Jacques Ibanès a choisi de "mettre debout tous les poèmes" pour feuilleter le catalogue du monde.
Entre l'évocation du chaos originel qui ouvre le livre et l'image du corps inerte de l'ami d'où a déserté la vie qui le clôt, défilent la cohorte de bêtes et le charroi des arbres, l'explosion des couleurs du monde et la marche des saisons.
Jean Métellus a écrit à propos de ces textes: " Manifestement l'auteur croit aux mots, ce qui est une suprême valeur ... >Voir plus