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Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Énième roman de Christian Jacq consacré à l'Égypte ancienne, « La reine soleil » met cette fois sur le devant de la scène une figure féminine emblématique de la XVIIIe dynastie, Akhésa, fille d'Akhenaton et Néfertiti, et épouse du célèbre Toutankhamon. Outre la vie mouvementée de cette jeune princesse, c'est toute une partie de l'histoire de l'Égypte du XIVe siècle avant JC que l'auteur entreprend de nous narrer. Il faut dire que l'époque est riche en bouleversements, entre les règnes successifs de Toutankhamon, d'Aÿ et du général Horemheb, les bouleversements d'ordre religieux causés par l'adoration démesurée vouée par le précédent pharaon au dieu Aton au dépend des autres divinités égyptiennes, l'expansion territoriale plus que conséquente du royaume et les questions de politique extérieure qui en découle...

Pas le temps de s'ennuyer donc, même si l'on retrouve comme toujours les mêmes défauts que dans les autres romans de l'auteur, notamment des rebondissements beaucoup trop prévisibles et une intrigue qui aurait mérité d'être davantage étoffée car parfois un peu trop simpliste. Avec « La reine soleil » l'auteur innove malgré tout du côté des personnages, pour une fois loin des figures hiératiques et presque désincarnées auxquels il nous a malheureusement souvent habitué (dans la trilogie de « La reine liberté » notamment). Akhésa est une jeune femme que l'on prend plaisir à suivre et les personnages secondaires gravitant autour d'elles sont particulièrement bien réussis, le général Horemheb en tête. Un bon roman donc, proposant une réécriture d'un pan de l'histoire égyptienne convaincante.
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Je n'étais pas sans ignorer l'incroyable talent de Christian Jacq, égyptologue de formation, à nous faire revivre la terre des pharaons. En effet, plus jeune, il m'avait déjà séduite avec « La Reine liberté ». Cela fait au moins deux ans, si ce n'est trois que j'avais la « Reine soleil » dans mes affaires. Pourtant, ce n'est que maintenant que je ne m'y suis plongée.

L'histoire débute pendant le règne d'Akhénaton, le pharaon maudit, et de sa femme Néfertiti. L'Egypte traverse une mauvaise passe : le règne du pharaon touche à sa fin, celui-ci se détourne du pouvoir, lui préférant la religion, et même sa femme, la belle Néfertiti, semble se moquer de la politique.

C'est à ce moment-là que l'une des six filles du couple émerge de l'ombre. Elle a quatorze ans, est belle et ambitieuse. Elle s'appelle Akhésa. Elle a le profil d'une reine. Elle sera la femme de Toutankhamon.

Au début, j'ai eu du mal à me plonger dans ce récit alourdi par de nombreuses descriptions pourtant nécessaires, et par le ton souvent bien trop emphatique de l'auteur, qui insiste bien trop souvent sur la beauté de l'héroïne ou utilise de biens grands mots quand des termes moins hyperboliques seraient recommandés. Néanmoins, on finit par se laisser prendre. Politique, amour et religion, voilà ce que nous propose ce roman de Christian Jacq qui nous décrit un Toutankhamon désespérément attachant, et nous attendrit avec son histoire d'amour avec Akhésa, dont le courage final nous éblouit et efface l'agacement qu'elle a pu provoquer au début (trop belle, trop jeune, trop brillante, trop parfaite !).Un sacré portrait de femme, tout de même !

Christian Jacq, pour nous, parvient à ressusciter l'Egypte des pharaons et nous donne envie de voyager. C'est une plongée dans le quotidien d'un autre temps que nous propose ce livre bien fait, suffisamment romancé pour être passionnant, et suffisamment basé sur le réel pour être édifiant.
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Le règne du pharaon renégat, Akhenaton (en français : « celui qui rayonne pour Aton »), est sur le déclin. Sa femme, la belle et célèbre Néfertiti (« la belle est venue »), refuse de le revoir, il s'est enfermé chez lui depuis plusieurs jours pour écrire un long poème sur la splendeur de son dieu, ses hommes de confiance complotent contre lui et les colonies de l'Égypte se révoltent contre ce pays dont la puissance s'affaiblit.
Reniant les croyances millénaires de son peuple, il a apporté de nombreux changements, aussi bien dans la religion que dans l'art : de nombreuses fresques dépeignent la vie du monarque dans le cadre familial en train de jouer avec ses filles ou d'embrasser sa femme et l'architecture évolue (le concept étant de faire en sorte que les rayons d'Aton puissent entrer à l'intérieur des bâtiments).
Mais rien ne semble permettre à l'évolution des moeurs de persister. Chacun est conscient qu'une fois Pharaon mort, les Égyptiens abandonneront Aton pour retourner à leurs anciennes divinités. Thèbes redeviendra la capitale et Akhetaton, la cité de la lumière, sera abandonnée au sable et au désert. Tel semble être le destin de la culture qu'a voulu transmettre ce roi moderne.
Mais Akhésa (de son vrai nom Ankhes-en-pa-Aton : « elle vit pour Aton ») ne l'entend pas de cette oreille. Bien que troisième fille du couple royal (et donc incapable de prétendre à la couronne), elle a bien l'intention d'avoir un rôle à jouer sur la scène politique. Petit à petit, à l'aide de sa superbe beauté et de son intelligence hors du commun, elle arrive à se faire une place parmi les plus grands et fascine ses amis comme ses ennemis. À la mort de son père, elle réussira à monter sur le trône aux côtés de Toutankhamon, le jeune prince de Thèbes fou amoureux d'elle, et prendra son destin en main comme une véritable reine.

L'intérêt de ce livre est qu'il nous dévoile les enjeux politiques du temps de l'Égypte ancienne. Avec Akhésa, on est transporté en plein coeur de l'action. On y voit ses évolutions, son passage de l'enfance vers l'âge adulte, les responsabilités qu'elle est peu à peu amenée à prendre. Ses sentiments évoluent : tout d'abord méprisante à l'égard du jeune Toutankhamon, elle en vient à peu à peu éprouver une tendresse presque maternelle pour cet époux de deux ans son cadet. En parallèle, elle doit lutter contre l'attirance profonde qu'elle ressent envers son opposant le plus acharné et manipuler les puissants du royaume pour parvenir à ses fins : rendre à l'Égypte sa splendeur d'antan. Mais la tâche est extrêmement difficile : les prêtres d'Amon sont prêts à tout pour reprendre leur place.
La pression exercée sur la jeune femme est énorme : d'un côté elle est incapable de renoncer au rêve de son père d'« apporter la lumière d'Aton dans les coeurs », de l'autre, elle n'a pas la force nécessaire pour lutter contre les prêtres et doit sans cesse se cantonner à son rôle de reine. Car malheureusement, Toutankhamon est encore un enfant trop immature pour régner et c'est celle qu'il aime qui est obligée de gérer les affaires à sa place. Elle doit se sacrifier sans cesse, déjouer des complots et en créer, entretenir son image publique, contrôler ses ennemis comme ses proches, lutter contre la part d'elle-même qui ne voudrait que devenir l'amante du général des armées.
La jeune femme voit tout ce à quoi elle tient s'écrouler autour d'elle : sa mère meurt, puis son père, puis elle doit abandonner sa religion, puis la capitale qu'a fait bâtir Akhenaton… Elle est peu à peu dépossédée par les prêtres, mais toujours elle restera droite et fière. Comme une reine. Comme une héroïne. Un peu trop, même…
L'auteur rationnalise l'origine de cette force et de cette énergie d'un côté par le caractère particulièrement volontaire de son personnage, mais aussi en sous-entendant que c'est Aton lui-même qui rayonne à travers elle et qu'Il lui prête une partie de sa puissance.

Car le monde que Christian Jacq met en scène est un univers merveilleux, empreint de magie et de surnaturel. Les dieux ont une influence notoire sur le monde, se dévoilant parfois aux humains et prouvant leur existence à l'aide de phénomènes inexpliqués, et pourtant totalement acceptés par la population : « Soudain, une main froide, une main de pierre se posa sur sa nuque. le bras d'Amon avait bougé, le dieu lui-même confirmait le couronnement de Toutankhamon. » Mais il nous montre aussi des miracles beaucoup plus petits et confidentiels : par exemple la famille royale est capable de regarder le soleil dans les yeux sans se les brûler et Akhésa est insensible à la chaleur.
On appréhende donc le monde de la même manière que les Égyptiens, avec leurs légendes et leurs croyances. Jacq nous décrit la lignée royale comme des surhommes (ou des sur-femmes) descendants directement de la race des dieux.

L'auteur détaille le rôle de la religion dans cette société, qui a une place centrale. le peuple croit dur comme fer à ses dieux et chaque cérémonie a une importance particulière et une magie qui lui est propre : « Akhésa ressentit une étrange impression au plus profond de son corps. Un feu très doux s'éveillait en elle, comme un soleil de fin de jour dorant la peau sans la brûler. L'eau parfumée qui avait circulé sur tout son corps la recouvrait d'une clarté immatérielle, sorte d'or liquide divinisant la chair. le regard de Toutankhamon lui-même s'était modifié. Les vertus du liquide magique de la purification, pratiqué sur chaque Pharaon depuis l'aube de l'histoire égyptienne, lui communiquaient une forme de vie d'origine céleste. »
« Comme chaque jour, Pharaon se rendait au sanctuaire dont il avait lui-même dirigé la construction. Et chaque jour, il y goûtait l'instant extraordinaire où les hymnes, les prières et les sacrifices faisaient se lever à nouveau le soleil dont dépendaient toutes les formes de vie, au ciel comme sur la terre ».

Ce qui est intéressant, aussi, c'est que l'auteur décrit le mode de vie des Égyptiens, parsemant son récit de faits réels sur l'architecture et le mode de vie, introduisant des éléments constructifs pour la compréhension de cet univers : « Sortant de la villa, ils traversèrent des jardins où on utilisait le chadouf qu'avaient mis au point les ingénieurs d'Akhenaton. Sur un pivot fixe, le paysan avait placé une perche de bonne taille. À l'une de ses extrémités, un seau ; à l'autre, un contrepoids. D'un mouvement régulier, le paysan abaissait la perche pour faire pénétrer le seau dans un bassin d'irrigation. Puis, relâchant doucement cette dernière, il laissait agir le contrepoids. de la sorte, au fil des heures, de grandes quantités d'eau étaient transportées au prix de moindres efforts. » Surtout, nous voyons apparaître au fil des pages les descriptions de l'architecture égyptienne et des fameux monuments : « Akhenaton avait voulu que le temple d'Aton fût unique. Il n'y avait pas de progression, comme dans les autres sanctuaires de l'Égypte, de la clarté de l'extérieur vers le mystère du Saint des Saints où la divinité était cachée au milieu des ténèbres, mais une simple enfilade de cours et de salles ne présentant aucun obstacle à la diffusion des rayons vivifiants d'Aton ».

Au final, Jacq a une écriture légère, très agréable et très facile à lire. Les phrases sont courtes, mais efficaces : elles nous font voir un monde à jamais éteint.
Cependant, Akhésa est presque trop parfaite pour être réellement crédible. Elle est décrite comme étant « fine, élancée, un visage parfait, des cheveux noirs, une peau cuivrée, des seins ronds hauts placés, des hanches étroites, des jambes longues et minces, des pieds d'une infinie délicatesse » et les princes étrangers disent d'elle qu'« aucune de nos femmes ne pourraient rivaliser avec elle ». le « divin père » Aÿ, éminent personnage politique, dit lui-même : « La princesse Akhésa... La plus belle femme de la cour, en effet », ce à quoi sa femme, la nourrice Ti, répond : « Je n'ai jamais eu la moindre influence sur elle. Parmi les filles du couple royal, c'est elle qui a la plus forte personnalité. Et maintenant la beauté… La beauté de sa mère, celle d'une reine. » Comment voulez-vous qu'on se retrouve dans ce personnage trop idéalisé ? Jacq aurait vraiment gagné à laisser un soupçon d'humanité à sa déesse.
De plus, on ne parle presque jamais de ses jeunes soeurs (elles ne sont même pas nommées), alors qu'elles sont elles aussi les filles du couple royal et qu'Akhésa les a côtoyées pendant toute son enfance. L'auteur parle seulement des aînées qui se mettent entre son héroïne et le trône (Méritaton et Makhétaton), mais dès qu'elles sont écartées du pouvoir, plus aucune allusion n'est faite. Dommage, cela coûte du réalisme à l'histoire.
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Les noms des pharaons Akhénaton et Toutankhamon ne nous sont pas inconnus, mais qui avait déjà entendu parler d'Ânkhésenpaaton (que Christian Jacq nomme Akhésa dans ce roman) ? Nous la suivons depuis son adolescence jusqu'à ses dernières heures, nous rencontrons les grands personnages de l'Egypte antique à travers ses yeux et bénéficions de ses réflexions sur la politique de son pays. Akhésa, troisième fille d'Akhénaton et épouse de Toutankhamon, est réellement au centre de cette histoire.

Je ne me suis jamais passionnée pour l'égyptologie et c'est pourtant un sujet qui m'intéresse. Dans ce roman, il y a énormément de détails sur les us et coutumes des Égyptiens, leurs croyances, leurs traditions, leurs coutumes, leurs relations avec les pays voisins, le climat politique, etc. Ma curiosité a donc été satisfaite. Je suis moins touchée par le côté romanesque, bien qu'il y ait du suspense et des péripéties (en tout cas pour les lecteurs qui ne connaissent pas les pharaons). Je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages, ils sont pourtant intéressants mais pas assez creusés à mon goût. Akhésa tient plus de la légende que de la femme en chair et en os : avec sa beauté incomparable, sa vivacité d'esprit et sa force de caractère, les hommes tombent amoureux d'elle toutes les dix pages . Akhénaton passe pour un illuminé (peut-être les effets des rayons du dieu Aton, haha... pardon), Toutankhamon est juste un jeune mâle en rut et le général Horemheb joue le rôle du méchant qui oeuvre dans l'ombre, accompagné des vilains prêtres d'Amon. J'avais peur d'être déçue par la fin et, au contraire, j'ai trouvé que cela clôturait fort bien le roman.

Même si ce n'est pas un coup de coeur, "La Reine Soleil" me donne envie de lire d'autres romans se déroulant en Egypte antique. C'est une civilisation fascinante !
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Ce livre traînait dans ma PAL depuis de nombreuses années et il a fallu un challenge pour l'en sortir.
Ma lecture a été assez laborieuse puisque ce livre ne m'attirait pas plus que ça. Pourtant, la plume est agréable mais j'ai trouvé certains personnages trop caricaturaux et sans consistance. Ainsi, Toutankhamon apparaît comme un jeune homme frêle sans réelle volonté, à part celle de plaire à sa jeune épouse. Certaines études scientifiques ont pourtant laissé suggérer que Toutankhamon avait mené lui-même certaines batailles malgré son handicap.

Hormis ce bémol, j'ai trouvé l'histoire intéressante et le personnage d'Akhésa, fille d'Akhénaton et Néfertiti, plutôt bien campé. C'est une femme forte qui n'hésite pas à se dresser contre les hommes de pouvoir pour le bien de l'Egypte.
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Je crois que j'avais déjà lu ce livre, il y a une dizaine d'années. Mais je n'en suis pas très sûre, j'ai lu tellement de Christian Jacq à une période… Certains passages me donnaient une impression de déjà lu, tandis que l'intrigue générale, par contre, ne me disait rien. Alors du coup, je ne sais plus !Mais en tout cas, si je n'avais pas encore lu celui-ci, c'est désormais chose faite.

Il y a une chose que j'apprécie beaucoup dans les livres de Christian Jacq, c'est l'Egypte. Depuis longtemps j'adore la civilisation égyptienne antique, à tel point que j'avais fait un dossier de 4ème à ce sujet (le thème c'était de parler d'une de ses passions, ça vous laisse entrevoir à quel point j'aime l'Egypte antique !), et j'ai même, durant quelques années, songé à devenir égyptologue. J'ai commencé à apprendre les hiéroglyphes à la fac, j'ai suivi des cours d'Egyptologie… Bref, J'aime l'Egypte ! Et ça tombe bien, parce que tous les romans de Christian Jacq que j'ai lus jusqu'à présents se passent dans l'Egypte antique.

Ici, nous suivons le destin de la jeune Akhésa, totale inconnue pour moi jusqu'à présent, fille du roi Akhénaton et de la reine Néfertiti, puis plus tard épouse de Toutankhamon, trois personnages dont j'avais en revanche déjà entendu parler. Christian nous livre ainsi une histoire romancée d'une période assez précise de l'histoire égyptienne, pour mon plus grand bonheur.

Sans aucune surprise, j'ai aimé le contexte. J'ai apprécié Akhésa et Toutankhamon. Mais l'intrigue, en revanche, m'a quelque peu déçue. du début à la fin, nous suivons Akhésa, nous la voyons évoluer, devenir reine. Nous découvrons une jeune femme forte, dotée d'une volonté de fer, une reine dans l'âme, bien décidée à sauver sa vision de l'Egypte, mais également tellement jeune et inexpérimentée. Je me suis attachée à elle, j'avais envie de la voir réussir tout en entrevoyant une fin qui ne lui serait pas favorable. Nous la voyons se débattre avec les rouages de l'administration et du pouvoir, combattre d'autres hommes plus expérimentés, plus forts, plus puissants qu'elle. du début à la fin, tout n'est qu'intrigue et jeux de pouvoir.

Malgré tout, il m'a manqué quelque chose pour que ce roman me captive parfaitement. L'ensemble m'a semblé assez plat. Je pense que ça manquait un peu de surprises. Alors certes, vous me direz, l'histoire est déjà écrite, on ne peut pas la modifier. Mais pour moi qui ne connaissait pas Akhésa avant, qui n'avait que de très vagues notions sur cette époque, j'aurais pu être surprise par le déroulement de l'Histoire. Mais le fait d'entrevoir dès le début la fin qui allait advenir m'a certainement un peu gâché le plaisir. Je ne saurais pas comment vous dire que je le savais, mais je sentais clairement que le combat d'Akhésa était un combat perdu d'avance.

Je gardais un meilleur souvenir des romans de Christian Jacq que j'ai déjà pu lire par le passé. Mais peut-être n'est-ce pas son meilleur roman ? (de mon point de vue, du moins).
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Un roman historique sur fond de luttes de pouvoirs mais avec pas mal de longueurs.

Le livre est riche d'informations historiques et met en lumière la destinée de la princesse Akhésa, femme à la fois belle et fin stratège, qui donne matière à un personnage romanesque à la fois intéressant et attachant. Au-delà d'être la fille d'Akénathon et l'épouse de Toutankhamon, c'est probablement son affrontement permanent et la relation ambigüe qu'elle entretiendra avec le général Horemhed, sorte d'alter ego masculin, qui font tout le sel de ce roman.
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J'adore cette époque de l'Égypte. J'ai déjà lu beaucoup du livre sur le sujet et sur ce moment de l'histoire.
Mais là, je me suis ennuyée, pas un seul des personnages ne m'a attendris.
Tous ne pensent qu'à arriver au somment sans penser aux sentiments des autres. le pouvoir corrompe tout et c'est bien vrai.
Manipulations, intrigues, Entre Toutankhamon décrit comme un irresponsable, Horemheb un menteur.
Non, je préfère même oublié que j'ai lu ce livre.
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Livre facile à lire et agréable. Je me suis quand laissée entrainer dans l'intrigue malgré un scénario que j'ai trouvé un peu simpliste et beaucoup de répétitions
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