Alex Rider, tome 2 : Pointe blanche

Alex Rider est sans conteste une série de roman d'aventure très prenante. Même si quelques détails semblent peu probables, il est facile de rentrer dans le jeu. de plus, le texte, relativement bien écrit est complexe et les intrigues intéressantes. L'auteur, tout en écrivant à la troisième personne, arrive avec talent à nous faire ressentir les émotions du personnage et à « rentrer dans sa peau ».

Bref, coup de coeur, je vous le conseille…
Source: Literrado

Lien : https://aquabulles.camelus.eu

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Cette fois ci nous voilà dans une nouvelle aventure qui est également peu vraisemblable !
Mais Alex qui n'a pas d'ami pour l'instant ( sa vie est trop différente de celle des garçons de son âge ) va découvrir la vie dans un pensionnat bien enneigé. Je trouve amusant de se laisser entraîner dans des péripéties qu'il parvient à surmonter avec courage , peut être parce qu'il ne se pose pas trop de questions ...
Et si je ne m'en pose pas trop non plus je pourrais bien lire les tomes suivants ! parce qu'on est loin de s'ennuyer dans ce monde-là !

Après avoir bossé contre son gré pour le MI6, Alex Rider se sent un peu vide à son retour à la vie normale... le retour à la vie quotidienne impliquant aussi de voir ce qui n'y va pas, comme un camarade de classe devenu accro. Alex se retrouve à suivre son dealer et découvrir le labo, qu'il veut mettre hors d'état. S'ensuit une manoeuvre assez spectaculaire, qui va plonger Alex dans l'embarras judiciaire... Dont va le tirer le MI6 pour mieux l'utiliser après: Il doit mener une enquête dans un pensionnat français où sont envoyés les fils rebelles des plus riches et influentes familles mondiales. Lesdites familles connaissant alors une importante mortalité des parents... Que se passe-t-il vraiment à Pointe Blanche?

Horowitz signe un second tome d'Alex Rider aussi efficace que le premier, avec introduction très cinématographique, pas mal d'action (on n'imagine pas ce qu'on peut faire avec une péniche, type même du bateau popote! - ou de la descente de pente neigeuse plus classique), méchant du type savant fou nazi, et enfin conclusion ambigüe (mais bon, pas tant que ça vu qu'il y a d'autres tomes d'Alex Rider, héhé)

Pour les fans d'Horowitz qui auraient déjà lu son roman L'île du crâne, le climat du pensionnat alpin rappelera beaucoup l'ambiance de Groosham Grange, en moins horrifique peut-être, mais tout aussi claustrophobe et paranoïaque.
A noter que ce même roman, l'île du crâne, datant de 1993, était un roman que beaucoup de gens ont fortement soupçonné d'avoir servi d'inspiration à Rowling pour sa saga débutant en 1997... D'ailleurs, le rapide passage d'Alex dans une famille pour lui servir de couverture dans son enquête se clôt par une scène amusante sur l'effet soporifique de Harry Potter. Hasard? je ne crois pas! Pique en forme d'hommage ou l'inverse? Je vote pour les deux! ;-b

On ne présente plus Anthony Horowitz, probablement le meilleur auteur d'aventures à suspense pour la jeunesse qui nous soit donné de lire. Son héros emblématique, l'adolescent Alex Rider, est passé à la moulinette de péripéties toutes plus extravagantes les unes que les autres.
Pointe Blanche ne déroge pas à la règle et nous embarque d'un bout à l'autre de l'enquête sans nous faire lâcher le livre des mains.
Infiltré dans un établissement de "remise à niveau" pour enfants de clients richissimes et influents, Alex met au jour les véritables desseins du docteur Grief. Un james Bond en culottes courtes contre un avatar du professeur Frankensteinen en quelque sorte...
La narration, haletante de bout en bout, ne laisse strictement rien au hasard: la moindre description d'un élément de décor, par exemple, est annonciateur d'actions et de développements ultérieurs.
Tintinophile notoire, Anthony Horowitz n'a pu s'empêcher de glisser une discrète et subtile allusion à l'aventure lunaire de Tintin (page 218).

De la bonne littérature de jeunesse: un héros jeune Alex Rider, quatorze ans, enrôlé contre son gré par les services secrets britanniques le MI6, un peu James Bond sur les bords. Même si tout n'est pas vraiment possible dans le monde réel, je me suis laissée emportée par cet adolescent charismatique qui a de multiples talents et qui ne peut compter que sur lui-même la plupart du temps! Dans ce tome 2, Alex infiltre une école dans les Alpes, Pointe Blanche.

Excellent tome 2 des aventures d'Alex Rider. C'est une saga que j'avais adoré quand j'étais ado, et suite à la série (qui est vraiment super) j'ai décidé de relire tous les tomes. Verdict : c'est toujours aussi bien et ça fait plaisir de se replonger dans cette saga de romans qui a bercé mon enfance !

Nous retrouvons dans ce second tome le jeune Alex Rider, agent du MI6. Alors que le garçon était persuadé ne plus rien avoir à faire avec ces agents secrets, il se retrouve embarqué dans une nouvelle mission alors qu'il tentait juste
à faire ce qui lui semblait juste.
Cette fois-ci, il doit se faire passer pour le fils d'un homme richissime qui l'envoi dans un pensionnat suite aux problèmes de son adolescent. Son objectif est d'observer les lieux afin de comprendre pourquoi deux hommes, qui avaient envoyé leur fils dans le pensionnat, sont morts dans des circonstances étranges.
Alex qui, secrètement avait l'espoir de reprendre du service, n'hésite pas longtemps avant de se lancer dans cette nouvelle aventure.

Ce second opus est tout aussi captivant que le premier. Anthony Horowitz n'hésite pas à malmener ses protagonistes pour le plus grand plaisir des lecteurs. Alex Rider ne cesse de mettre sa vie en danger afin de protéger les autres. Bien qu'il n'ait que 14 ans, Anthony Horowitz n'a pas la moindre hésitation à lui imposer de nombreuses souffrances.
Une chose également appréciable avec ce tome, c'est la légère pointe d'humour qui est propre à Alex Rider. Cela permet d'alléger, même légèrement, l'atmosphère dans lequel Alex vit.

Bien qu'il ne s'agit que de sa deuxième mission, Alex n'a rien à envier aux plus grands agents secrets. C'est un véritable casse-cou qui pense aux autres avant de penser à lui. C'est un jeune homme de 14 ans vraiment mature ce qui le rend attachant !

Un second tome à la hauteur des espérances des lecteurs !

Un héros ado autrement plus crédible que ses ollègues de Cherub à mon goût, et dont les aventures sont mieux écrites et/ou mieux traduites. Il y a de l'hémoglobine, attendre un peu avant de lancer les jeunes enfants à la suite d'Alex Rider, adolescent espion de 14 ans.

New-York,
Le milliardaire Michael J. Roscoe s'imaginait être en sécurité entouré d'anciens agents du FBI, dans sa voiture blindée et dans ses bureaux aux portes ultra sophistiquées avec détecteurs d'empreintes. Mais Roscoe meurt en tombant d'une cage d'ascenseur trafiquée par le Gentleman, un tueur à gage au service du plus offrant. La mort se voudrait être un accident, toutefois des doutes sont émis du côté des services secrets du MI6 qui étaient en contact avec lui pour une affaire concernant son fils Paul.

Londres,
De retour dans son collège après deux semaines d'absence, Alex Rider se découvre étranger à tout ce qui faisait sa vie avant son enrôlement forcé dans les services secrets et l'assassinat de son oncle. Alors que tout le monde le pensait terrassé par la grippe au fond de son lit, il était à déjouer le complot d'un riche industriel mégalomane.
Mais très vite, suite à une petite bêtise qu'il commet en arrêtant des trafiquants de drogue, Alex se retrouve à nouveau face à Mr Blunt le directeur des opérations spéciales du MI6 qui lui demande d'effectuer une deuxième mission.
Cette fois-ci, Alex doit se faire passer pour le fils rebelle de Sir David Friend un riche homme d'affaire, et intégrer un pensionnat français à la frontière Suisse, le château de Pointe Blanche.
Suite à l'assassinat de Roscoe, c'est au tour d'un ex membre du KGB et chef des services secrets Viktor Ivanov de mourir dans l'explosion de son bateau. Un lien réunissait les deux hommes, leurs fils Paul et Dimitri, tous deux élèves dans la même école qui reconditionne les enfants récalcitrants des hommes les plus influents du monde.
Après une semaine dans la famille de Sir David pour s'imprégner de son rôle, Alex s'envole dans un hélicoptère avec Mme Stellenbosh, l'adjointe du Dr Hugo Grief, le directeur de Pointe Blanche, qui le mène dans cette forteresse perdue dans la montagne. Vieille institution qui fut tour à tour un château, un asile pour aliénés et la demeure de vacances pour des dirigeants nazis, ce fief gardé par des hommes armés devient une prison.
A peine arrivé, Alex comprend que sa mission va se révéler très compliquée… Et ce ne sont pas les simples gadgets de Mr Smithers qui vont l'aider à s'en sortir !
Qui est Grief et quel est son but ?

Sans vouloir dévoiler la trame de l'histoire, sachez qu'Alex va être confronté à un médecin, adepte des théories aryennes sur une race pure, qui a travaillé toute sa vie sur le génome et le clonage.
Avec un héros aussi courageux et sympathique, un méchant horrible et une intrigue bien menée, pleine d'action, cette suite est un épisode bien plus intéressant que le précédent et augure d'une série qui captivera le jeune lecteur.
Alors… à suivre !

Alex Rider est un personnage sympathique, attachant qui évolue à chacune de ses missions, perdant un peu de candeur de l'enfance à chaque fois qu'il se glisse dans la peau d'un agent secret. Trahison, chantage, révélations, rien ne lui sera épargné. Une lecture idéale pour les vacances. Par contre si vous avez aimé la série, je vous déconseille vivement l'adaptation tout à fait grotesque qui a été faite de Stormbreaker au cinéma