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4,02

sur 3380 notes
Ce roman a tout d'un « best-seller » : une intrigue simple et prévisible, un suspens quasi nul, des personnages manichéens : soit gentils et serviables soit méchants et égocentriques, des femmes très belles, aux « immenses yeux en amande, à la chevelure noire et brillante descendant jusqu'à la taille », une bonne dose de malheur pour faire pleurer le lecteur, des histoires d'amour contrariées, une écriture facile, sans relief...Vous aurez compris : je n'aime pas les best-sellers, déjà le mot en lui-même...

Mais je confesse que j'ai été quand même intéressée par ce contexte que je ne connaissais pas : la Crète de 1939 à 1958, et la léproserie de l'île de Spinalonga, où étaient relégués les lépreux afin d'éviter toute contamination. C'est en fait cette description de leur vie qui m'a fait continuer la lecture, sinon, j'aurais abandonné.

Alors, reprenons par le début :
Alexis, une jeune fille anglaise, part en vacances en Crète avec son fiancé afin de dénouer des secrets de famille ; en effet, sa mère, une Crétoise énigmatique et froide, ne lui a jamais parlé de sa jeunesse ni même de ses parents. Arrivée là-bas, elle laisse son fiancé à La Canée et se rend à Plaka, à quelques centaines de kilomètres, village d'enfance de sa mère. Là, elle y rencontre la meilleure amie de sa maman qui lui raconte l'histoire familiale : son arrière-grand-mère, Eleni, a contracté la lèpre et a dû vivre – et mourir - sur l'île de Spinalonga, en abandonnant son mari et ses deux filles à leur destin. Destin mouvementé, certes, mais prévisible, comme je l'ai dit plus haut, vu le caractère de l'une et l'autre des filles.

Les secrets de famille sont donc très vite éventés ; les descriptions de la vie sur Spinalonga, quoique instructives, sont néanmoins toujours les mêmes. On y apprend que l'île a été aménagée par les lépreux et est devenue une sorte de beau petit village, avec boulangerie, école, balcons fleuris, sans omettre l'hôpital, évidemment, qui se modernisera au fil du temps, grâce notamment à l'arrivée d'Athéniens instruits, en 1939. La vie des habitants est rythmée par les décès, mais malgré les descriptions des pauvres estropiés, je n'ai pu ressentir de la compassion, à cause de la forme de la narration qui ne permet pas de s'identifier à qui que ce soit. La recherche médicale y est très présente, et nous assistons à l'administration du remède quasi miraculeux qui aura comme conséquence la fermeture de l'île en 1958 (je précise qu'en ce qui concerne le contexte spatio-temporel, rien n'a été inventé, tout est donc réel).

6/10 donc pour ce roman qui a réussi à capter mon attention tout en provoquant chez moi maints sourires moqueurs, surtout dans la partie qui se déroule de nos jours, à cause de la multitude de clichés, et beaucoup de soupirs agacés.
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Une histoire simple mais profondément émouvante qui nous emporte sur une île où vivent des lépreux. L'histoire est la suivante : une jeune femme et son petit ami font un séjour en Crète et à cette occasion Alexis, la jeune femme décide de visiter le village d'où est originaire sa mère. Mais ce voyage va surtout s'avérer être le moment idéal pour découvrir des secrets enfouis depuis des générations.
Entre découverte d'un pays, d'une culture et des secrets de famille, cet excellent roman nous happe littéralement.
Je me suis passionnée pour cette communauté de lépreux, j'ai eu envie d'apprendre plein de choses sur cette maladie, sur la façon dont étaient traités les malades et ce, il n'y a pas encore si longtemps.
J'ai été totalement immergée dans cette histoire, j'ai eu la sensation de passer tout le week-end sur l'île de Spinalonga.

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Instructive et singulière, c'est l'histoire authentique d'une île crétoise devenue à la fois ghetto, léproserie et microsociété durant toute la première moitié du vingtième siècle (après J-C).

Attachante et plutôt addictive, c'est la saga d'une famille modeste marquée par le destin et la maladie.

C'est enfin, et malheureusement, une narration conventionnelle assortie d'une traduction désespérément médiocre.

Or donc, si tu n'es pas trop regardant(e) quant au style, tu pourras toujours, comme je viens de le faire, emporter ce gentil roman lors d'un prochain voyage au pays des oliviers, histoire de peaufiner l'immersion.

L'île des oubliés n'en reste pas moins une preuve supplémentaire – pour qui en douterait encore – que succès commercial n'est pas forcément synonyme de chef d'oeuvre littéraire.


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Ce roman avait tout pour me plaire. L'histoire d'une famille, les Petrakis, dont deux membres vont être atteints de cette terrible maladie qu'est la lèpre. Tout d'abord Eleni Petrakis dont le mari, Giorgis, pêcheur, assure la navette entre Plaka et l'île de Spinalonga qui accueille toutes les personnes atteintes de la lèpre.

Eleni est institutrice, passionnée par son métier, son mariage est heureux, elle a eu deux enfants : Anna et Maria. Un jour, Giorgis est contraint de l'emmener à la léproserie avec un enfant, Dimitri dont les parents ont caché longtemps la maladie. Sur la rive, une femme Savina Angelopoulos, sa meilleure amie regarde la barque s'éloigner ; à côté d'elle sa fille Fotini, la meilleure amie de Maria.

On va suivre les péripéties de leur installation sur l'île, la lutte contre la maladie les différentes formes que celle-ci peut prendre, le destin qui s'acharne… bref, ce qui aurait pu être une belle histoire s'enfonce de le pathos et rien ne nous est épargné pour faire pleurer dans les chaumières : les destins qui se ressemblent, se répètent, les personnalités un peu trop caricaturales. Anna qui se comporte comme une princesse trop gâtée, insolente, égocentrique à fond, qui laisse toutes les corvées à sa petite soeur Maria, la presque « Sainte » et devinez qui sera la deuxième victime innocente de la Lèpre ?

le beau mariage d'Anna (traduction : elle épouse un homme très riche alors qu'elle n'a pas de dot) … qui entre dans une famille prestigieuse les Vandoulakis, (on a compris que prestigieux voulait dire riche, et au cas où l'on n'ait pas très bien saisi, l'auteure nous le rappellera à moult reprises) ce qui leur donne le droit d'être méprisants et arrogants. Dans ce roman, les protagonistes sont ou très gentils ou très méchants, il n'y a pas juste milieu, donc caricaturaux à l'extrême.

Il y a des personnages attachants dans ce roman, avec bien sûr Maria qu'on adore (en fait qu'on aimerait adorer) avec la même énergie qu'on déteste Anna, Giorgis qui affronte la vie malgré les coups du sort, résigné par avance, Fotini et sa famille, les médecins qui font ce qui peuvent mais essaient de soulager et de comprendre cette maladie terrible.

Comme l'histoire de la famille se déroule de 1903 à 1957 environ, on a droit au passage des Nazis, une autre forme de lèpre. J'aurais aimé qu'elle parle plus de la maladie, dont on n'apprend pratiquement rien.

Je ne comprends pas pourquoi l'auteure a rajouté un secret de famille pour la génération suivante car elle n'exploite pas cette idée, et Alexis, avec son problème de couple dérisoire ne parvient pas à émouvoir car, si l'auteure est dithyrambique sur la période antérieure à 1957, l'histoire actuelle qui déclenche l'enquête laisse un sentiment de frustration.

C'est le premier roman de Victoria Hislop que je lis, et j'avoue l'avoir lu très vite (page turner) mais j'ai été très déçue car elle avait un sujet en or et elle en fait une bluette, et je n'ai même pas réussi à éprouver de la compassion, de l'empathie.

Pour moi, c'est de la Chick Lit (Littérature pour poussins) mais qui fait penser davantage aux « feux de l'amour », qu'à une fresque littéraire. Parfois, on a même l'impression que Spinalonga est un paradis… Il y a quand même une chose que l'auteure aborde bien, c'est le rejet, l'intolérance dont les gens sains font preuve à l'égard des personnes malades et qui rappellent les heures sombres du SIDA dans les années quatre-vingt.

Je suis gentille, je lui donne une note pas trop mauvaise, car pour une lecture d'été, avec un cerveau embrumé, on n'a pas besoin de réfléchir, on tourne les pages, mais je ne fais pas partie des lecteurs qui l'ont encensée, ce que j'ai par ailleurs du mal à comprendre. Une alternative aux polars pour les vacances. Et j'ai appris quelques mots de grec… et aussi, les rites crétois, les fêtes, l'importance de la religion et de la tradition, viennent relever un peu.

Note : 6 /10

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On m'avait dit beaucoup de bien de ce livre et je n'ai pas été déçue ! C'est le premier roman de Victoria Hislop que je lis et je peux affirmer qu'il fera partie de ma liste de coups de coeur de l'année ! j'ai savouré ce roman grâce à cette multitude de personnages présentés par l'auteur de façon très claire, sans confusion possible, et permettant une analyse psychologique intéressante qu'on se soit attaché ou pas à certains plus qu'à d'autres, l'attitude et les réactions de chacun se comprenant comme la conséquence d'événements marquant dans une vie : Alexis : qui avant toute chose, cherche à connaître ses origines, Anna : celle qui a manqué à un moment de sa vie, de ce qui lui était indispensables : l'amour de sa mère, Maria portée par son dévouement et son abnégation, portrait de cette mère tout aussi dévouée, Giorgis, le courage personnifié, continuant sa route en dépit de sa souffrance, et tous les autres qui évoluent dans un village qui, relativement épargné par la guerre, connut son compte d'épreuves. Tous ces gens forment une communauté dont l'évolution est très intéressante, une communauté de culture crétoise qui livre avec beaucoup de charme des informations tout à fait dépaysantes.
Par ailleurs, Victoria Hislop nous livre une histoire extrêmement bien documentée sur l'histoire de la crête entre 1920 et 1957 , sur l'isolement des lépreux sur l'île de Spinalonga (qui se visite aujourd'hui) sur l'évolution des recherches concernant cette maladie et sur les progrès réalisés grâces aux traitements découverts, sur les différents aspect de ce mal s'insinuant dans le corps des individus, sur le comportement des populations à l'égard des gens qui en étaient atteints.
L'ensemble aisément lisible m'a captivée et j'espère bien augmenter ma PAL de quelques romans supplémentaires de Victoria Hislop.

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A vingt-cinq ans, Alexis est une jeune femme pleine de doutes et de questions par rapport à sa vie. Son histoire d'amour avec Ed, commencée il y a cinq ans, peine à trouver un nouveau souffle et se délite de plus en plus. Quant au voile qui enveloppe le passé de sa mère, il se fait chaque jour plus pesant et l'empêche de se construire…


Profitant d'un séjour en Crète, cette jeune anglaise décide de se rendre à Plaka, un petit village au nord de l'île qui a vu naître sa mère et en face duquel se trouve Spinalonga, une île connue pour avoir été le refuge d'une colonie de lépreux durant la première moitié du XXème siècle. En retournant sur la terre de ses ancêtres, elle espère ainsi résoudre les mystères qui entourent l'histoire familiale. Mais les découvertes qu'elle va faire aux côtés de Fotini, une ancienne amie de sa grand-mère, vont bien au-delà de tout ce qu'elle aurait pu imaginer…


« L'île des oubliés » est une grande saga familiale comme je les aime, avec des personnages forts et attachants, une intrigue très romanesque, empreinte de mystères et de rebondissements et un décor propice aux drames et aux tragédies.


Si l'histoire débute en 2001, avec le personnage D Alexis, très vite l'auteur nous propulse à la fin des années 30, aux côtés d'Eleni Petrakis, la grand-mère de la jeune femme, au moment où elle découvre qu'elle est atteinte de la lèpre et qu'elle doit quitter son mari et ses deux filles pour aller vivre sur Spinalonga. Loin d'être un mouroir pour malade, la petite île se révèle être un surprenant lieu de vie, plein de charme et de couleurs, dans lequel s'organise une véritable société.


Victoria Hislop brosse un portrait étonnamment lumineux de cette petite communauté qui, en dépit du fléau qui la touche et de son isolement, semble vivre presque normalement. le récit alterne donc entre Plaka, où grandissent la douce Maria et sa soeur Anna, et Spinalonga où se trouve leur mère. A travers l'histoire de ces trois femmes, c'est vingt ans de l'histoire de la Crète que l'on explore mais aussi le combat et la victoire des chercheurs contre une maladie vieille de plusieurs milliers d'années !


J'ai été enchantée de découvrir cette histoire méconnue et pourtant passionnante ! L'écriture fluide et agréable de Victoria Hislop sert parfaitement l'intrigue et les descriptions foisonnantes et réalistes nous plonge au coeur de paysages magnifiques et odorants. Les ficelles, bien que parfois un peu grosses, s'avèrent efficaces et rendent la lecture addictive et c'est avec regret que je quitte Maria et son père Giorgis… « L'île des oubliés », en plus d'être un témoignage historique poignant, est aussi un très beau roman sur l'importance des racines et de la famille. Une jolie découverte !


Challenge Variétés : Un livre de plus de 500 pages
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« Elle découvrait l'héroïsme derrière l'humiliation, la passion derrière la perfidie, l'amour derrière la lèpre.
Le voile avait été levé sur tout le passé et les blessures exposées à l'air libre pourraient enfin guérir. » Ces quelques lignes, traduites par Alice Delarbre, écrites par Victoria Hislop, lorsque L'île des oubliés arrive à son terme, rappellent l'essence même de ce roman hors normes, roman qui a obtenu et obtient encore une énorme audience.
J'ai adoré lire L'île des oubliés, texte magnifique, superbe lecture pleine d'enseignements qui m'a beaucoup appris sur la lèpre, le sort des lépreux au milieu du XXe siècle, ce qui n'est pas si loin de nous.
Au cours de ma lecture, j'ai pensé à Raoul Follereau qui avait demandé, en 1954, aux dirigeants des deux plus grands pays du monde (USA et URSS) qu'ils donnent l'argent que coûte un seul bombardier stratégique, ce qui aurait permis d'éradiquer totalement la lèpre de la surface de la Terre. Il n'a jamais reçu de réponse !
J'ai beaucoup aimé l'histoire de cette famille qui débute en Angleterre mai se poursuit ensuite en Crète, à Plaka et sur l'île de Spinalonga. Cette île fortifiée par les Vénitiens puis prise par les Turcs, a servi de lieu de réclusion pour les lépreux de Crète d'abord puis de la Grèce continentale ensuite, de 1903 à 1957.
C'est terriblement émouvant, cela arrache des larmes tellement Victoria Hislop a bien su rendre le terrible arrachement d'un malade aux siens tout en parlant des traditions crétoises où la religion tient une grande place.

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Magnifique roman que L'île des oubliés de Victoria Hislop, livre que je n'aurais sans doute jamais lu si je n'avais fait récemment un séjour en Crète où j'ai pu découvrir ce fameux îlot-forteresse de Spinalonga, situé face à Plaka. C'est là qu'étaient envoyés en exil, coupés du monde, les malades de la lèpre et ceci de 1904 à 1957.
Alexis, jeune anglaise de vingt-cinq ans, curieuse de ses racines, intriguée par ses origines grecques, tente une nouvelle fois d'interroger sa mère. Celle-ci a grandi en Crète, n'a jamais évoqué ce pays et a toujours éludé les questions sur ses parents ou sa famille, se retranchant dans le mutisme.
Cette fois-ci, cependant, sur l'insistance de sa fille, elle va lui remettre une lettre à destination d'une vieille amie d'enfance, Fotin, amie habitant Plaka, son village natal. Elle lui demande de raconter pour elle, à sa fille, son histoire familiale.
Pourquoi Sophia, la mère d'Alexis, a-t-elle si violemment rompu avec son passé ? Alexis a la ferme intention de lever le voile sur la déchirante destinée de ses aïeules et sur leurs sombres secrets.
C'est une histoire passionnante, tant au niveau romanesque qu'historique, qui est justement un bel équilibre entre les relations familiales, le contexte historique très, très intéressant et la culture crétoise dans toute sa diversité.
C'est une intrigue pleine de péripéties qui met en valeur l'amitié, l'amour, le partage, la solidarité, la loyauté mais aussi, malheureusement, l'abandon, l'exclusion, l'éviction, avec toute la cruauté que cela implique.
En résumé, ce roman très émouvant est un véritable plaidoyer contre l'exclusion et l'intolérance et un vibrant hommage à l'amour et à la paix. Il m'a passionné et je le recommande vivement.

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Coup de coeur de l'été 2012. Certes cette grande épopée familiale utilise tous les classiques de ce genre littéraire, des héros au caractère herculéen qui se relèvent toujours, une dose d'adultère, de secret, de tension, de richesse, d'héritage... Mais le tour de force de ce roman est son cadre : l'île de Spinalonga à l'histoire bien réelle. En effet cette saga familiale va servir de toile de fond aux péripéties des lépreux condamnés à vivre coupés du monde sur cette île, des destins brisés de leurs proches, le formidable sacrifice des médecins ne comptant pas leurs efforts et leurs heures pour essayer autant que possible de soulager ces malades, de trouver un vaccin. Victoria Hislop décrit avec brio cette île, je l'avais immédiatement dans mon imagination, me représentant ses rues, ses côtes, ses maisons.
Le point d'orgue de ce livre est le passage sur la seconde guerre mondiale où finalement les lépreux de Spinalogua de part leur "réputation" vont être épargnés par ce conflit.
Un très bon et beau moment de lecture, une évasion totale et en prime une dimension historique qui fait toute la force de ce récit puisque avant de le lire j'avais jamais entendu parler de cette île.
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Je n'avais encore jamais entendu parler de ce livre ni de son auteure avant qu'une amie ne tarisse d'éloges à l'égard des deux. Ma curiosité attisée, j'ai donc acquis ce livre (en "poche" et d'occasion, histoire de ne pas regretter, au cas où...).

Choisir un livre c'est comme se préparer à une fête. Et, peut-être l'avez-vous déjà remarqué, ce sont souvent les fêtes que l'on attendait le plus (le trop...?) dont on ressort avec un sentiment mitigé. Cela s'est, pour ma part, vérifié avec ce livre.

Une ponctuation souvent approximative, de nombreuses répétitions et une certaine redondance dans les tournures de phrases, les descriptions, le pourquoi des événements, ont quelque peu alourdi la lecture de ce roman.

Je n'ai pas trouvé, dans son écriture, ce petit "truc" qui fait que l'on est embarqué sans réserve dans une histoire. Ce petit plus qui fait toute la différence entre un moment agréable et un moment inoubliable.

Lecture agréable, donc - ne serait-ce que par son histoire intéressante - mais dont l'écriture, de mon point de vue, manque notablement de saveur et de style.
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