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4,08

sur 209 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Autant j'avais apprécié les autres livres de cet auteur fondés sur une recherche très rationnelle du coupable, autant je sors fort sceptique de cette lecture-ci.

Il faut dire que l'éditeur n'aide en rien. Si vous lisez le quatrième de couverture, vous savez déjà avant d'entamer l'histoire, ce qui se passera jusqu'à la page 600 sur 740 pages, ce qui n'est jamais une bonne idée pour un polar, enfin à mon estime très personnelle.

La longueur est un autre handicap de ce livre, car un désintérêt s'installe bien avant la moitié. L'auteur fait se succéder différents épisodes de vie dans le temps. Bonne chance si vous vous y retrouvez dans tous les personnages, cela n'a pas été mon cas.

Les cent dernières pages qui sont la seule nouveauté par rapport au résumé de l'éditeur sont malheureusement assez convenues.

Donc une lecture au cours de laquelle je me suis largement ennuyée et pourtant je me réjouissais de retrouver l'ambiance du café maison. Là cela n'a pas été ma tasse de thé.
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« C'est très intéressant, un chagrin d'amour. Pendant que vous souffrirez, vous ne vous ennuierez pas »

Hélas le chagrin de lecture est différent de celui de l'amour. L'ennui se fait sentir.
Il fallait bien que cela arrive n'est-ce pas ? de ne pas aimer un Higashino.
Nourrie à l'atmosphère feutrée et raffinée de mes précédentes lectures, j'ai trouvé la lumière de la nuit violent, cru, sordide, languide.

Etrange, il fait écho au cycle du Roy des Ribauds que je viens de lire et qui traite d'une autre manière de la part d'ombre et de lumière qui peut accompagner certains. Mais si la bédé est rapide, cinglante, ici pour ce roman tout est lent. Démultiplié.
Et moi qui ai toujours connu des problèmes pour retenir les noms des personnages ou de véritables personnes j'ai souffert de ces consonances nippones à mes yeux homophones.
Et si, dans un sursaut d'insomnie (maudits dimanches soirs) j'ai terminé ma lecture (car même si je dénigre ce volume, il se lit très bien), le dénouement fut bien décevant. Gros comme une maison dès le tout début.

Et comme ces temps je ponctue mes avis de citations...
Tout ça pour ça !
comme on le chante dans un Lelouch.

[Lecture commune]
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