Les sous vivants

J'ai trouvé ce roman très moyen pour diverses raisons.
Je n'ai rien à dire le style de l'auteur est très bien mais un détail m'a dérangé c'est que l'histoire aurait mérité d'être plus expliquer parce que j'ai pas tout compris.
On est directement dans l'histoire mais sans les explications au préalable alors je me suis perdu.
Certains détails sont expliqués au fur et à mesure mais le fait que je n'ai pas tout compris m'a empêché d'accrocher malgré des bonnes idées de l'auteur.
Après c'est un livre très court c'est pour ça qu'il manque d'approfondissement pour moi même si l'idée de l'univers me plait beaucoup je trouve qu'il n'est pas assez exploité c'est dommage parce qu'au sinon j'aurais très bien pu aimé ce livre.
Mais je pense qu'il est fait pour des plus jeunes que moi à la base et après avoir lu plusieurs dystopies je devient beaucoup plus exigeante.
C'est une lecture moyenne pour moi pas mauvaise ni excellente après je pense qu'un lectorat plus jeune pourra apprécier ce livre.

Les Sous-vivants est un très bon roman post-apocalyptique destiné à la jeunesse : original et dynamique, il offre une intrigue riche en actions et non dépourvue de poésie, dans un Paris ravagé que l'on arpente avec grand plaisir.
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Dans cette dystopie, nous suivons en narration externe deux personnages. L'une vit sur la terre, elle s'appelle Soria et l'autre sous la terre, s'appelant Tigdal. Ces deux personnages ne se rencontreront qu'à la fin du livre mais nous sentons bien que leurs destins sont liés. Soria, jeune femme héroïque et extrêmement courageuse, décide de se rendre dans l'antre des ferhom pour sauver son père et son meilleur ami. Son périple, où elle risquera sa vie à plusieurs reprises, lui permettra de mettre des mots et des réponses sur les légendes tribales qui justifiaient jusque là leur mode de vie.

J'ai eu beaucoup de mal à entrer dans le livre qui présentait dans sa 1ère partie un rythme assez lent, ainsi que des termes et un univers que j'ai eu du mal à m'approprier. Et puis, j'ai eu un déclic. D'un coup, la brume qui envahissait ma lecture s'est dissipée et j'ai compris certains termes, certains mots. Que haute pointe était en réalité la tour Eiffel, que Notadam n'était autre de Notre Dame de Paris, etc.. Et ma lecture a alors pris une tournure inattendue et je n'ai plus posé le livre !

J'étais devenue avide de découvrir d'autres endroits de Paris auxquels ce peuple avait avec le temps nommés autrement et utilisés à d'autres fins. J'ai compris que les légendes tribales distillées ça et là dans le roman par un racontar (conteur), me permettaient aussi de faire des liens entre ce monde apocalyptique et notre monde actuel.

Une fois la rencontre entre Soria et les ferhom (entendez en réalité homme de fer), le rythme s'accélère d'un coup et nous en prenons plein les mirettes. J'ai été aussi hébétée que Soria au fur et à mesure de ses découvertes sur les secrets de son monde et les nouvelles perspectives qui s'offraient à elle.

La fin reste ouverte avec la possibilité d'un second tome. Il est certain que si celui-ci voit le jour, j'irai avec plaisir de nouveau à la rencontre de Soria, Tigdal et Selim.



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De cet auteur, j'avais déjà lu les deux premiers tomes de sa série "Ciel" que j'avais particulièrement appréciés. C'est pourquoi lorsque j'ai vu le nom de cet auteur sur cette très jolie couverture, j'ai immédiatement emprunté ce roman dans le même style, entre science fiction et dystopie. Nous nous retrouvons cependant ici dans un futur assez éloigné (70, 100, 300 ans ?).

Dans un monde, devenue stérile, où de sa surface l'humanitè à presque disparu. Dans un Paris (si je n'avais pas lu cette précision dans le résumé, je n'aurai jamais pu deviné que l'intrigue se déroulait là) en ruine envahi par la forêt (je veux bien, mais la tour Eiffel même dans la verdure ça ne disparaît pas entièrement, tous ces immenses immeubles alors? Et le métro ?) où de petites tribus survivent tant bien que mal. le jour, leurs membres doivent affronter une chaleur extrême. Tandis que la nuit , un ennemi encore plus implacable fait son apparition: les ferhoms d'étranges robots kidnappent les adultes.
Quand son père disparaît, Soria décide de partir à sa recherche, avec son meilleur ami. Ensemble, ils découvriront un peuple caché dans les entrailles de la Terre, les Purs et l'incroyable secret de leur origine.

Très clairement, ce roman a été pour moi, une déception. Johan Heliot m'avait habitué à mieux. Ici, en dehors d'un énième résumé, qui décide de tout spoiler, nous avons le droit à un roman assez brouillon. C'est le premier mot qui me vient à l'esprit à la fin de cette lecture.
Souvent, en particulier dans ce genre là, j'aime quand le contexte socio temporel est posé , que nous connaissons l'époque, les lieux où se déroule l'action. Ici rien n'est dit là dessus, ni pour l'époque, ni même d'ailleurs pour le contexte de cette période ( comment en est on arrivé là ? Qu'est ce qui s'est passé ?). de nombreuses questions restent en suspens, on parle vite fait de "radiation"... Et c'est tout, on se retrouve catapulté dans un monde inconnu.
Pour ce qui est de l'emplacement, comme je le disais, si rien dans le résumé n'avait été précisé, je n'aurais jamais pu deviner. Habituellement, les auteurs s'amusent en disséminant de nombreux indices au travers des pages. Ce n'est pas le cas clairement ici. OK on parle de mur de pierres à un moment...
Finalement, de ce côté là, j'avais beaucoup plus l'impression d'avoir affaire à un roman fantastique où l'auteur nous propose quelque chose sortie purement de son imagination. Plutôt qu'à un roman de science fiction, en particulier de dystopie, dont le but est souvent de nous faire réfléchir sur les conséquences de nos actes.
Pas de tels considérations là, on nous balance une histoire qui s'articule autour de deux personnages principales Sari, Tidgal ( je ne considère par vraiment "Les racontars" comme une partie à part entière ce qui ne m'a pas empêché de l'apprécier). Je me suis très vite attachée aux personnages dont on suit la quête. Mais là encore, chacune de leur action ne faisaient qu' augmenter le nombre de mes interrogations.
Dernier petit détail, l'idée d'avoir deux personnages principaux dans camps opposés, était plutôt bonne cependant pas assez exploitée.

Un roman qui aurait pu faire d'après moi, l'objet d'une série afin d'empêcher comme ici, de se retrouver face à ce qui a été pour moi une déception. Tant l'idée, les personnages étaient intéressantes. Mais le manque d'explications, la rapidité des explications m'a empêché d'apprécier ce roman.

Bien longtemps après notre air l'humanité est devenue stérile.
Divisés en plusieurs tribus les humains survivent tant bien que mal.

Soria vie dans la tribu d'Ilesite dont le point fort est le tissage. Lorsque son père et l'un de ses amis disparaissent à l'occasion d'un troque avec une autre tribu, elle embarque son ami Selim et part à leur recherche.

Un one-shot de science-fiction plutôt court mais dont l'univers peu sembler riche.
C'est le premier roman de Johan Heliot dont j'arrive à poursuivre et terminer la lecture. Force est de constater que son style presque soutenu à certains passages n'est pas ma tasse de thé. Peut-être ai-je trop pris l'habitude de lire des romans dont le style est plus courant, plus oral... .

De même j'ai presque réussi à m'attacher aux personnages. Malheureusement, le nombre de personnage et, pour moi, le peu d'action qui sont décrits ne suffisent pas à faire mon plein bonheur. J'aurai apprécié plus de temps pris pour développer l'histoire, la psychologie des personnages, une intrigue plus complexe et surtout plus de rebondissements.
Ce roman s'apparente presque, pour moi, à une fable écologique remplie d'espoir sur la nature de l'être humain et sa survie.

Merci à Babelio et aux éditions du Seuil.
Le style de l'auteur est excellent. J'ai vu défilé les images par le biais des différentes descriptions. Les personnages semblent réels. Leurs personnalités sont marqués. J'ai une préférence pour Selim ainsi que ses racontars absolument divins. Autre chose que j'ai apprécié, les sujets abordés, certes par le biais de métaphores mais très bien trouvé, comme le racisme, l'environnement ou le rappel à la seconde guerre mondiale.

L'histoire est très bien construite peut-être trop. Au début, j'ai eu du mal à voir quelle direction prendre. Peut-être parce que c'est la première fois que je lis un roman comme celui-là. Sur certains aspects, l'histoire est très bien travaillée. Sur d'autres, j'ai eu le sentiment soit que le sujet n'était qu'effleuré soit évoqué de manière trop subtil.

Pour résumer, j'ai passé un bon moment même si ce n'est pas un coup de coeur.

J'ai découvert cet auteur cette année. J'avais commencé par la Trilogie "La lune seule le sait " puis j'ai voulu connaître sa littérature de jeunesse . Après la lecture de quelques-uns de ses titres, captivée après la tétralogie de C.I.E.L, je n'ai vraiment pas été déçue des "Sous Vivants" : une écriture fluide et très agréable, Johan Héliot joue beaucoup sur l'implicite pour pousser le lecteur à ordonner son puzzle. Aucune longueur, juste ce qu'il faut pour avancer avec ses personnages ... Un "pur" bonheur de lecture ... A quand le prochain ? ;-)

http://liliandtheworldofbooks.blogspot.com/2016/02/les-sous-vivants.html

Dans cette histoire, on découvre des tribus qui essaient de survivre tant bien que mal à ce monde. On découvre que des robots enlèvent des adultes sans savoir où ils vont atterrir. Jusqu'au jour où le père de Soria va être enlevé et elle va tout faire pour le retrouver. Elle et son ami vont faire des découvertes incroyables (à vous de le découvrir).

J'ai beaucoup aimé l'univers de l'auteur, j'ai trouvé sa plume fluide et agréable à lire. L'intrigue est vraiment intéressante et au fur et à mesure elle est prenante. le début est un peu lent, mais une fois l'action arrivée cela ne s'arrête plus et j'ai eu beaucoup de mal à refermer mon livre.

J'ai apprécié de découvrir les points de vu de nos personnages. Soria est un personnage très courageux et n'a pas froid aux yeux. On découvre aussi Salim l'ami de Soria qui lui aime parler de l'époque et n'a pas peur d'aider son amie. Et il y a aussi Tigdal, pour lui je préfère garder le mystère sinon il y a des chances que je vous spoile quelques infos importantes. Tout ce que je peux vous dire, c'est qu'il est différent des autres.

En conclusion, il y a beaucoup de rebondissement et de révélations qui nous étonnent à chaque fois et j'ai beaucoup aimé les détails que l'auteur nous offre. c'est vraiment une belle histoire de science-fiction que je vous recommande.

Ce livre est plutôt intriguant à lire mais vraiment bien. je trouve à mon goût qu'il y a assez de mots compliqués. L'histoire de ce livre est en fait un groupe de personnes qui survivent sur Terre à cause d'une extinction de l'humanité


Garry

Une bonne petite dystopie jeunesse.

J'ai bien aimé ce petit roman abordable par les plus jeunes.

L'histoire est celle de Soria et Tigdal, deux adolescents dans un futur lointain qui vivent dans deux clans différents.
L'une tente de survivre dans un monde brûlé par le soleil, l'autre vit sous la terre et accomplit aveuglément des missions d'enlèvement.
Dans quel but ?

L'originalité est de mise avec cette histoire d'autant plus que l'écriture est fluide et agréable.

L'histoire en elle-même est plutôt bien trouvée même si cela reste très mystérieux, obscur et un peu compliqué.
Il m'a manqué un peu d'action dans les 2/3 du roman pour que ce soit parfait.

La fin est pleine d'espoir et me plaît beaucoup, on s'attache aux personnages et surtout à Tigdal.

Les "racontars de Selim" est un grand plus puisqu'on nous explique l'origine de ce nouveau monde et de toutes les tribus. C'est parfois très poétique.

Je conseille ce roman si vous aimez les dystopies originales, les one-shot et les romans jeunesse.

Un grand merci à Babelio et aux Editions du Seuil pour ce joli partenariat.