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Samedi, alors que ma fille empruntait la petite princesse Sara en manga, mes yeux se sont portés sur cette belle édition mise en avant sur une étagère. Je ne pouvais que le prendre et le dévorer.
Princesse Sara, je l'ai lu en roman quand j'étais petite et je l'ai aimé en dessin animé. Je l'ai regardé encore cet après midi avec ma fille (on l' a en DVD et il passe sur netflix). Et j'ai encore pleuré à chaudes larmes (bon c'est l'épisode où elle apprend que son cher papa est décédé et qu'elle n'a plus rien).
Alors oui Princesse Sara je l'aime !!!

Cette édition est juste sublime. Très poétique.
Je n'ai jamais autant ressenti la solitude de Sara que dans cette version.
Un bel ouvrage pour découvrir l'histoire de Sara.
Le papa de Sara travaille aux Indes. Il confie l'éducation de Sara à un pensionnat de jeunes filles dirigé par Mme Mangin. Sara est une petite fille intelligente et cultivée qui aime lire et a beaucoup d'imagination. Malheureusement son papa décède et se trouve ruiné. Sara n'a plus de famille. La petite est alors gardée au pensionnat en échange d'un travail difficile. Mais Sara est une belle âme qui se réfugie dans l'imaginaire pour faire face à l'adversité. Courageuse, Sara est aussi généreuse et n'hésite pas à aider ceux qui sont dans le besoin alors qu'elle même est fort démunie.
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Je viens de lire ce court roman. Je l'ai lu d'une traite! Il s'agit d'une oeuvre de mon enfance...
Ici, il est question de la première version de "Petite princesse"...
D'une écriture un peu plus condensée que dans les versions plus récentes, ce roman se lit vite. Se dévore, devrai-je dire...
les superbes illustrations de Nathalie Novi aident à faire rêver le lecteur et à le plonger dans un autre univers - comme dans l'un de ceux qu'invente Sara, qui révèle aussi des talents de conteuse d'un about à l'autre du roman.
Elle fait souvent appel à la "magie" et continue à tenter de voir la beauté dans l'adversité. Elle fait toujours preuve de courage quoiqu'il lui en coûte.

Même si son existence change du tout au tout, elle tient à garder sa bonne éducation première... Son indépendance d'esprit ne plaisent pas à tous et parfois elle doit prendre sur elle et garder sa maîtrise d'elle-même face aux rebuffades et aux difficultés rencontrées.
En dépit des aléas de sa vie, Sara reste courageuse et lucide. Tout en restant gentille et dotée de bonnes manières...Toutefois elle reste envers et contre tout une "Petite Princesse" bonne, généreuse; elle continue à faire preuve de bonne éducation quoiqu'il arrive, en dépit de la faim, de la misère et des ennuis...

Sa grand imagination l'aident à se réfugier dans un autre monde plus doux. Et parfois le rêve prend le pas sur la réalité...

Challenge Guerre des Clans
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J'aime lire et relire Petite princesse, lu et relu dans différentes versions un nombre incalculable de fois...

J'aime me glisser à nouveau dans la peau de cette petite fille qui arrive en calèche à Londres avec son père. Ceux-ci devisent à propos de l'éducation de Sara, qui devra se dérouler en Angleterre, loin de l'Inde où elle est née... le climat de l'inde est mauvais pour les enfants et il est nécessaire d'aller vivre en pensionnat. Mais le père de Sara ne renonce qu'à regret à la compagnie de sa fille.
En effet, Sara est une délicieuse petite personne. Bien qu'entourée et entourée d'attentions, elle reste gentille et modeste et s'efforce de rester toujours comme une princesse dotée de bonnes manières. Elle adore faire "comme si" et raconter des histoires où elle développe son imagination débordante.

Elle est trop gâtée, entourée par un père qui l'adore... et elle aurait pu devenir insupportable, cela dit. Vêtue de vêtements extravagants, de fourrures et de dentelles, elle a un joli salon en plus de sa chambre, elle dispose de sa propre femme de chambre et elle a même son propre poney; elle risque de devenir encore plus riche désormais, héritière de mines de diamants... Mais la vie en décide autrement. Elle a déjà perdu sa mère à sa naissance et son père disparaît également, à cause d'une fièvre maligne, la laissant seule et ruinée.
Toute sa (bonne) fortune a également disparu!
Comme elle de retrouve sans le sou, Miss Minchin, la directrice du pensonnat, méchante, avare (et rabougrie ai-je envie de dire!) décide de l'employer comme domestique corvéable à merci.... en attendant d'en faire une maîtresse sous-payée.
Autant Sara garde sa bonne éducation en dépit des aléas du sort, autant la méchanceté de certaines apparaissent au grand jour: Miss Minchin décide de l'exploiter au maximum. Au fonds elle n'apprécie guère la caractère indépendant de Sara, intelligente et belle avec ses grands yeux verts... Sara semble étrange avec sa liberté de pensée qui semble de l'impertinence à la directrice qui lui fait bien payer la richesse de sa personnalité et de son passé.

La vie de Sara change du tout au tout désormais... Mais elle s'efforce de toujours agit avec distinction, comme si elle était toujours une petite princesse. Même si elle a tout perdu, elle garde ses bonnes manières, ... et sa personnalité... qui lui avaient déjà attiré l'attention d'autres personnes autour d'elle. Mais elle doit faire face à l'inimité et à la jalousie de certaines pensionnaires qui lui font bien payer son ancienne bonne fortune... et sa bien bonen fortune actuelle!
Elle doit affronter la faim et le froid; elle doit désormais dormir dans la mansarde, sans feu, sur un lit dur... Quelques amies l'aident dans ses épreuves (la petite Lottie et Ermengarde, un peu limitée mais avec un grand coeur)...
... Mais elle est bien seule malgré tout. IL ne lui reste que Betty, la fille de la mansarde d'à côté: elle imagine qu'elles sont deux prisonnières du temps de la Révolution Française...

La magie de son imagination l'aide aussi à imaginer qu'elle aurait un bon feu auprès d'elle, un lit confortable et douillet, et qu'elle mangerait un bon souper chaud et réconfortant...

Toutefois la faim se fait souvent sentir. Elle a parfois à peine la force de franchir les étages qui la mènent dans "ses appartements": sa mansarde miséreuse?
Sa vie connaît des péripéties et elle rencontre par hasard un domestique hindou: celui d'un voisin qui a vécu lui aussi en Inde lui aussi... ceux-ci la prennent en affection...
Au bout de deux ans, la vie change à nouveau. C'est comme si la "magie" opérait d'elle-même, comme si les rêves prenaient le pas sur la réalité et prenaient vie à leur tour... Sa mansarde prend un tour accueillant, doté d'un bon lit, avec une cheminée avec un bon feu, et même un vrai dîner chaud et qui lui redonne des forces...

A la fin du livre, tout se termine bien, fort heureusement pour Sara, qui est restée une petite princesse malgré les épreuves rencontrées...
En conclusion, il arrive que les rêves deviennent réalité.


Challenge Roman ado: Guerre des Clans
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Princesse Sarah, c'est toute mon enfance, un générique que j'ai encore en tête et un dessin animé que je me plaisais à regarder. Je ne m'étais jamais penchée sur l'origine de cette histoire mais quand j'ai su que la talentueuse Nathalie Novi en proposait l'illustration dans la très belle collection de classique de la littérature jeunesse dirigée par Benjamin Lacombe, j'ai forcément sauté sur l'occasion.

Nathalie Novi est une illustratrice singulière, qui a un univers poético-romantique dans le plus pur style XIXe. J'ai adoré la découvrir chez Tibert dans son illustration de deux de mes romans préférés : Jane Eyre et Les Hauts de Hurlevent des soeurs Brontë. Il se dégageait de ses dessins un charme entêtant, assez solitaire et étouffant, qui correspondait bien à la noirceur de ces titres. Elle récidive ici.

Dans cette très belle édition, Albin Michel Jeunesse nous propose de redécouvrir le texte original du classique de Frances Hodgson Burnett, autrice pour la jeunesse de la fin du XIXe siècle. Ce texte aura connu plusieurs versions mais nous sommes ici au plus proche de l'original, comme l'explique l'éditeur dans une postface fort instructive. Mais surtout cette version assez dure et sombre du texte correspond très bien au style de l'illustratrice. L'objet livre est magnifique, comme tous ceux de la collection, avec ce dos et cette reliure assorti, ce beau papier du plus bel effet, et ce chapitrage qui a un petit effet vieux livre. J'ai adoré !

Pour ce qui est du texte, on est par contre sur quelque chose de plus exigeant que je ne mettrais pas entre les mains de n'importe quel enfant à l'heure actuelle. C'est plus une histoire qui se prête à être lue par un adolescent car elle est un peu âpre avec son héroïne isolée, au très beau destin au début, mais qui vire vite au tragique.

Pour qui connaît le dessin animé, pas de surprise, on y retrouve les grandes lignes de celui-ci ici. Sauf que les touches un peu positives et lumineuses sont longtemps absentes du texte. Exit la petite Loti ou le gentil petit ramoneur, exit les quelques gentils membres du personnel de la pension aussi. Non, nous nous retrouvons plutôt avec une héroïne très seule, confrontée de plein pied à sa misère et ce drame, inédit pour elle.

Pour autant, ce n'est pas un texte trop sombre non plus. Même si Sara a peu d'interaction avec les autres et qu'un sentiment d'enfermement progressif dans la réalité peu gagner le lecteur, ce n'est que pour mieux souligner la puissance de l'imagination de l'héroïne. En effet, pour sortir de son malheur celle-ci a un imaginaire très riche, couplé à une belle force de caractère. Ainsi, peu à peu, on la voit se créer son propre monde lumineux et faire de belles rencontres également. C'est donc une belle histoire émouvante qui se noue sous nos yeux.

Le texte cependant est court. L'ouvrage ici avec ses nombreuses illustrations fait moins de 100 pages. L'écriture est un peu sèche, comme si elle manquait de gras, de matière. Ce n'est peut-être plus le cas dans les version ultérieure mais nous ne les avons pas dans l'ouvrage présent. On nous mentionne juste leur existence avec des aventures et personnages supplémentaires présents dans celles-ci.

Princesse Sara présente donc une alliance magique entre texte et dessins pour découvrir ou redécouvrir un classique de la littérature anglaise, pour une autrice qui a aussi commis le jardin secret ou le petit lord Fauntleroy (aussi adapté en animé). J'ai beaucoup aimé la beauté tragique de son histoire, ce qu'elle dit du traitement de la pauvreté par certains et de la force d'autres pour en sortir. On est loin de l'ambiance du dessin animé où tout est plus enjolivé, ici on est face à une réalité plus brutale, malgré la grande part faite au bel imaginaire de l'héroïne pour alléger celui-ci. C'est une belle découverte pour ce texte court écrit pour les enfants à l'origine. Un beau classique dans un bel écrin.
Lien : https://lesblablasdetachan.w..
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Il s'agit d'un grand classique de Frances Hodgson Burnett publié en 1888, illustré par Nathalie Novi. Ce classique fait partie de la collection des classiques illustrés dirigée par Benjamin Lacombe.

Loin de la série animée découverte lors de mon enfance, dans le roman Sara mène une vie solitaire. Malgré tout, son monde intérieur, ce qu'elle appelle ses "suppositions" est extrêmement intense, riche et coloré, ce qui l'aide à survivre aux privations et maltraitances qu'elle subit au quotidien.

On découvre Sara Crewe, passée subitement de riche héritière d'un père ayant fait fortune en Inde à une orpheline sans famille et sans argent. Mais en dépit de ce statut, Sara nous démontre une grande force de résilience, elle parvient à endurer ce qui lui arrive du mieux possible et continue à espérer et à croire à un avenir possible. On suit néanmoins ses moments de désespoir et de tristesse.

J'ai été particulièrement touchée par sa bonté et sa générosité lorsque, en trouvant 4 pence, elle les dépense pour acheter cinq brioches et en offre quatre à une jeune enfant qui a l'air encore plus affamée qu'elle.

Les illustrations de Nathalie Novi permettent de renouveler l'histoire classique datant du 19e siècle. Nathalie Novi a choisi notamment de représenter le monde tel qu'elle pense que Sara l'imagine ou plutôt le suppose. Il s'agit d'un monde aquatique coloré, plein de fleurs de nénuphars et de couleurs, dans lequel Sara émerge ou coule selon son humeur, tout en s'inscrivant dans la réalité du XIXe siècle et sur fond de colonialisme.

Découvrir le roman classique avec ces illustrations a apporté une profondeur supplémentaire à l'histoire. C'était une très belle lecture pleine d'immersion et de fantaisie.

Lien : https://www.instagram.com/p/..
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Petite, j'étais complètement fan du dessin animé Princesse Sara même si son côté beaucoup trop bon m'agaçait souvent.
Mais, je n'ai jamais lu le livre à l'origine du dessin animé. Alors quand ce classique est réédité avec les illustrations de Nathalie Novi dont j'adore l'univers, je ne pouvais que me lancer.
J'ai découvert une autre Sara. Alors qu'elle est dans un pensionnat pour jeune fille issue de famille de l'aristocratie anglaise, Sara apprend le décès de son père alors qu'elle était déjà orpheline de mère.
Elle est autorisée à rester dans le pensionnat car la directrice voit en Sara les économies d'enseignant qu'elle pourra faire par la suite en gardant dans son pensionnat cette jeune fille douée en langue. Sara connaîtra l'isolement, le manque et surtout la faim.
J'ai découvert un personnage espiègle, lucide, critique par rapport aux gens qui l'entourent, qualifiant les jeunes filles du pensionnat parfois de sotte. Sara se réfugie dans les livres, les histoires qu'elle aime tant et réussit à se construire un monde, un refuge.
J'ai adoré cette autre Sara qui reste honnête et bonne sans être dupe ni naïve et sait faire preuve de répartie souvent bien méritée envers la directrice du pensionnat.
Cette redécouverte du personnage et les magnifiques illustrations de Nathalie Novi avec son univers fleuri et coloré qui viennent relever l'histoire émouvante ont fait de cette lecture un réel plaisir.
La moindre illustration est sublime et pleine de délicatesse que ce soit sur une page ou dans la mise en forme autour du texte, j'étais en admiration avec ces illustrations pleines de finesse et d'élégance.


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J'ai un mot un dire : Magnifique ! J'ai lu les BD Princesse Sarah , avec des dessins incroyable, mais dans cette BD, c'était différent. La qualité du dessin se ressent , et nous voyons l'histoire sous un angle très différents ! Merci pour cette édition d'avoir repris cette histoire ! je vous conseille !!
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Sara Crewe arrive à Londres après avoir grandie aux Indes. Son père, soucieux de son éducation, la place dans un Pensionnat aristocratique de jeunes demoiselles dont il a entendu dire beaucoup de bien. Avec ses manières élégantes et sa richesse, Sara devient le faire-valoir de la directrice, Miss Minchin. Mais lorsque le père de la fillette vient à mourir, la laissant orpheline et sans argent, le destin de l'enfant prend un tournant tragique. Sara devient domestique, pour ne pas dire esclave, et atterrit sous les toits, dans une mansarde insalubre et glacée. Seule et victime de toutes les privations, elle ne doit son salut qu'à la compagnie de sa poupée, Emily, et à son imagination qui lui permet de s'évader grâce au jeu « supposons que ».
Princesse Sara a marqué mon enfance par son adaptation pour la télévision par le studio japonais Nippon Animation, à qui l'on doit d'ailleurs un grand nombre d'adaptations de classiques de la littérature jeunesse. Par la suite j'avais également lu le roman de Frances Hodgson Burnett. C'est donc avec plaisir que j'ai découvert sa sortie dans la collection des classiques illustrés, dirigée par Benjamin Lacombe aux éditions Albin Michel, par l'intermédiaire du blog Les Blablas de Tachan. Plaisir d'autant plus grand que c'est Nathalie Novi qui est en charge de l'illustration et que j'aime tout particulièrement son travail.
Les illustrations couleurs et les crayonnés rappellent beaucoup son travail sur Jane Eyre (Tibert éditions) par la profondeur qui se dégage des personnages ainsi que par le jeu des couleurs et des perspectives. On retrouve également de nombreux motifs fleuris et animaliers comme dans l'ensemble de son oeuvre, ainsi que quelques peintures sur carte géographique qui renforcent le sentiment d'immersion et l'encrage du récit. La couverture n'est pas en reste et donne le ton d'un récit poétique et désuet qui révèle la nature humaine dans ce qu'elle a de plus sombre, en opposition à l'imagination et à l'innocence propres à l'enfance.
Comme nous l'apprenons dans la postface, le texte retenu pour cette édition illustrée est celui de la version initiale publiée en feuilleton dans le mensuel américain pour enfants St. Nicholas Magazine en 1888. Plus tranché, le texte se suffit de l'essentiel et se voit démunie de ce qui fait la richesse du roman, plus étoffé et enrichi de nombreux personnages secondaires, figures amicales qui apportent un peu de tendresse au quotidien de Sara. Dans cette première version, le lecteur se confronte, aux côtés de Sara, à la cruauté d'un monde dirigé par l'argent et la cupidité, un monde dans lequel des adultes laissent mourir les enfants qui ont eu le malheur de se retrouver orphelin.
Princesse Sara est un très beau récit servi par une plume dramatique et touchante qui dénonce le sort réservé aux plus pauvres tout en étant porteuse d'espoir. Sublimé par les illustrations d'une artiste qui place l'enfance au coeur de son oeuvre, le texte de Frances Hodgson Burnett s'inscrit dans la pure tradition des classiques jeunesse du XIXè siècle. Il est ici valorisé par le format de l'édition qui en fait un objet-livre à avoir et à offrir.
Lien : https://sirthisandladythat.c..
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Être une princesse c'est par la richesse du coeur et non celle des diamants !!
Retrouvez l'émouvante histoire de la petite Sarah qui passa de riche héritière à celle de domestique dans la misère. Cette courageuse petite fille fera preuve d'une force à toute épreuve et d'une bienveillance sans borne. À découvrir ou à re-découvrir !!
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🌊Citation: « À douze ans la fillette était arrivée à cette conclusion que tous ses chagrins étaient venus de ce qu'elle-même ne répondait pas aux promesses de cette inscription, c'est-à-dire de ce qu'elle n'était pas de naissance aristocratique, et puis de ce qu'elle n'était pas une « jeune demoiselle ». »🧋

Je ne connaissais pas du tout l'histoire de Princesse Sara.

Je suis trop « jeune » pour l'avoir vu en dessin animé quand j'étais petite. C'est donc une découverte entière pour moi.

Ce livre reprends donc l'histoire de Sara, une jeune fille née en Inde, que son père, un militaire britannique, renvois en Angleterre à contrecoeur. La mère de Sara est décédée et la chaleur de l'Inde la rends faible et malade. Son père l'accompagne donc en Angleterre et la fait rejoindre un pensionnat « pour jeunes demoiselles aristocratiques ». Sara n'est pas aristocrate, mais son père à de l'argent et de ce fait la directrice l'accepte.

Un jour son père décède et Sara ce retrouve donc orpheline sans famille et pauvre. Son père à malheureusement perdu tout son argent.

À partir de là la vie de Sara va dramatiquement changer, elle va vivre une vie dans la plus complète désuétude. Elle aura faim, ne sera pas heureuse. Par chance Sara a une imagination très puissante et grâce à cela elle va s'en sortir.

Elle va se persuader qu'elle est une princesse en haillons et de ce fait elle doit être polie même si on est méchant avec elle. Donner aux autres qui ont plus faims qu'elles.

Sara est d'une intelligence et d'une bonté sans noms et elle touchera le coeur de plusieurs personnes dans la ville où elle vit.

Je ne peux pas vous en dire plus sans vous dévoiler la fin et ce serait vraiment dommage.

J'ai beaucoup aimée cette histoire c'est doux, c'est positif et bien que Sara souffre on ne souffre pas on est porté par sa confiance en elle. On s'attache énormément à cette petite qui mérite le bonheur. 🎏
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