“ Le coup de foudre d’Austerlitz avait terrassé l’Autriche, mais le Tsar, si découragé qu’il fût, n’avait fait aucune ouverture de paix, et la Prusse, malgré les efforts pacifiques du comte de Haugwitz, gardait une attitude équivoque. Et il y avait encore, il y avait toujours l’Angleterre. Les huit premiers mois de l’année 1806 se passèrent en multiples négociations officielles ou secrètes entre les cabinets et les cours. En attendant, Napoléon maintenait dans les v...
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