Les maîtres inquisiteurs, tome 6 : À la lumière du chaos

Il y a plusieurs manières de provoquer la guerre. Semer des motifs de querelles entres les maisons est un bon début, puis on appauvrit des régions, ce qui provoquera forcément des soulèvements populaires. Ensuite, on tue ceux qui œuvrent pour la justice mais surtout on finit par se débarrasser de ceux qui travaillent à stabiliser le pouvoir.

On ne peut se fier qu’à une seule chose : la magie !

Le sage ne se réjouit pas de devoir donner la mort à son ennemi. Il le fait quand il n'existe plus aucune option.

La paix et la justice n’intéressent pas tout le monde. Certains leur préfèrent la guerre…

Il y a toujours un moyen de vaincre. Même l’invincibilité.

- Charles possédait deux choses qui te font cruellement défaut Hubert. De la patience et une sens inné de la bienséance, peut-être même une vague idée de ce qu’est le respect.
- Il est jeune, Lot. Il apprendra à feindre tout cela.

"_Tu as réponse à tout, Maître Jardiner.
_C'est la vie qui a réponse à tout car elle nous enseigne que même dans les pires moments, il y a toujours une solution."

"_[...] Elle ne lui a pas donné le choix.
_On a toujours le choix, Maître Sasmaël. Encore faut-il être capable de faire le bon."

"_Patience, Obeyron, je vous sens tendu. Le sage sait attendre quand il a envisagé toutes les possibilités et qu'il constate son impuissance."

"L'inquisition est une hérésie. Chaque peuple doit être libre de ses coutumes et de ses rites, vouloir imposer une justice universelle est une atteinte au droit de chaque maison."