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3,72

sur 1001 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Mal écrit, plein de clichés, ce "truc" est une véritable catastrophe. Et puis Jean-Claude, pour un vampire français, c'est tellement sexy que je me suis marrée à chaque fois qu'il apparaissait, ce qui, je crois, n'était pas l'effet escompté par l'auteur ;) Je ne sais pas si je vais continuer mon initiation à la bit-lit moi hein, parce qu'entre ça et Twilight... je vais retourner à mes bons vieux classiques que sont Théophile Gautier et Bram Stoker!!
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Que c'est mal écrit ! Certaines ellipses sont vraiment gênantes, comme si les sous-entendus étaient évidents alors qu'ils ne le sont pas. Pleins de petits détails ne sont pas clairs et perturbent la lecture : on ne sait pas qui parle, on ne sait pas où sont les personnages,... Et la référence évidente à Anne Rice pour la petite fille vampire qui dirige son monde ne rattrape rien, donnant des allures de pâle copie. Mais le problème principal pour moi est qu'à la moitié du livre, je n'avais toujours pas accroché !
Pas d'empathie particulière pour Anita, que je ne trouvais ni sympathique, ni courageuse, ni amusante par son ironie. Son personnage bien moins volontaire que ne le laisse entendre la 4e de couverture. Anita n'est pas si sûre d'elle-même. Bien que consciente de ne pas être exactement comme les autres, elle doute en permanence, sa modestie virant parfois à l'hypocrisie. Les personnages secondaires ne sont quasiment pas décrits. Tous ont tendance à être terriblement plats. Les vampires, décrits comme des êtres terriblement attirants, usant d'un pouvoir de séduction, ne sont pourtant absolument pas séduisants. Rien n'attire. Pas d'intérêt non plus pour l'histoire : savoir qui trucidait des vampires m'était complètement indifférent tellement l'énigme était mal amenée. Aucune base n'est posée. Rien qui tienne le lecteur et le titille, le poussant à avancer dans sa lecture.

Quand j'ai fini par me rendre compte que je prenais ce livre pour avancer ma lecture en soupirant, je me suis dit qu'il ne servait à rien d'insister. Cette lecture n'est visiblement pas pour moi. Après discussion avec des fans de la série, on me dit que le premier n'est pas le meilleur, et qu'il faut persévérer jusqu'au 3e pour apprécier vraiment. Je ne vois pas l'intérêt de me forcer à lire deux mauvais livres...
Lien : http://nourrituresentoutgenr..
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On me l'avait présenté comme la 8e merveille du monde, je m'attendais donc à une histoire extraordinaire, mais pas du tout à ce que j'ai découvert...

Car effectivement, si Anita Blake est haute en couleur et a un sacré caractère, l'histoire dans laquelle elle apparaît est bien fade. Digne d'un roman de gare, l'intrigue de Plaisirs Coupables se résout trop vite et trop facilement.
La lecture n'en est pas pour autant désagréable. le livre se lit très rapidement et on plonge facilement dedans, mais rien n'explique, ni dans le récit, ni dans le style d'écriture, l'engouement auquel il a droit.

Laurell K. Hamilton ne fouille pas suffisamment les éléments les plus pertinents de son oeuvre, préférant mettre en avant ceux plutôt ordinaires. Si Anita est réanimatrice et tueuse de vampires, c'est le côté réanimateur que l'on aurait aimé découvrir un peu plus, car l'héroïne le dit elle-même, la tuerie de longues canines n'est qu'un plus, une activité secondaire.

Bien que la lecture de ce titre fasse passer le temps, la fin déçoit. Trop rapide, trop facile, seul un détail émeut le lecteur, détail qui, justement, concerne le métier principal d'Anita. On passera aussi sur les noms, véritables clichés du genre qui donne une image comique involontaire des personnages. Tous ces défauts sont-ils excusables du fait de l'âge de ce premier tome? On en doute. Il manque donc indéniablement quelque chose à Anita Blake pour faire partie des livres inoubliables.

Face à la médiocrité de ce titre, et si vous recherchez vraiment une histoire qui sort de l'ordinaire, La Communauté du Sud est une série de bien meilleure qualité et à l'intrigue bien plus poussée.
Par curiosité et parce que les couvertures ont le mérite d'attirer l'oeil, Anita Blake aura sa deuxième chance, mais pas une de plus...
Lien : https://parole2libraire.word..
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Une espèce de roman érotique bas de gamme avec des vampires. Histoire née des fantasmes adolescents de l'auteur avec, bien évidemment, un archétype parfait de Mary Sue en personnage principal. Anita se veut l'inverse de la fille niaise : elle n'est pas si belle dit-on, mais les vampires tombent à ses pieds tout de même, c'est une tueuse qui... hm... collectionne les conquêtes car, comme le dit si bien la quatrième de couverture, il y a des vampires tellement sexy !
Le style est plat, inexistant à vrai dire. Nombre de descriptions vous rappelleront les plans d'une très mauvaise sitcom. le fil conducteur est assez grossier et, malgré la simplicité de la prose (ou... à cause également) l'ennui ne tarde pas à gagner le lecteur.
En conclusion, une fanfic qui a trouvé un éditeur. Sans doute un bon produit commercial pour échauffer quelques esprits sensibles.
Lien : http://unityeiden.fr.nf/
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Je n'ai pas apprécié l'héroïne, que je trouve bornée et insolante, dans le genre agressive. Ce n'est pas mon style d'humour et j'ai trouvé le livre mal écrit, ou mal traduit je ne sais pas. Il y a plusieurs passages où je ne savais pas qui commencait le dialogue, ou dans quel pièce elle était dans quelle position,... Plein de petits trucs pas clairs qui m'ont embêtée tout au long du livre. J'ai vraiment trouvé l'histoire sans plus.
Vu l'enthousiasme pour cette série, j'ai décidé de quand même acheter le tome 2, afin de me faire un avi définitif, j'accrochais peut-être, qui sait?
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Douleur. J'ai du mal à croire qu'il s'agisse d'une des séries phares de la bit-lit, considérant la pauvreté de l'intrigue dont j'ai encore du mal à entrevoir la logique. Encore une héroïne ridiculement caricaturée, et une tripotée de gogo dancers déguisés en vampires assoiffés de sexe pour achever la panoplie.
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Il parait que les drogués se piquent pour retrouver les mêmes sensations incroyables qu'ils ont eu lors de leur premier fix. Une espèce de quête impossible pour revivre l'extase primaire.

Je pense que les gens lisent des histoires de vampires pour retrouver la peur initiale qu'ils ont connue en lisant leur premier Anne Rice/Bram Stocker/Richard Matheson. Mais comme pour la drogue en seringue, c'est une course en avant vouée à l'échec. Rien ne permet d'atteindre le même plaisir des premiers frissons carmins de l'adolescence, où la mutation de l'humain en vampire est une allégorie pourtant grossière du passage de l'adolescence vers l'âge adulte.

La série à base de vampires de Laurell K. Hamilton (dont Guilty pleasures est l'ouvrage séminal) m'a toujours été vendue comme le mix parfait entre érotisme troublé, action et autres camarilleries. Il faut dire que l'héroïne, Anita Blake, est faite pour plaire au geek : 24 ans, célibataire, elle tatanne comme dans un film de Hong Kong et balance des répliques acides aussi facilement que les bastos. Elle est animator, c'est à dire qu'elle possède la capacité de réanimer les morts. Mais sa marotte, c'est de tuer des vampires, comme Buffy. D'ailleurs, les suceurs de sang la craignent autant que la blondasse de Sunnydale.

Alors bon, le monde d'Anita Blake ressemble à un Monde des Ténèbres recyclé, au même titre que les Harry Dresden dont je vous ai déjà parlés dans ce blog. Des vampires méchants, des rat-garous, des zombis, des goules... C'est l'auberge espagnole du gothisme moderne. le seul truc un peu différent de d'habitude : les vampires ne se cachent pas et sont même reconnus par la loi. du coup, ils ont des églises dédiées, des boites de nuit bien chaudes et tout ce qui fait le charme du monde de la nuit.

Seulement, en guise d'érotisme troublant, les aventures d'Anita Blake sont de désolantes banalités indignes d'un film érotique italien à petit budget. Quelques caresses pas explicites, une ou deux scènes de baisers (avec la langue ! Que c'est choquant) plus chastes qu'une soirée pyjama chez des aumonières de 12 ans, une scène de strip-tease aussi chaude que l'hiver québécois... Que de déception. Je ne voulais pas lire un livre porno, mais je voulais autre chose qu'un roman pour adolescent qui joue à touche-pipi. La tentation physique du vampire, la peur de la transgression, le pouvoir corrupteur du vice... tout cela est traité sans talent. le seul plaisir coupable que j'ai ressenti, c'est celui de lire un mauvais livre.

Quand à l'action : bof. La prise d'assaut du QG du Prince local (une petite fille poupée comme dans Anne Rice) est expédiée en quelques pages. Car ce Prince n'a pratiquement pas de serviteurs pour la défendre, non, elle se contente d'une seule goule pluri-centenaires qui est sensée être puissante mais meurt facilement face à Anita. Ah oui, j'oubliais : il y a un vampire français, qui se nomme Jean-Claude. C'est vrai que c'est sexy, comme nom, Jean-Claude. Moi, je fantasme sur des prénoms comme Huguette et Raymond. Je vous passe le scénario.

Bref, Anita Blake, c'est beaucoup de bruit pour rien. Disons que c'est de la littérature pour geek : vite écrit, vite lu et très vite oublié. La série compte 15 volumes, c'est dire si la quantité prime sur la qualité. Pour filer la métaphore sur la drogue, disons que Laurell K. Hamilton coupe une excellente cam appelée Vampire avec une saloperie de mort aux rats, de talc et de carbonate pour donner une poudre sans goût qui contente certains lecteurs un peu trop drogués au vampirisme de gare. Mais moi, j'arrête quand je veux, alors je vais très vite me sevrer... ou du moins changer de dealer.
Lien : http://hu-mu.blogspot.com/20..
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Je l'ai lu il y a très longtemps et abandonné. Je n'ai retenu qu'une chose. J'ai trouvé qu'il y avait trop de scènes érotiques au détriment de l'histoire. Je ne suis pas contre mais quand il y en a pratiquement à chaques chapitres. C'est un peu trop. En plus, elles sont vulgaires.
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Je plaide coupable !
Pour le concours ABC, j'avais choisi une bio d'Alan Turing. le film m'avait donné envie d'en connaître plus sur sa vie. Malheureusement, je suis dans une période où j'ai un peu de mal à lire (manque de temps et d'esprit). Alors, adieu Alan Turing, nous nous retrouverons certainement plus tard. Bonjour "plaisirs coupable", parce que oui, coupable, je le suis….

Anita Blake est une réanimatrice. C'est-à-dire qu'elle relève des morts pour en faire des zombies, le temps que la famille règle les problèmes laissés en cours. Parallèlement, Anita chasse les vampires pendant son temps libre. Mais jamais, elle voudrait leur venir en aide. Jusqu'au jour où elle n'a plus le choix…

Bon, ok ! J'ai dit que je n'avais pas trop l'esprit concentré en ce moment. Mais enfin, il y a quand même des limites à ne pas atteindre dans la médiocrité !
Qu'attendais-je vraiment de ce livre ? Déjà, ne pas se prendre la tête, ne pas chercher à réfléchir sur le texte. Un peu d'aventure dans un monde fantastique avec des gentils et des méchants. Mais si possible, avec un méchant qui s'avère finir par être le gentil, encore mieux s'il est attirant, voire plus si affinité…. Bon, ben on est loin du compte !!! Donc ici, l'héroïne fait des zombies. Ce qui est déjà assez glauque. Mais ce n'est pas important puisque dans ce roman, il n'en est pratiquement pas question. En fait, nous ne savons pas exactement ce en quoi consiste précisément son boulot. Nous laissant supputer sur les raisons réelles des avantages de relever des morts pour en faire des marionnettes ! Enfin bref, ici, le plus important c'est sa bataille contre la vampire la plus puissante de Saint-Louis. Et oui, toute la raison du livre est là ! Même l'enquête policière n'est rien. Si l'héroïne la résout dans les trente dernières pages, le lecteur comprend l'intrigue dès la première partie. Quant aux scènes d'actions, je me suis profondément ennuyée, au point de sauter quelques lignes. de plus, elles sont improbables, comme la soirée des esclaves du sang. Il n'est pas facile de savoir exactement ce qu'elle en attend, d'autant qu'elle ne veut pas y rester.
Donc en résumé nous avons une héroïne fragile qui ne l'est pas, entourée de mecs canons aux superbes tablettes de chocolat tous amoureux d'elle mais qui n'arrivent pas à la séduire. Ils l'aident dans une enquête sur laquelle elle ne veut pas travailler et n'a pas l'air très douée en tant que détective ! le tout avec une écriture limite lisible. A éviter d'urgence…
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Je n'ai pas du tout accroché à ce premier volet d'une série pourtant adorée par nombre de ses lecteurs.

Je n'ai aimé ni l'histoire, ni les personnages pas plus que l'univers de l'auteur à tel point que j'ai vraiment eu du mal à terminer cette lecture.

J'adore pourtant l'autre série de l'auteur, Merry Gentry ce n'est donc pas un problème de style d'écriture... Enfin on ne peut pas tout aimer...

C'est ici que s'arrêtera pour moi cette série!
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