Pourquoi les femmes se prennent la tête ?

J'aime bien les livres de développement personnel mais à petite dose ; et généralement mieux vaut les aborder quand on est 'dans le mood'.
Meme si les explications sur l'overthinking sont parfois tirées par les cheveux, ce livre vaut la peine d'être lu ne serait-ce que pour les conseils très concrets qui me conviennent bien : testés et approuvés !

Voici un ouvrage de développement personnel, retrouvé dans ma bibliothèque, que je n'avais pas terminé il y a quelques années ... mais que, devant l'avalanche d'overthinking autour de moi dernièrement (et je l'avoue en moi aussi!), j'ai repris et conclu en quelques jours.

Je le recommande vivement à toutes celles qui sont submergées par des trains de pensées intrusives et incontrôlables et qui cherchent des solutions concrètes pour en sortir mais aussi des pistes pour structurer leur réflexion sur des sujets à lourdes charges émotionnelles. Son sous-titre "Et comment rendre leur vie plus légère" lui va à merveille!

Nous développons avec l'expérience nombre de bonnes pratiques décrites par Susan Nolen-Hoeksema, d'autres peuvent être nouvelles et à expérimenter : dire STOP, faire une pause qui nous convient (sport, promenade dans la nature, musique, lecture bien évidemment ...), respirer, méditer, écrire ses pensées et les relire plus tard ...

Ce livre propose des idées pour aller plus loin et répondre à la vraie question "Qu'est ce qui est réellement important pour moi?". Et pour nous aider, chaque chapitre est suivi d'un tableau-résumé. Merci Susan Nolen-Hoeksema pour cet ouvrage définitivement positif!
Lien : http://partageonsnoslectures..

Je n'ai pas lu jusqu'au bout car la façon de présenter les idées (qlqch entre témoignages ou exemples, on ne sait pas vraiment) ne m'a pas plut. Par ailleurs les conseils n'ont pas un aspect de mise en pratique effective. Enfin, il semble que, dans les premiers chapitres tout du moins, les problèmes de femmes soient liés à la famille, la carrière ou l'apparence...

Enfin, je comprends l'idée avancée que les femmes soient plus soumises a l'overthinking que les hommes, mais n'étant pas d'accord avec cette argument, et ne comprenant pas pourquoi l'ouvrage ignore l'overthinking masculin, je partais avec un apriori de base sur la lecture de cet ouvrage.