquant un peu d'originalité, ce premier tome de L'Attrape-malheur a été une lecture plus qu'agréable, qui m'a donné immédiatement envie d'enchaîner avec le second tome. Je remercie les éditions La Joie de Lire et Babelio de m'avoir permis de découvrir ces deux premiers tomes de la trilogie à l'occasion de la publication du second le 22 avril.
Lien : https://lartetletreblog.com/..
Commenter  J’apprécie          190




Lecteurs (103) Voir plus



Quiz Voir plus

Littérature jeunesse

Comment s'appelle le héros créé par Neil Gailman ?

Somebody Owens
Dead Owens
Nobody Owens
Baby Owens

10 questions
1525 lecteurs ont répondu
Thèmes : jeunesse , littérature jeunesse , enfantsCréer un quiz sur ce livre

{* *}