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Ce roman de James Herbert à tout du style « Masterton » !
On y trouve pèle-mêle des crimes affreux, des suicides, des actes de barbarie, des flots de chair et de sang, du sexe assez cru, et encore de la violence sous toutes ses formes…
Tout commence dans une maison anglaise, où plus d'une trentaine de personnes sont mortes assassinées ou suicidées.
Un enquêteur s'occupant de phénomènes paranormaux va être mandaté pour mener une enquête à ce sujet.
Et à partir de là, des actes tous plus ignobles les uns que les autres vont avoir lieu autour de cette maison.
J'ai bien aimé ce roman si ce n'est que j'ai trouvé la fin complètement ratée, elle arrive très vite, en quelques pages c'est réglé, n'a aucun sens après tout ce qu'on a lu avant et dégouline de bons sentiments.
A noter que la couverture du livre montre une créature alors qu'il n'y en a pas une seule dans le roman, encore une belle prouesse des éditeurs !
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Quel mal m'a pris de vouloir continuer avec James Herbert ? Ma dernière lecture s'était avérée douloureuse, pourtant cela ne m'a pas empêché de me jeter sur « Le sombre ».

Étonnement, j'ai bien aimé le début. Feu James Herbert nous a concocté une demeure maléfique avec un chasseur de fantômes plutôt convaincu par la science que par le paranormal. Et puis, il y a ces scènes sanglantes qui viennent nous percuter.

Oui, mais voilà, ce que je reproche à ce livre, c'est que l'on s'y perd trop facilement. L'histoire est relayée en second plan, car l'auteur nous abreuve de pages entières sur différents événements bien gores. Bref, c'est marrant sur quelques petits incidents, comme celui de la femme qui s'occupe d'un vieillard vicelard, mais quand le tout prend le dessus sur l'intrigue, je suis devenu un naufragé du roman. Et c'est à partir de là, que j'ai commencé à avoir de plus en plus de mal à lire. Mon cerveau n'a pu s'empêcher de divaguer et cette lecture m'est devenue pénible.

Pour le coup, il est parfois au-dessus de Fog, pour ses nombreuses scènes d'Horreur, et en-deçà pour son intrigue décousue. D'ailleurs, les personnages principaux ne m'ont pas convaincu, la faute à une multitude de figurants. L'ensemble s'étale sur des longueurs.
Il me reste encore un James Herbert à lire et après j'arrête.
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Depuis la trilogie des « Rats » et « Fog », j'ai toujours bien aimé les romans de James Herbert. Romans de terreur bien structurés, bien écrits, souvent gore, mais toujours passionnants. LE SOMBRE est bien de cette veine et cette histoire surnaturelle qui démarre sur les chapeaux de roue ne ménage aucun temps mort durant les 350 pages du bouquin.
Finalement très moral, ce récit montre le combat entre le bien et le mal. Cette chose hideuse, le sombre, aggrave les défauts des personnage qu'elle approche et change les gens normaux en tortionnaires meurtriers.
Et une petite équipe de médiums, spirites et chasseurs de fantômes vont tout faire pour lutter contre cette terrible entité.
Très visuel, ce livre fait souvent penser au célèbre film La Nuit des morts-vivants de G. Romero. Les héros sont autant chassés que chasseurs et les rebondissements incessants font souvent basculer le récit d'un protagoniste à l'autre ce qui donne un rythme très soutenu au roman. LE SOMBRE démarre en décrivant une rue qui devient le théâtre de terribles meurtres, puis, petit à petit, le mal s'étend à Londres tout entier. Les scènes gore sont très explicites et je déconseillerai ce livre aux âmes sensibles. Mais l'écriture de James Herbert, très fluide, séduira les amateurs du genre.
Bref, ce livre offre une lecture captivante. Il est sans doute une des plus belles réussites de cet écrivain et je le conseille aux amateurs de littérature fantastique.
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Beechwood, maison inhabitée et particulièrement sinistre, est le centre d'événements aussi violents qu'étranges depuis qu'un suicide collectif y a eu lieu peu de temps auparavant. Les hordes maléfiques du Sombre émanent de la maison désaffectée et Londres sera le siège de carnages et de combats particulièrement violents.
James Herbert nous décrit le combat entre les puissances de la Lumière et des Ténèbres, autrement dit, la lutte entre le Bien et le Mal. Thème repris dans quasiment tout livre d'épouvante qui se respecte. L'auteur s'amuse à faire valser les personnages, qui s'évaporent à peine arrivés, ce qui peut légèrement perturber le lecteur, qui ne risque pas d'avoir le temps de s'attacher à l'un ou l'autre, mais l'incarnation du Mal que représente le Sombre ne fait pas dans la dentelle.
Tout comme l'auteur, du reste. Amateurs de gore, ce livre est fait pour vous mais pas que... Herbert sait entretenir le suspense avec brio et il ne s'en prive pas.
Un livre qui se dévore, le grand frisson nous attend au fil des pages.
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Cet auteur a fait beaucoup mieux avec : "CELUI QUI SURVIT"
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une lutte acharnée du mal contre le bien
un bon livre malgré quelques longueurs et une fin un peu mystérieuse sinon l'horreur est bien présente et j'ai apprécié l'imagination de l'auteur pour tout les divers "accidents"
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Chris Bishop se décrit parfois lui-même comme "chasseur de fantômes" mais c'est avant tout un parapsychologue qui cherche une explication rationnelle aux phénomènes surnaturels. Jusque-là, les événements lui ont toujours donné raison à une exception près : la demeure de Beechwood à Londres, ancien quartier général d'une secte malsaine dirigée par un homme affirmant être capable de maîtriser le mal par-delà la mort. En se rendant de nouveau à Beechwood à la suite d'une vague d'hystérie meurtrière dans le quartier et à la demande du parapsychologue Jacob Kulek et de sa fille, Bishop découvre que le "Sombre", une entité faite de pur mal qui se nourrit des pires pulsions humaines, pourrait bien être une réalité, et qu'il est urgent de l'arrêter avant qu'il ne se répande dans tout Londres. L'histoire distille l'angoisse et l'épouvante goutte à goutte dans un style parfois presque lovecraftien, tout en lorgnant du côté du film de zombies revisité, comme un pont entre l'épouvante "classique" et moderne.
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Le sombre est un roman globalement réussi dans la veine des autres écrits de Herbert ... le scénario est simple et fin comme une feuille à cigarette, le démon (enfin, si l'on peut dire) est relativement bien croqué, les personnages bien rendus, cela se suit avec facilité car niveau écriture Herbert n'avait rien à apprendre ... le seul bémol, mais il est important c'est cette finale qui relève du Deus ex Machina complètement jetée et improbable qui clôt le récit avec la lame d'une guillotine ... résultat, deux pages plus tard, on ne comprend pas tout de suite que le livre est fini ... étrange tout de même !
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J'ai découvert James Herbert il y a quelques années quand Bragelonne avait réédité Les Autres dans le cadre de son opération "Dix ans, dix euros". À l'époque, j'avais adoré. Cette ambiance glauque, ce personnage cynique, cette plongée dans l'étrange, tout pour me plaire. Et c'est d'ailleurs pour ça que j'ai voulu y revenir dans le cadre du thème de ce mois de décembre.
Mais, je ne sais pas... Peut-être est-ce la fatigue, l'ambiance qui ne colle pas, ou même ce livre qui n'était pas pour moi, toujours est-il que je n'ai pas accroché. J'ai eu un mal fou à entrer dans l'histoire, à m'investir dans l'intrigue, même à me poser des questions sur ce qui allait se passer.
Il y avait pourtant tellement de choses intéressantes :
- une entité invisible mais consciente - bien sûr maléfique - qui cherche à se répandre tel un virus
- un enquêteur cynique et torturé
- une alternance des points de vue entre l'enquête et les agissements des victimes/adeptes/pantins du mal
- des débats sur la légitimité d'une science du paranormal et, surtout, de ses représentants
...
Mais non. Juste, non...
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je viens de comencer ce livre je suis a la 10 eme page et ces deja super violent me demande ce que cela va donner. Ame sensible s' abstenir
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