Ce roman de
Patrice Jean est complètement bipolaire : si le volet sur Serge le Chenadec est bien mené, dans une verve nerveuse, sarcastique et drôle, le livre est plombé par la partie sur Clément et Lise, une accumulation de pages ultra verbeuses inintéressantes qui ne débouche sur rien si ce n'est un final décalé invraisemblable.